Les habitudes alimentaires à travers les âges. L’australopithèque Epoque: 7 millions d’années à 500 000 ans av.
J. -C. Caractéristique: le végétarisme domine Les premiers représentants de l’humanité, apparus sur Terre il y a environ 7 millions d’années, ont un régime alimentaire proche de celui des primates actuels, nos proches cousins. Le chasseur-cueilleur du paléolithique Epoque: 500 000 à 10 000 ans av. Caractéristique: un grand carnivore qui cuit sa nourriture La domestication du feu par Homo erectus il y a environ 500 000 ans constitue un tournant.
Le cultivateur du néolithique Epoque: 10 000 à 4000 ans av. Caractéristique: le début de l’agriculture et de l’élevage La culture des céréales comme le blé et l’orge, et l’élevage des principaux animaux de rente (porcs, bœufs, moutons et chèvres) sont inventés simultanément au Proche-Orient il y a environ 10 000 ans, avant d’être progressivement importés en Europe. L’ouvrier de la révolution industrielle Epoque: XVIIIe et XIXe siècles Le gros prospère d’après-guerre L’homme du futur. Alimentation et hygiène de vie au Moyen Âge. Alimentation et hygiène de vie doivent suivre l’alternance des jours « gras » et jours « maigres » du calendrier religieux, et le « Vivre en bon chrétien » définit ici la bonne mesure entre besoins du corps et salut de l’âme.
La viande, perçue comme liée au péché de chair, est interdite les jours maigres. De même, aliments à base de graisses animales, œufs et laitages, le sont pendant le Carême. Ce temps pascal du Carême englobe le renoncement aux plaisirs sexuels, autre pulsion « animale » que le chrétien doit être apte à maîtriser. Durant toute l’année, la viande est prohibée le vendredi, jour de la mort du Christ, et donc jour maigre de la semaine chrétienne. Comment mangeait-on au Moyen Âge ? Mardi-expo Tewfik Hakem s'entretient avec Danièle Alexandre-Bidon, co-commissaire avec Perrine Mane de l’exposition A table au Moyen-Age, à voir jusqu’au 10 mai, à la Tour Jean Sans Peur, à Paris.
Comment se déroulait un repas au Moyen-Age ?
Petites histoires de gastronomie française. L'HISTOIRE DE LA CUISINE Recettes. La morue est un grand poisson qui vit dans les mers et océans froids.
Ce poisson contient beaucoup d’oméga 3 et acides gras. Il est très bon d’en consommer pour le système cardiovasculaire. Il est aussi plein de protéines qui sont utiles et nécessaires aux muscles, os et tissus. Plats historiques : les recettes du passé ont encore de l'avenir. De la sauce Béchamel à la tarte Tatin, en passant par la poule au pot et le veau Marengo, les grandes recettes de la cuisine française sont faites de petites histoires !
En route pour un voyage dans le temps (et dans les arrière-cuisines) à la découverte des secrets de quelques-uns des fleurons de notre gastronomie… À table pour un repas historique ! Les œufs en meurette, histoire et recette… Ce grand classique d’origine bourguignonne, qui allie le fondant des œufs pochés aux arômes du vin et du lard, doit sa renommée à un autre personnage célèbre : Cadet Rousselle ! Oui, oui, celui qui a mis sa culotte à l’envers et qui était la cible des anti-révolutionnaires en 1789 en raison de ses positions jacobines. C’est lors d’une invitation chez son ami Bruat, à Auxerre, qu’il s’enticha des œufs en meurette, que la femme de celui-ci réalisait à merveille.
. - Découvrez notre recette d’œufs en meurette inratables. La poule au pot, histoire et recette… 5 inventions culinaires qui ont marqué Paris. La capitale a beau cultiver l’image d’une ville raffinée, il faut croire qu’en ce qui concerne sa cuisine locale, ce sont davantage les mets de comptoir du “Paris-Paname” qui ont marqué les mémoires.
Bien que parfois anecdotique, la petite histoire de ces spécialités typiquement parisiennes nous replonge à l’époque des marchands ambulants et des brasseries et bistrots populaires, où les habitants se contentaient de petits plaisirs simples… C’est au lendemain de la Révolution française que les marchands ambulants des ponts de Paris eurent l’idée de servir aux passants des pommes de terre frites. Deux fois plus grosses que les traditionnelles pommes allumette, il était donc nécessaire de les cuire en deux temps. C’est plus précisément sur le Pont Neuf dans de petites échoppes situées dans les rotondes que la frite parisienne eut son plus grand succès, ce qui lui valut alors son appellation.
Les Origines du Reblochon : une Histoire d'Impots - droledhistoire.fr. Ecrivant ce billet en plein mois de Juillet, je ne peux pas dire qu’il soit de saison mais tant pis, j’assume : nous allons parler Reblochon !
Oui Reblochon ! Histoire et origines de certains plats et recettes. Histoire des recettes. Cuisine au Moyen Âge et recettes médiévales. La cuisine médiévale, bien que différente de notre cuisine actuelle et contrairement à ce que l’on peut penser, est tout en finesse, légèrement acidulée, haute en couleur, épicée et non grasse.
La plupart des sauces accompagnant les volailles et les poissons sont plutôt acides (vin, vinaigre, verjus). Très prisées, les saveurs aigres douces sont obtenues en rajoutant du sucre, du miel ou des fruits. Les épices utilisées en grande quantité sont principalement la cannelle et le gingembre, puis apparaissent le clou de girofle en poudre, la noix de muscade, le macis, la maniguette ou graine de paradis, le poivre, la cardamome, le galanga (garingal) et enfin le safran pour colorer.
L’aspect visuel des mets au Moyen Age est presque aussi important que le goût. De ce fait, les plats obtenus ont de belles couleurs vertes, jaunes, orange, … Ouvrages de référence de la cuisine au Moyen Âge.
Les Origines du Croissant - droledhistoire.fr. Si je vous dis « Petit Déjeuner Français » vous me répondez normalement « Croissant »!
Pourtant le croissant ne serait pas né en France… il serait autrichien. Plusieurs hypothèses font remonter l’origine du croissant tel que nous le connaissons aujourd’hui (pâte feuilletée sucrée agrémentée de beurre) au siège de Vienne de 1683 qui opposa turcs et autrichiens. Les troupes ottomanes espéraient prendre facilement la ville en attaquant les autrichiens de nuit, pendant leur sommeil, pour un effet de surprise maximum. Un tout petit détail avait échappé à leur plan pas si mauvais au demeurant : les boulangers viennois, levés bien avant l’aube, qui virent donc les troupes ottomanes s’approcher de la ville et eurent largement le temps de donner l’alerte.
Le champagne, oeuvre du diable. Pourquoi le Champagne était surnommé "le Vin du Diable" - droledhistoire.fr. Historiquement, on trouve des traces de vinification en province de Champagne dès le Moyen-Age.
Au départ, les vignerons champenois faisaient du « vin tranquille » ou « vin clair », c’est à dire non-effervescent, mais rapidement les bulles firent leur apparition (et on ne va pas s’en plaindre !) Pourtant, le Champagne n’eut pas toujours bonne presse voire même se fit complètement dénigrer et mettre au banc par le clergé qui pourtant utilisait du vin pour l’eucharistie.
Alors pourquoi donc cette mauvaise réputation non méritée ? L'oublie, Ancêtre de la Gaufre totalement Oublié ! - droledhistoire.fr. Vous croyez que je ne vous entends pas ? « Mais qu’est ce qu’elle raconte, elle !?! La Gaufre c’est Belge ! Gna-Gna-Gna » Eh bah pas si sure… En France, dès le Moyen Age, on mange de fines pâtisseries rondes, croustillantes cuites entre deux plaques de métal chauffées et généralement ornées de motifs religieux ou d’inscriptions pieuses (appelées des palettes) : les Oublies ! C’est Saint Louis (Louis-IX), en 1270, qui créa la confrérie des oubliyeurs (ou oublieurs, oublayeurs, obloyers voire oubloiers). 2 conditions étaient requises pour devenir Maitre Oubliyeur: – Être capable de forger soi-même ses plaques : autant vous dire qu’une foultitude de motifs existaient puisqu’à chaque pâtissier, son motif ! GAVOTTES : La crêpe-dentelle.