L’alimentation, première responsable de l’effondrement d'une civilisation. Un régime hyperspécialisé qui fragilise Des chercheurs ont examiné le rôle de l'alimentation dans la capacité des Mayas à résister aux périodes de stress climatique intense. Ils ont analysé la composition osseuse de ces populations pour déterminer l’évolution de leur régime alimentaire. Pour les sépultures datant des périodes préclassique et classique, représentant les premiers habitants du Cahal Pech, les résultats montrent que, quelle que soit la classe sociale, les Mayas avaient un régime alimentaire diversifié qui, en plus du maïs, comprenait des plantes et des animaux sauvages obtenus par la cueillette et la chasse.
Les chercheurs suggèrent que cette diversité de nourriture a servi à surmonter une sécheresse de plusieurs siècles entre 300 et 100 avant J. -C. Les choses ont pris une tournure différente à la fin de la période classique, entre 750 et 900 après J. Aujourd'hui aussi nos territoires sont vulnérables Que faire ? Relocaliser l’alimentation à Pamiers ? – Pamiers-Citoyenne. Est-ce possible de relocaliser 80% de notre alimentation avec 100 % de fruits et légumes bio et en diminuant de moitié notre consommation de produits d’origine animale ? La réponse se trouve sur le site PARCEL qui estime les impacts écologiques en fonction de nos choix de changement de régime alimentaire et de part en bio … et c’est OUI !!!
En utilisant toutes les surfaces agricoles de la commune de Pamiers réparties en 6 % pour les fruits bio,8 % aux légumes bio,41 % aux céréales et autres cultures consommées directement (pain, lentilles, huiles, etc.),45 % à l’élevage (est intégré l’ensemble des surfaces de cultures destinées à l’alimentation de l’élevage [prairies, céréales, tourteaux, etc.]), divisées en 18 % en viandes et oeufs,et 27 % en produits laitiers. Pour cela seraient nécessaire 410 emplois agricoles : 300 en maraîchage,74 dans l’élevage,20 en cultures céréalières et16 en arboriculture. Quels sont les impacts écologiques associés à ces choix d’alimentation ? Le top des aliments bons pour l’environnement (et le flop) Alertons nos Maires! L'EX GARDE DU CORPS DE SARKOZY : PÉTROLE, S'ORGANISER AVANT L'APOCALYPSE. Monnaie09 : liste des prestataires publiée - Google Sheets. Prenez l'initiative - Améliorer notre alimentation et nos systèmes de distribution.
Description 40% des gens veulent manger local, pourtant il n’est pas facile de trouver des produits locaux, les producteurs ne pouvant pas assumer à la fois production et la distribution pour répondre à cette forte attente. Sentant cette évolution dans les tendances de consommation, les enseignes des GMS n’offrent cependant que peu de place à l'agriculture locale au regard du chiffre d'affaires qu'elles génèrent et sont bien souvent peu soucieuses de la rémunération des producteurs. En revanche, le marketing efficace qu'elles affichent sur le sujet leur attire une clientèle nombreuse. C’est pour ces raisons que Les artisans du frais et Marchands des 4 saisons.fr souhaitent faire évoluer la loi qui a un lien avec l'alimentation et la distribution afin de permettre aux citoyens d'avoir plus facilement accès à de meilleurs produits et aux agriculteurs de percevoir une rémunération équitable.
Qui sommes-nous ? Thomas et Dominique Duffy sont porteurs du projet Les artisans du frais. Objectif 1. Ni protectionnisme, ni néolibéralisme mais une « relocalisation ouverte », base d'une nouvelle internationale. A chaque crise, le protectionnisme renaît de ses cendres, tel un sauveur. Bien avant, dans le dernier quart du XIXème siècle, les Etats-Nations s’en étaient déjà servi pour se protéger. Ils ne tardèrent pas à s’affronter ... sur le terrain militaire. Aujourd’hui, nos sociétés traversent une période de doutes et de peurs, et surtout de perte de repères et de sens. Les choses s’accélèrent. . « Tout le monde subit les désastres sociaux et écologiques de ce système » C’est ainsi que ces dernières années, nous assistons au retour de discours souverainistes et nationalistes, aussi bien à droite qu’à gauche. A travers ce texte, nous souhaitons ouvrir un dialogue autour des risques que semblent représenter ces replis véhiculés par ce terme.
Nos sociétés, qui plus est avec l’intensification des plans d’austérité, sont dominées par des peurs économiques : peurs du déclassement, de perdre son emploi, du non remboursement d’un prêt, pour l’avenir de ses enfants, etc. L'union fait la France, T-shirt fabriqué en France. Nous sommes 2 entrepreneurs a priori concurrents : un blond vs un brun, un petit vs un grand, un handballeur vs un volleyeur, un alsacien du nord vs d’un drômois du sud, bref un Emmanuel et un Thomas en apparence bien différents ! Il y a 2/3 ans, Emmanuel a créé Storks (cigognes en alsacien) une marque de polos et chaussettes fabriqués en France, et Thomas a créé 1083 (la distance entre les 2 villes les plus éloignées de l'hexagone) une marque de jeans et sneakers fabriqués en France.
Nos deux marques prennent la dimension que vous leur donnez avec vos commandes. Tous ensemble nous maintenons et créons des emplois en France avec des articles de mode de qualité. Notre histoire commune a débuté sur le salon "Made in France Expo" en novembre dernier, à l'apéritif... où l'on s'est mis à parler de vous, qui nous demandez souvent de confectionner en France des t-shirts : si possible abordables parce que les prix... aïe,et si possible en coton bio parce que les pesticides... bof. Rennes. Ils veulent ouvrir un magasin de produits frais. Au départ, ils avaient l'oreille des coopératives d'Ille-et-Vilaine et de la chambre d'agriculture, des élus de Rennes métropole également.
Mais les discussions ont tourné court. « Les élus disent vouloir encourager les produits locaux dans leurs cantines scolaires, dans leurs maisons de retraite... C'est justement ce qu'on veut faire et on nous met des bâtons dans les roues », soupirent Thomas et Dominique Duffy. Un supermarché du frais Leur projet, Les Artisans du frais, c'est « un magasin » (ils préfèrent ce terme à celui de supermarché, assimilé à la grande distribution) de 1 600 m², proposant uniquement des fruits, des légumes et de la viande produits en Bretagne. Le couple Duffy a tenu une grande surface près de Lorient, puis un garage au Rheu pendant dix-huit ans. Une visite est même organisée par la chambre dans l'Ain, un département en pointe dans les réseaux de vente en circuit court. 10 millions d'euros Le refus de Rennes métropole. En signant cette pétition vous défendez commerçants, artisans, producteurs et votre avenir.
Demain, 10 000 emplois climatiques en Pays Basque nord - Bizi ! Centrales nucléaires, Ikea, transports routiers, voie nouvelle LGV ou aéroport de Notre Dame Des Landes, 2X2 voies, OGM, usine à brebis lacaunes ou fermes aux 1000 vaches, toutes ces catastrophes sociales ou environnementales que l’on veut régulièrement nous imposer sont toujours servies sur le même plateau nommé “C’est bon pour l’emploi”. 40 ans de religion de la croissance, de course au productivisme toujours plus poussé, d’aménagement du territoire et de multiplication des transports, de grands projets inutiles et imposés n’ont pourtant conduit qu’à l’explosion du chômage, des inégalités et frustrations sociales, à la déshumanisation de nos sociétés et à la mise en péril de tous les grands équilibres écologiques, en commençant par le dérèglement climatique en cours d’aggravation et d’accélération alarmantes.
Conférence de presse de présentation de l’étude “10 000 emplois climatique en Pays Basque nord” Politique climatique et emplois locaux : Des propositions réalistes : M. Circuits_courts_economiques_et_solidaires.pdf. Cr_journee-circuits-courts-economiques-solidaires-12-janv_labo-ess-2.pdf. Quand commence la saison des tomates ? Comme je débarquais chez mes parents sans prévenir, je les trouvais attablés devant une salade de tomates.
En mars. Soucieuse de s’éviter un prêche sur les légumes de saison, ma mère argua qu’elles venaient de Montauban. Elles étaient donc LOCALES. C’était déjà ça. J’appelais la chambre d’agriculture pour en savoir plus sur ces tomates de terroir. Comment poussent les tomates selon les saisons? Les tomates aiment la chaleur et en hiver, le sol est froid. Si le label bio n'admet pas la culture hors sol, il admet la culture sous serres. Cependant, si une tomate d’hiver (en serre chauffée) est forcément mauvaise pour l’environnement, elle peut avoir bon gout. Comment choisir une tomate qui a du gout? Comme me le précise le conseiller technique de la chambre d’agriculture, le gout d’une tomate est avant tout lié à la variété de la tomate.
Conclusion D’un point de vue environnemental, on peut manger des tomates provençales ou languedociennes à partir de mai (serre froide). Anne Pierce. LEAX. Proposer des vêtements fabriqués en France pour vous, qui êtes soucieux de votre santé, de la qualité de vos produits et de l’environnement. La fabrication et le transport des vêtements ont un impact important sur l'environnement. Nous en sommes pleinement conscients.
C'est pourquoi nous avons décidé de nous engager à ramasser 500 grammes de déchets dans la nature pour chaque produit acheté. Cela permet de contrebalancer notre empreinte sur l'environnement. Cet engagement est possible grâce au partenariat mis en place avec Mountain Riders et leur initiative Mountain Days. Mountain Riders est une association d’information, de sensibilisation et d’éducation au développement durable en montagne. Nos produits sont également pensés de façon à limiter leur impact sur l'environnement tout au long de leur cycle de vie (de sa conception jusqu'à son recyclage). Garantir une qualité de fabrication, participer à la préservation du savoir-faire et des emplois dans le secteur textile français.
Francois Hollande: STOP au lobby de la grande distribution, OUI à l’économie locale. La ferme de commune une vision nouvelle de l'agriculture locale. | Nous le peuple. Le projet se renforce. Francois Hollande: STOP au lobby de la grande distribution, OUI à l’économie locale. A Saint Denis, l'AMAP est anarchiste et ça marche très bien.
Saint-Denis (93), reportage « Attention ! Si tu connais les Amap classiques, tu peux oublier », me lance Emmanuel, avec un air provocateur. Autour de moi, des caisses remplies de légumes et autour des gens qui s’affairent joyeusement. A première vue, rien ne distingue Court Circuit des X Associations pour le maintien d’une agriculture paysanne françaises. Comme les autres, elle permet à des consommateurs d’accéder à des paniers de légumes de saison tout en payant à l’avance leur consommation auprès d’un producteur. Sauf que cette Amap installée au cœur d’un quartier populaire de Saint-Denis (93) n’en est pas vraiment une. Elle n’est pas constituée en association et n’a pas de statuts déposés en préfecture.
. « Généralement, les gens créent des Amap pour les légumes, lance Jean-Claude, un des initiateurs. Pas d’autogestion sans responsabilisation « Tout le monde se prend en main, dit Sylvie, arrivée il y a six mois, tout en déplaçant des caisses de légumes. Ici, pas question ! Auvergne Nouveau Monde. Lunch money: Can schoolkids really eat local without breaking the bank? This is part of a series in which we’re asking what pragmatic steps we can take to make regional food systems more sustainable. We previously spoke with organic farmer Tom Willey, the people at Veritable Vegetable, and a Slow Money guy. When I started asking about the prospect of serving local food as school lunches, I got two conflicting messages. The first message was exuberantly optimistic: By going straight to the farmer, schools could get regional, delicious, and healthy food at the same prices they were getting the normal mystery meat and “barfaroni.”
This is good for the students, and it’s even better for the farmers. When Oakland Unified School District served California chorizo with local kale, “They used literally tons of organic kale, just from one lunch,” Zenobia Barlow, executive director of the Center for Ecoliteracy, told me. The second message was very different: We just spend too little on school lunches to make them environmentally and physically healthy. Le livre. Local food — put a sticker on it! The Windy City is about to roll out a new local food label designed to support the city’s burgeoning urban farming movement.
“Chicago Grown” will soon appear on signs around the city and on stickers on fruit, veggies, herbs, and honey, and eventually on processed items in which they’re included, such as salsa, jams, and even kombucha. Backers believe Chicago Grown will be the first label issued by a major city specifically to promote its urban ag culture. “We really want the label to both increase demand for foods grown through urban agriculture and celebrate that so many people are growing food within Chicago,” says Megan Klein with the Chicago Food Policy Advisory Council (CFPAC), who is spearheading the effort with input from growers around the city.
“We want people to be able to identify who is growing the food around them and to let them know where they can get it.” Chicago Grown and efforts like it are a natural next step for the “buy local” campaigns started in the ’90s. Les circuits courts court -circuitent les intermédiaires. Circuits courts : une nouvelle étude pèse le pour et le contre. Site national des AMAP. Le localisme, seule issue pour le monde ? A l’heure où le monde entier parle de refonder le système financier, à l’heure où l’on recherche en France un nouveau modèle économique et social, à l’heure où les partis politiques français ne savent plus très bien quelle doctrine adopter, voilà une véritable alternative au capitalisme et au socialisme : le localisme. Le localisme est une doctrine politique qui consiste à privilégier ce qui est local sans toutefois se fixer de limites frontalières, favorisant ainsi la démocratie participative, la cohésion sociale et la production de proximité, donc l’emploi local et la préservation de l’environnement via une moindre empreinte écologique liée au transport de marchandises. 1.
Application opérationnelle • Fondements Le localisme ouvert (ou néo-localisme) - qui doit être cosmopolite et diversifié - consiste à réorienter la vie humaine avec une gestion économique, sociale et politique de proximité. . • Géopolitique • Production/Consommation • Système financier • Philosophie 2. 3. 4. . • Le Slow Food. Make Your Eating Habits Local, Save A Seal. Eating locally is a growing trend across the U.S. and around the world as people tune into local food, interested in making connections with local farmers, exploring the bounty of their regions, and enjoying the environmental benefits of cutting down on food miles.
(For a really ambitious project in locavorism, check out Eat Mendocino, in which two young women set out to only eat food from within the boundaries of California’s Mendocino County for the next year.) As it becomes a hot topic, and people discuss the benefits and complexities of the locavore lifestyle, we’re learning more and more about some of the unexpected trickledown effects of eating locally. Over at Grist, the latest Ask Umbra column points out something I hadn’t even thought of: eat locally, save a seal! Bear with me here. The short answer to the reader was “yup, plastic is bad.” Fortunately, there are a couple of ways around it. Here’s where the locavorism angle comes in. Related articles: Girl Scouts Go Locavore. Noël: Les cadeaux «made in France» ont séduit une majorité de Français. Une majorité de Français (55%) a opté pour l'achat de cadeaux «made in France» pour Noël, même s'ils sont encore un certain nombre à juger que ces produits devraient être un peu moins chers ou davantage visibles dans les magasins, indique mercredi une étude OpinionWay pour Alittlemarket.
Selon cette étude réalisée en ligne auprès de 1.054 personnes sélectionnées selon la méthode des quotas, les hommes et les personnes plus âgées sont ceux qui ont le plus offert de cadeaux d'origine française. Ainsi, les hommes sont 58% à avoir favorisé les présents «made in France» (contre 53% pour les femmes), de même que les 65 ans et plus qui les ont plébiscités à 77%. «Lors de mes achats de Noël, j'ai essayé de favoriser les produits Made in France lorsque je le pouvais. Ce sont des produits de qualité et puis on sait d'où ça vient, c'est important à mes yeux, et si ça peut permettre de soutenir l'emploi en France, c'est encore mieux !» Le prix dissuade.