Paulo Ito Mondial. Galerie de Paulo Ito. Voici la première image virale de la Coupe du monde, et elle ne va pas plaire à la FIFA. Le 10 mai, l’artiste brésilien Paulo Ito a réalisé cette fresque murale sur les portes d’une école dans le district de Pompeia, à Sao Paulo.
Moins d’une semaine plus tard, c’est devenu une sensation internationale, et le dessin a attiré énormément d'attention, sur Facebook. Cela a aussi été très suivi au Brésil – un statut sur la page Facebook très populaire de TV Revolta a été partagé plus de 25.000 fois. La première fois que j’ai vu cette image, c’est quand Dave Zirin de The Nation l’a postée sur Twitter. Ce portrait d’un enfant brésilien qui pleure, affamé avec rien d’autre à manger qu’un ballon de foot est si simple et évocateur que l’on n’a pas besoin de connaître grand-chose du Brésil pour savoir ce dont il est question.
Publicité «Les gens ont déjà ce sentiment. «En fait, il y a tellement de choses qui vont mal au Brésil qu’il est difficile de savoir où commencer. Pas un dessin anti-Rousseff «Ce n’était pas grand-chose, mais cela a suffi à atténuer le mouvement.» Jeremy Stahl. Une œuvre de street art qui illustre la colère contre le Mondial. We declare the world as our canvasWorld Cup 2014 in 22 photos - Anti-Fifa Graffiti Collection. On Facebook.
On Facebook. By Paulo Ito: Flickr/Facebook. In Pompeia, São Paulo, Brazil. Comment on 2014 FIFA World Cup Brazil. By B.Shanti/A.Signl (Captain Borderline). By Profilo Inesistente in Rio de Janeiro, Brazil. By Jota Crepaldi in Rio de Janeiro, Brazil. “FIFA Go home”. "Need food, Not Foot" : les murs brésiliens contestent. Brazil's anti-World Cup street art – in pictures. Au Brésil la colère anti-Coupe du monde s'affiche sur les murs. Au Brésil, la Coupe du Monde est devenue le support de contestations sociales autant qu’une source d’inspiration inépuisable pour les street-artist.
Petite sélection d’oeuvres poignantes qui illustrent la colère du peuple carioca. Au Brésil la colère gronde. Soulignant le manque de budget dans les services publics, reprochant au gouvernement l’utilisation dispendieuse de fonds pour l’organisation de la Coupe du Monde ou la signature des partenariats juteux avec des entreprises étrangères en lieu et place d’une mise en valeur du tissu local, une partie de la population brésilienne exprime depuis plusieurs mois déjà son mécontentement dans la rue.
Mais pas seulement : les murs sont aussi le terrain de leur contestation. Tous les jours, le pays voit se multiplier sur ses murs les propositions d’artistes engagés, selon un rythme allant crescendo à mesure que la cérémonie d’ouverture approche. Une profusion dont on avait la preuve suite à la médiatisation de la fresque de Paulo Ito. Paulo Ito, World Cup: A Brazilian street artist has created the World Cup's first viral image. Three weeks before the opening game of the 2014 World Cup, the tournament already has an iconic image.
And FIFA is not going to like it. Courtesy of Paulo Ito. On May 10, Brazilian artist Paulo Ito posted this mural on the doors of a schoolhouse in São Paulo’s Pompeia district. Less than a week later, it has become an international sensation, drawing huge attention on Facebook. It has also taken off in Brazil—a post on the popular Facebook page TV Revolta has been shared and liked more than 40,000 times I first saw the image when The Nation’s Dave Zirin posted it on Twitter. “People already have the feeling and that image condensed this feeling,” the São Paulo-based Ito told me in an interview today. Earlier this month, the populist Brazilian president Dilma Rousseff announced increases in welfare payments ahead of the World Cup and in anticipation of this October’s elections.
Ito echoed the idea that the government’s response has been largely cosmetic. Mondial 2014 : Révolte au Brésil.