Wwoofing : mode d'emploi. Besoin de vous évader, d’aller voir ailleurs, de vous rapprocher de la nature… mais avec quel argent ?
La solution est toute trouvée grâce au wwoofing : choisissez le pays qui vous plaît, et partez offrir vos services quelques heures par jour dans une ferme bio en échange de quoi vous serez logé et nourri ! Une expérience à tenter de toute urgence. 1. Wwoofing, mode d’emploi Né dans les années 70 chez les britanniques, le concept du wwoofing, ou « Willing Workers on Organic Farms » s’est propagé au monde entier. La journée-type d’un wwoofer : Début de matinée : petit déjeuner avec la famille ou les autres wwoofers.
L’expérience vous tente ? Une exception : Colombie, Croatie, Islande, Kenya, Laos… Près de 50 pays à travers le monde ne possèdent pas d’organisme national et se sont réunis pour créer une association de wwoofing internationale, que vous trouverez ici : www.wwoof.org. Le woofing, une solution économique pour voyager bio. Vous êtes un adepte des voyages à petit budget, vous appréciez le contact avec l'habitant, l'agriculture bio vous intéresse, et vous seriez partant pour prêter vos bras contre le gîte et le couvert ?
Le woofing est fait pour vous ! Ce nouveau concept de tourisme durable permet désormais de faire le tour du monde en renouant avec la nature. Le concept du woofing : travail contre hébergement Le woofing est apparu dans les années 70 en Angleterre. WOOF en anglais, pour "Willing Workers on Organic Farms", est synonyme de WWOOF ("World Wide Opportunities in Organic Farming"), et pourrait se traduire par "Opportunités Internationales dans l'Agriculture Bio". Les avantages du woofing Vous serez ainsi nourri et logé gratuitement, et, mis à part les 4 à 7 heures quotidiennes réservées aux travaux à la ferme, vous trouverez sans doute le temps de partir à la découverte de la région.
Le couchsurfing : qu’est-ce que c’est ? : Le couchsurfing : Dossier pratique de voyage. Imaginez un immense réseau social de plus d’un million de personnes prêtes à s’offrir l’hospitalité les unes les autres pour une nuit ou plus.
La démocratisation du transport aérien a bouleversé notre conception du voyage, le couchsurfing change encore la donne. Il permet de se loger gratuitement dans le monde entier et, surtout, offre la possibilité de rencontrer les habitants des pays visités, de partager pour quelques jours leur quotidien et de bénéficier de leurs conseils. Couchsurfing, l’hospitalité retrouvée. Et si le participatif était l’avenir du tourisme ? « Celui qui voyage sans rencontrer l’autre ne voyage pas, il se déplace. » (Alexandra David-Neel) Ville la plus touristique au monde, Paris est l’archétype du tourisme urbain de masse.
Mais le paradoxe est saillant : alors que le tourisme est une ressource vitale pour la ville, les habitants semblent hermétiques aux touristes et la cohabitation est presque hostile entre ces deux « mondes » que presque rien ne relie. Parallèlement à ce constat, on ne peut que déplorer les méfaits du tourisme de masse alors qu’apparaissent de nouvelles exigences pour un tourisme plus durable, solidaire et recentré sur l’humain. Vers un renouveau touristique. Tourisme participatif - Tourisme-Durable.net. Durant ces 15 dernières années, le profil du voyageur a bien évolué.
Aujourd’hui plus éduqué, il est constamment en quête de la découverte et de l’échange, au cœur de nouvelles terres et de nouvelles cultures. Le touriste participatif a ce vif désir de dynamiser des territoires encore peu connu des voyageurs, de tisser des liens sociaux avec les populations d’accueil, de s’approprier la vie locale. Désormais, il devient possible de personnaliser vos vacances de manière qualitative. D’où vient le tourisme participatif ? Le tourisme participatif nait d’un constat simple : celui de faire participer à la démarche touristique ceux qui connaissent le mieux la ville, à savoir ses habitants. À travers les nouveaux outils web, le touriste s’inscrit sur le site de l’association des greeters de la ville qu’il souhaite visiter et communique ses préférences (ce qu’il aimerait voir, faire...).
Alternative tourism, un blog dédié au tourisme participatif. La CORévolution : « Une mentalité 2.0 qui fait que nous sommes tous interconnectés » Anne-Sophie Novel est l’une des première personnes avec qui j’ai échangé en créant ce blog, cela remonte à janvier 2011, déjà.
A l’époque, elle venait de lancer le blog le CO-Lab. Depuis, Anne-Sophie et Stéphane Riot ont publié Vive la CO-Révolution! , pour une société collaborative. Ce livre dresse un panorama intéressant du phénomène du CO aujourd’hui. L'émergence du tourisme participatif remet-elle en jeu la relation des habitants avec l'institution en matière de promotion touristique ? L’implication des habitants dans les politiques publiques n’est pas un phénomène nouveau.
Les collectivités territoriales voient en effet se développer de nombreux bouleversements dans sa relation avec l’habitant. La démocratie participative en est l’exemple le plus parlant. Ce modèle politique permet en effet d’accroître la participation et l’implication des citoyens dans les débats et dans la prise de décisions de sa collectivité. Et si le participatif était l’avenir du tourisme? : MUSE D.Territoires. Le trépied du tourisme participatif. Le tourisme participatif une belle alternative à un tourisme de masse en mal de rencontres et d’authenticité.
Cette forme de tourisme alternatif est un des héritages du XXème siècle, et sa base solide à trois pieds, permet de répondre à des besoins économiques, sociaux et environnementaux.