Travail-vie_privee. Jurisprudences relatives à la Cybersurveillance. - Cour de cassation Ch. soc., 02 février 2011, Securitas France / M.
X. Licenciement pour faute grave - Courriels provocateurs Dans le cadre d’un licenciement pour faute grave, aux motifs de divers manquements professionnels et de comportement agressif et irrespectueux à l’égard du supérieur hiérarchique et de l’échange à ce sujet de courriels provocateurs avec une autre salariée de l’entreprise, également licenciée à cette occasion. La Cour de cassation a considéré que "le courriel litigieux était en rapport avec l’activité professionnelle du salarié, ce dont il ressortait qu’il ne revêtait pas un caractère privé et pouvait être retenu au soutien d’une procédure disciplinaire" Arrêt disponible sur legalis.net.
Cour d’appel d’Aix en Provence 18ème chambre Arrêt du 20 novembre 2007 Mardi 20 novembre 2007 Cour d’appel d’Aix en Provence 18ème chambre Arrêt du 20 novembre 2007 Joseph G., Jean-Louis P. / Sanofi Chimie.
Une mère de famille découvre son dossier médical sur Internet. L'employeur peut surveiller les communications de ses employés. Internet au travail : que dit la loi ? Keylogger : des dispositifs de cybersurveillance particulièrement intrusifs. Les " keyloggers " sont des dispositifs de surveillance, parfois téléchargeables gratuitement depuis le web, qui se lancent automatiquement à chaque démarrage de la session de l'utilisateur, à son insu.
Une fois lancés, ils permettent, selon les versions, d'enregistrer toutes les actions effectuées par les salariés sur leur poste informatique sans que ceux-ci s'en aperçoivent. Toute frappe saisie sur le clavier ou tout écran consulté est enregistré avec un horodatage. Des alertes peuvent être automatiquement envoyées à la personne ayant installé le dispositif lorsque le salarié ainsi surveillé saisit sur son clavier un mot prédéterminé. Selon son paramétrage, le dispositif permet également de générer des rapports, récapitulant l'ensemble des actions faites à partir d'un poste informatique, qui sont directement envoyés sur le poste informatique de celui qui aura installé le logiciel espion.
Cybersurveillance des salariés : ce qu’il faut savoir - Conditions de travail - CABINET ORECO. D’après une étude réalisée en 2012 par l’éditeur de surveillance et de filtrage de contenus internet Olfeo, le temps moyen passé sur internet par jour et par salarié s’établirait à 97 minutes, dont plus de la moitié consacré à des usages personnels.
Des usages qui, quel que soit leur importance véritable, peuvent entraîner certaines conséquences que les employeurs doivent identifier afin de pouvoir, le cas échéant, les prévenir ou réagir de manière appropriée. L’utilisation d’internet par les salariés : quels risques pour les employeurs ? Virus, fichier indésirable, diffamation, injure, perte de productivité… les risques induits par la navigation non maîtrisée sur internet sont potentiellement nombreux.
Surveillance au bureau : les bons usages des nouvelles technologies. Quels sont les droits et devoirs des employeurs et des salariés ?
Le numérique a rendu la surveillance de ses salariés très simple en théorie, en pratique cette tâche peut se révéler sensible.Définition de la « Pause travail » ? Nom Féminin. Laps de temps destiné au travail du salarié entre deux séances de réseaux sociaux ou de chat ». Cette définition est provocatrice et, bien sûr, la plupart des personnes ne se reconnaitront pas dans celle-ci. Elle pose néanmoins les bases d’une réflexion sur les nouveaux usages que nous vous décrivons ci-dessous.Les risques principaux sont : l’instauration d’un climat de suspicion envers la direction et surtout le flicage à outrance, ce qui est interdit. Les procédures et chartes informatique doivent être mises en place selon trois grands principes 1) La restriction proportionnelle. CYBERSURVEILLANCE ET ADMINSTRATEURS RESEAUX. Pouvant être sujet d'attaques internes comme externes, les entreprises et leurs réseaux ont besoin d'une cybersurveillance des administrateurs de réseaux.
Cependant la cybersurveillance et les administrateurs de réseaux doivent obéir à différentes règles notamment le respect à la vie privée et le secret des correspondances. Avant de pouvoir rentrer dans les détails, nous allons définir la cybersurveillance et les administrateurs de réseaux dans un premier temps. Dans un second temps, nous allons présenter les obligations qui pèsent sur les administrateurs réseaux lorsqu'ils font de la cybersurveillance. généralisée de réseaux au sein des entreprises. Ces réseaux permettent de faciliter le travail des salariés, mais aussi leurs échanges.
Tout réseau doit être entretenu, mais aussi surveillé pour éviter sa dégradation. Administrateur systèmes et employeur peuvent-ils accéder au PC d’un salarié absent ? En pleine période de vacances estivales, cette question de saison est posée par la CNIL.
Le gendarme français des données personnelles y apporte des réponses à l’attention des employeurs, mais aussi des administrateurs systèmes susceptibles de recevoir des demandes de cette nature. Car comme le précise le CNIL, le besoin de se connecter au poste d’un salarié absent peut se présenter, notamment pour des raisons de continuité de service. Or, en entreprise, les postes sont généralement verrouillés et requièrent la saisie d’un identifiant et d’un mot de passe. La cyber-surveillance, de quoi parlons-nous ? La cyber-surveillance, de quoi parlons-nous ?
Chaque salarié et chaque employeur a des droits et des devoirs à respecter. Mais avec l’arrivée des Nouvelles Technologies de l’Information-Communication, certains semblent flous, et les limites difficiles à fixer. Faisons le point sur ce qu’est la cybersurveillance en entreprise, et sur ce que les nouvelles technologies ont changé pour ces acteurs. Selon la CNIL, la cybersurveillance est un « dispositif mis en place par un employeur pour contrôler l’usage des TIC fait par ses salariés ». En effet, l’apparition des NTIC oblige les entreprises à renforcer la sécurité de leurs données. Que dit la loi à ce sujet ? Les salariés peuvent considérer cette « intrusion » comme une atteinte à leur vie privée, mais l’employeur a trois obligations. En effet, en l’absence de consultation, l’employeur ne pourra pas utiliser la cybersurveillance comme moyen de preuve. La cybersurveillance des salariés dans l’entreprise.
Une intrusion dans notre vie privée ou un moyen de nous protéger ?: Conclusion. Cybersurveillance.