[Comment ça marche ?] La fusion nucléaire.
Stellarator. Fusion Inertielle. Reacteur SPARC (MIT) Maîtriser l'énergie des étoiles, la révolution de demain. Fusion nucléaire : cette start-up promet un "carburant miraculeux" pour 2024. Une société américaine est à l’origine d’une importante levée de fonds.
Son objectif serait de parvenir à maîtriser la fusion nucléaire afin de révolutionner le secteur de l’énergie. En effet, cette énergie serait propre et infinie selon de nombreux experts. Cent millions de degrés Celsius. Des scientifiques chinois veulent réaliser une fusion nucléaire discount avec de l'or. Capable de fournir une énergie illimitée sans générer le moindre déchet, la fusion nucléaire est le Graal des scientifiques du monde entier qui s'échinent à trouver un moyen de fabriquer par ce moyen plus d'électricité que le processus n'en consomme.
Pour l'instant, deux technologies principales s'affrontent. D'un côté, les réacteurs à confinement magnétique comme celui d'ITER actuellement en construction, où les noyaux de deutérium et de tritium sont chauffés à plus de 150 millions de degrés. De l'autre, le réacteur à confinement inertiel comme le Laser Mégajoule, qui consiste à bombarder brièvement les noyaux avec des lasers ultra-puissants. C'est en partant de cette deuxième méthode que des scientifiques chinois ont trouvé une nouvelle manière de produire une réaction de fusion plus efficace, explique le journal South China Morning Post.
Il est l'or. La start-up Helion promet une fusion efficace (et un carburant miraculeux) dès 2024. La fusion, cet insaisissable graal énergétique propre et infini dont l'avenir environnemental de la planète pourrait dépendre, n'a jamais semblé si proche.
Du moins, à en croire la start-up américaine Helion: annonçant une importante levée de fonds, elle a déclaré être en mesure d'atteindre une production nette d'électricité dès 2024. Si les expériences scientifiques comme ITER avancent à leur rythme de projet international, les plus petites structures cherchant à exploiter le principe de la fusion nucléaire à des fins commerciales sont nombreuses, et parfois prometteuses.
En juillet 2021, Helion annonçait déjà avoir réussi à atteindre 100 millions de degrés Celsius avec son prototype de réacteur de sixième génération, nommé Trenta. Hélium 3 Comme l'explique New Atlas, l'approche de la fusion par Helion est originale. Mais comme le précise également New Atlas, cette production d'électricité n'est pas le but premier d'Helion. Nous sommes certes encore loin de cette vision fantasmatique. Fusion nucléaire : on y est presque ! Une puissance de 10 millions de milliards de watts, soit environ un dixième de la puissance instantanée reçue par la Terre de la part du Soleil… Ce résultat, obtenu en seulement un dixième de nanoseconde le 8 août 2021 par le dispositif de fusion nucléaire du National Ignition Facility (NIF) de Californie, ceci à l'aide d'une myriade de lasers de très forte puissance, est absolument colossal.
Mais la véritable prouesse réside dans le rendement énergétique de l'expérience. Pour 1,9 mégajoule produits par les faisceaux laser concentrés, la fusion a généré en retour 1,3 mégajoule, soit un rendement de 0,7. Ce résultat est 24 fois plus important que la meilleure performance jamais obtenue jusqu'ici. Le bond en avant est remarquable. Mais il est surtout prometteur : "Nous avons montré que le seuil d'allumage est bel et bien atteignable ! " >> Découvrez notre podcast : Quel est l'avenir du nucléaire français? "Les conditions de la chambre deviennent astronomiques. 2. 3. L'alternative américaine à Iter réussit son pari. Podcast. La fusion nucléaire, c’est pour quand ? Le 8 août, le laboratoire du National Ignition Facility, en Californie, annonçait une « avancée historique » de la recherche sur la fusion nucléaire.
Une annonce qui a suscité beaucoup d’espoirs : pour ses défenseurs, la fusion nucléaire réglerait une bonne fois pour toutes la question de l’énergie à l’échelle planétaire, voire celle du réchauffement climatique. Mais est-il réaliste d’imaginer un jour des centrales nucléaires à fusion ? En France, le projet international ITER est toujours en cours de construction.
Ce programme international doit démontrer qu’une énergie fondée sur la fusion d’atomes d’hydrogène est possible. On est toutefois encore loin d’un véritable réacteur. Fusion nucléaire : une « avancée historique » réalisée par un laboratoire américain. « Une avancée historique. » Un laboratoire public américain s’est félicité, mardi 17 août, d’avoir produit grâce à la fusion nucléaire davantage d’énergie que jamais auparavant.
L’expérience, qui a eu lieu le 8 août au National Ignition Facility (NIF), en Californie, « a été permise par la concentration de la lumière de lasers », pas moins de 192, « sur une cible de la taille d’un plomb » de chasse, explique un communiqué. Cela a eu pour effet de « produire un point chaud du diamètre d’un cheveu, générant plus de dix quadrillions de watts par la fusion, pendant 100 trillionièmes de secondes. » C’est huit fois plus d’énergie que lors des dernières expériences réalisées au printemps. La fusion nucléaire est considérée par ses défenseurs comme l’énergie de demain, notamment, car elle produit peu de déchets et pas de gaz à effet de serre. La fusion est le processus inverse : on « marie » deux noyaux atomiques légers pour en créer un lourd. Le Monde avec AFP. Fusion nucléaire : du progrès dans le confinement magnétique. A l’inverse de la fission nucléaire qui casse un noyau lourd pour en faire deux plus légers, la fusion, processus qui alimente le cœur des étoiles, consiste à assembler deux noyaux atomiques légers pour en faire un plus lourd.
Reproduire les conditions menant à la fusion est un défi, car ces réactions ont lieu à des pressions et températures extrêmes, qui atteignent des centaines de millions de degrés Celsius. Dans de telles conditions, la matière est confinée par un champ magnétique sous forme de plasma, du gaz ionisé sous l'effet de la chaleur, dans lequel circulent librement électrons et noyaux atomiques. Fusion nucléaire : définition, enjeux et état de la recherche. One step closer to fusion power.
New finding may explain heat loss in fusion reactors. One of the biggest obstacles to making fusion power practical — and realizing its promise of virtually limitless and relatively clean energy — has been that computer models have been unable to predict how the hot, electrically charged gas inside a fusion reactor behaves under the intense heat and pressure required to make atoms stick together.
The key to making fusion work — that is, getting atoms of a heavy form of hydrogen called deuterium to stick together to form helium, releasing a huge amount of energy in the process — is to maintain a sufficiently high temperature and pressure to enable the atoms overcome their resistance to each other. But various kinds of turbulence can stir up this hot soup of particles and dissipate some of the intense heat, and a major problem has been to understand and predict exactly how this turbulence works, and thus how to overcome it. “I’m extremely surprised” by the new results, White says. Persisting eddies. TAE Technologies - Clean, Safe, Abundant Fusion Energy. Google enters race for nuclear fusion technology. Google and a leading nuclear fusion company have developed a new computer algorithm which has significantly speeded up experiments on plasmas, the ultra-hot balls of gas at the heart of the energy technology.
Tri Alpha Energy, which is backed by Microsoft co-founder Paul Allen, has raised over $500m (£383m) in investment. It has worked with Google Research to create what they call the Optometrist algorithm. This enables high-powered computation to be combined with human judgement to find new and better solutions to complex problems. Nuclear fusion, in which atoms are combined at extreme temperatures to release huge amounts of energy, is exceptionally complex. Coulter's Smithing. L’homme qui a construit un réacteur nucléaire dans son jardin. Projet Huemul. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Le Projet Huemul est un projet secret proposé par le scientifique autrichien Ronald Richter (en) au gouvernement argentin en 1948[1]. À la fin des années 1940, un docteur en physique autrichien appelé Ronald Richter avait persuadé le général Perón, président argentin, que l'énergie de fusion était maîtrisable à l'échelle de laboratoire. Il se basait sur le fait que sur une population d'atomes, il y avait statistiquement une fraction (très petite) d'atomes possédant une énergie suffisante pour obtenir la fusion. Peron lui alloua un budget qui a permis à Richter de s'équiper avec le matériel le plus avancé de l'époque, et il lui a confié la construction de ses installations sur une île dans un lac des Andes Patagoniens, près de la ville de Bariloche, une colonie suisse fondée en 1902.
Le projet a été appelé Projet Huemul, selon le nom de l'île.