La course aux ressources et aux territoires en Arctique. Le développement de l’Arctique. La découverte en Mer de Kara d’un immense gisement pétrolier, sans doute égal aux réserves de l’Arabie Saoudite, par les compagnies ROSNEFT et EXXON-Mobil a suscité un nouvel intérêt pour le développement de la zone arctique.
Le vice-directeur de l’IPEN-ASR fait le point sur les projets de développement de l’arctique russe, et souligne à la fois leur intérêt et leur difficulté, en particulier dans le domaine de la maîtrise des risques écologiques. Boris Porfiriev, vice-directeur de l’IPEN-ASR Le développement de la zone arctique est, depuis longtemps, une priorité de long terme pour la Russie. On le sait depuis le début du XXème siècle. En fait, le développement de la zone arctique é été entrepris au XXème siècle.
Mais, ce développement est aujourd’hui une priorité de court-moyen terme, du fait de la découverte dans la mer de Kara d’un gisement de pétrole d’une capacité égale aux réserves de l’Arabie Saoudite. Jacques Sapir. Les ressources minières et énergétiques de l'Arctique en 2011 - Ressources, Pétrole, Hydrocarbures - Cartes.
Nouvelle route maritime. Canada. Radio Canada International » Finland: Environmental authority says nickel leak threatening southwest river. Norilsk Nickel Harjavalta.
(Yle) Watershed specialist Harri Helminen of southwest Finland environmental authorities said that massive nickel emissions from the Russian-owned Norilsk Nickel mine in Harjavalta western Finland could pose a danger to marine life in the local river. Officials say that while the impact of metals has been researched to some extent, it is difficult to forecast the fallout from emissions. “At this stage it’s difficult to make precise evaluations about the effects of emissions but 66 tons is a significant amount,” Helminen said. According to the hydrologist current nickel concentrations in the river are coming in at around 8.8 milligrams. Asian tech firms to put data centres near the Arctic Circle. Asian technology companies are set to follow Google and Facebook in putting data centres near the Arctic Circle to benefit from the lowest power prices in Europe, according to utility Vattenfall.
Internet services from China, Korea, Malaysia, Thailand and Indonesia will probably be next to take advantage of an expected record electricity glut in the Nordic region, Oskar Almen, vice president for business development at Sweden’s largest power producer, said by phone from Stockholm. Google opened a data centre in Hamina, Finland, in 2011, while Facebook started its first overseas server in Luleaa, Sweden, last year. Streaming services for movies, pictures and data are set to double global demand for server halls, requiring more than 500 terawatt-hours of power by 2025, or almost as much as Germany’s annual demand, according to Vattenfall.
Energy use in Southeast Asia alone is expected to increase 80 per cent by 2035, International Energy Agency data show. Russian Arctic: a new promised land for oil giants. MOSCOW, June 22, 2014 (AFP) - Tens of degrees below zero during winter and home to endangered species and remote infrastructure -- welcome to the Russian Arctic, a new promised land for oil companies despite clear obstacles.
"The Arctic is one of the world's largest remaining regions of undiscovered conventional oil and natural gas resources," said Rex Tillerson, chief executive for US giant ExxonMobil, during a major industry conference in Moscow last week. Un brise-glace de Greenpeace défie un navire dans l’Arctique. Un brise-glace de Greenpeace a approché mardi un navire de Rosneft dans l’Arctique pour protester contre la production de pétrole dans la mer de Barents, nuisible pour l’environnement selon les écologistes.
Le brise-glace Arctic Sunrise a confronté le navire de recherche sismique Akademik Lazarev en demandant au capitaine « de cesser son activité dangereuse pour la nature », selon un communiqué de Greenpeace. Les militants ont ensuite approché le bateau, affrété par Rosneft, dans des canots pneumatiques, jusqu’à se trouver à une centaine de mètres d’Akademik Lazarev. Nouvelle action de Greenpeace contre les projets de Gazprom dans l'Arctique.
Quatorze militants de Greenpeace ont lancé lundi une nouvelle action de protestation contre les projets de forage du géant russe Gazprom dans l'Arctique, trois jours après avoir escaladé une plateforme du groupe dans cette région, a indiqué l'ONG.
Les militants ont intercepté un bateau qui doit acheminer les employés de la plate-forme pétrolière de Gazprom dans l'Arctique. Ils se sont "attachés à la chaîne de l'ancre" à laquelle ils ont aussi enchaîné un de leurs bateaux pour empêcher le navire de poursuivre sa route, précise Greenpeace dans un communiqué. "Aujourd'hui, nous menons une action pacifique (...) pour faire en sorte que cette plate-forme arrête de souiller ces eaux pures", a déclaré Kumi Naidoo, directeur exécutif de Greenpeace International, qui participe à l'action.
Un responsable russe de l'ONG, Vladimir Tchouprov, a indiqué en fin de matinée sur la radio Echo de Moscou que les bateaux de Greenpeace se faisaient arroser d'eau depuis le navire affrété par Gazprom. M. Deuxième excursion aux sables bitumineux - Les exploitations minières. Rosneft backs off from Barents Sea licenses. Rosneft was granted the licenses by Prime Minister Dmitry Medvedev in February 2013, after having been lobbying for this right.
According to Minister of Natural Resources and Eology Sergey Donskoy, Rosenft has withdrawn its applications to eight licenses in the Barents Sea, leaving only their Arctic application to work in the Sea of Okhotsk and Pechora Sea. “They were having a dispute with Gazprom. Gazprom is dealing with this now”, was the short explanation Donskoy gave, according to Vzglyad. According to Forbes, the Ministry of Natural Resources is not too happy with Rosneft chosing American company ExxonMobil as its strategic partner in the Arctic. La "glace qui brûle" de l'Arctique est-elle l'avenir de l'énergie ? Atlantico : Le gaz de schiste est actuellement au centre des préoccupations énergétiques mondiales, mais il est de plus en plus question d'une autre source d'énergie, dans la région Arctique : le gaz d'hydrates de méthane, autrement appelé "glace qui brûle" en raison de sa teneur en méthane.
Comment se présente-t-il, et quelles sont les quantités estimées ? A quelle date cela repousse-t-il la pénurie d'énergies fossiles ? Stephan Silvestre : Les hydrates de méthane constituent une source d’énergie au potentiel considérable. Il s’agit de blocs de glace sous-marins emprisonnant des molécules de gaz d’origine organique. Ils se forment dans des conditions de température basse et de pression élevée et se trouvent à des profondeurs de plusieurs centaines de mètres sous la surface.
Les quantités potentielles sont considérables. Quelles sont les modalités d'extraction ? La prospection n’a débuté qu’il y a une quinzaine d’années et on est encore loin d’une exploitation commerciale. Polar Politics Threaten Norway’s Deepest Drive in Arctic. Uranium en Arctique : l'émergence d'un axe clé France-Groenland ?, Le Cercle. Accueil Le 24 octobre dernier, le parlement groenlandais votait l'autorisation de l'exploitation de son uranium, par 15 voix contre 14.
Fort des troisièmes réserves mondiales d'uranium (600 000 tonnes), l'île inuit aux 57 000 habitants devient cible de convoitises, principalement en Asie. Yamal, le projet géant de Total dans l’Arctique. Total a annoncé mercredi 19 décembre, le lancement de Yamal LNG dans l’Arctique russe, l’un des plus grands projets de gaz naturel liquéfié (GNL) au monde, dont l’investissement devrait avoisiner les 27 milliards de dollars, (19,7 milliards d’euros).
Le géant pétrolier français détiendra 20 % du projet, piloté par Novatek, le deuxième producteur russe de gaz dont Total détient d’ailleurs 10 % du capital depuis mars 2011. Le groupe russe devrait avoir 60 % des parts, les 20 % restants devant revenir au pétrolier chinois CNPC, avec qui des discussions ont démarré en septembre. Le dossier a été débloqué au début du mois avec la promulgation par le président russe Vladimir Poutine d’amendements mettant fin au monopole d’exportation de Gazprom, ce qui a permis à Novatek (créé d’ailleurs par des anciens de Gazprom) de lancer son projet.