Pierre Bonnard. Signature Biographie[modifier | modifier le code] Les photographies montrent de Bonnard son allure dégingandée, et un air comme étonné derrière les lunettes cerclées de métal.
Son journal est avare de détails personnels mais l'homme se laisse entrevoir à travers sa correspondance et des témoignages auxquels s'ajoutent les souvenirs d'un neveu historien d'art et d'un petit-neveu spécialiste du postimpressionnisme, Antoine Terrasse. Doux, discret et solitaire mais de bonne compagnie, plein d'humour avec des accès de gaieté et d'enthousiasme juvéniles, Pierre Bonnard est également enclin à une certaine mélancolie[1]. S'il se confie peu à ses proches, notamment sur sa relation complexe avec Marthe, il le fait à travers sa peinture[2]. Portada. Gilbert Legrand. Musée Surréaliste François Boucheix.
Pierre Soulages. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Biographie[modifier | modifier le code] Enfance et formation[modifier | modifier le code] Pierre Soulages perd son père en 1924. Dès son plus jeune âge, à Rodez, cet Aveyronnais est fasciné par les vieilles pierres, les matériaux patinés et érodés par le temps, l'artisanat de son pays du Rouergue et ses âpres paysages, particulièrement les Causses. Il a tout juste huit ans lorsqu'il répond à une amie de sa sœur aînée qui lui demande ce qu’il est en train de dessiner à l’encre sur une feuille blanche : un paysage de neige. « Ce que je voulais faire avec mon encre, dit-il, c’était rendre le blanc du papier encore plus blanc, plus lumineux, comme la neige.
Débuts de la carrière de peintre[modifier | modifier le code] L'après-guerre[modifier | modifier le code] En 1946, Pierre Soulages s'installe dans la banlieue parisienne et se consacre désormais entièrement à la peinture. L'expérience de l'Outrenoir[modifier | modifier le code] Le site documentaire sur Pierre Soulages.
Keith Haring. Karin Johannesson Contemporary Watercolour. Han Shan : Guy Laramée. Brian Dettmer - François Morellet. Oeuvres Les débuts François Morellet commence par de la peinture figurative avant de passer à l’abstraction géométrique. 1952 – Premiers systèmes Les œuvres de François Morellet sont exécutés d’après un système : chaque choix est défini par un principe établi par avance.
Il veut par là donner l’impression de contrôler la création artistique tout en laissant une part de hasard, ce qui donne un tableau imprévisible. Ces systèmes rappellent les structures proposées par l’Oulipo (Ouvroir de Littérature Potentielle) et décrites par Raymond Queneau : « Quel est le but de nos travaux ? Par la suite, François Morellet va continuer à utiliser des systèmes basés sur un univers mathématique. "6 répartitions aléatoires de 4 carrés noirs et blancs d’après les chiffres", 1958, Centre Pompidou "Sphère trame", 1962 "Violet, bleu, vert, jaune, orange, rouge", 1953 Centre Pompidou "Hexagones à côtés bleus et verts", 1953, Centre Pompidou "4 panneaux avec 4 rythmes d’éclairage interférents", 1963 1963 – Néons. John Singer Sargent - The complete works.
Soasig Chamaillard. Eugène Boudin. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Pour les articles homonymes, voir Boudin. Eugène Boudin Portrait d'Eugène Boudin Biographie[modifier | modifier le code] La carrière de papetier[modifier | modifier le code] Les débuts artistiques[modifier | modifier le code] En 1844, alors âgé de 20 ans, Eugène Boudin fonde avec un associé sa propre boutique de papetier-encadreur où il expose les œuvres des artistes de passage. En 1851, grâce au soutien du journaliste Alphonse Karr ainsi que de Constantin Troyon et Thomas Couture, il reçoit du conseil municipal du Havre une bourse d'étude de 1 200 francs par an, afin d'aller étudier la peinture à Paris pendant trois ans.
Boudin fait sa première exposition en 1857 à Paris et la même année il parvient à vendre une vingtaine de ses toiles à l'occasion d'une vente aux enchères au Havre. Au cours de l'année 1859, le peintre – alors âgé de 35 ans – expose sa première toile au Salon à Paris : Un pardon à Saint-Anne-la-Palud.
Antoni Gaudi. Eugen Stross.