« L’identité n’est pas essentielle, nous sommes tous des passants » Une nouvelle conscience planétaire émerge, qui se joue des appartenances et des frontières.
Il est temps d’inventer une démocratie pour notre temps, estime Achille Mbembe, historien et philosophe. Le Monde | • Mis à jour le | Par Achille Mbembe (Historien et philosophe) Par Achille Mbembe, historien et philosophe Il n’y a pas longtemps, l’on prétendait délimiter avec plus ou moins de précision la frontière entre ici et ailleurs. Aujourd’hui, un tel exercice est futile. L’humanité a en commun le fait qu’il n’y a pas de monde, de société ou de communauté dont le fondement ne trouve son origine dans une idée ou une autre de la dette. Cette forme originaire de la dette nous place dans l’obligation de léguer à ceux et celles qui viennent après nous un monde autrement possible.
Lire aussi : Une Nuit des idées pour repenser un monde commun En vérité, ce que l’on appelle l’identité n’est pas essentiel. Forces obscures et perverses Lire aussi : Le pape plaide pour un « nouvel humanisme européen » Le numérique, démesure de la puissance. Le numérique, démesure de la puissance Patrick Viveret Ancien conseiller à la Cour des comptes et spécialiste des indicateurs de richesse, philosophe, essayiste altermondialiste, Patrick Viveret est un ténor du bien vivre.
Il est cofondateur de l’initiative internationale « Dialogues en humanité ». Le 15 septembre 2016, lors de l’inauguration de l’exposition La Tour Monde, Fragments des Tours de Du Zhenjun à la Galerie Creative Door à Paris, Patrick Viveret s’est exprimé autour du thème de La transition fulgurante, comparant les mutations radicales actuelles aux mythes de la Tour de Babel et de l’arche de Noé. Comment construire un nouveau monde sur la chute de l’ancien ? « …Plus nous avons besoin de regarder loin dans l’avenir, plus il est nécessaire de faire retour sur la mémoire longue de l’humanité, notamment sur les traditions de sagesse. L’économie dominante a tordu le sens des mots Parler de « révolution numérique » est paradoxal Et quel est le cœur de la physique quantique ? Le pari de Pascal : croire en Dieu sur un coup de dés. Existe-t-il une vie après la mort ?
Certains occultent la question, d'autres en font dépendre toute leur conduite, ce à quoi Blaise Pascal encourage ses lecteurs à travers son "pari", théorisé dans ses Pensées (imprimées en 1669). Avec Adèle Van Reeth, productrice des Nouveaux chemins de la connaissance, et une archive de 1989 faisant entendre la voix du philosophe Francis Kaplan, on décrypte cet argument, alors que s'ouvre à la BnF, à Paris, une exposition consacrée au philosophe et mathématicien.
Alors, qu'est-ce que ce "pari de Pascal" ? L'appellation vient de Pascal lui-même ("Pari sur le problème de l'éternité") et qualifie un argument philosophique qui fit florès, et pourrait se résumer trivialement ainsi : que Dieu existe ou qu'il n'existe pas, autant croire en lui pour être sûr de gagner sa place au paradis, si paradis il y a. À lire sur Gallica : Le "pari" de Pascal est théorisé au chapitre II de ses Pensées. " Écouter 18 min Durée : 18 min Un pari atemporel. École péripatéticienne. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Elle tire son nom du grec ancien peripatetikós (περιπατητικός, « qui aime se promener »[5]), Aristote enseignant au Lycée d'Athènes en marchant avec ses élèves[6]. Courant philosophique[modifier | modifier le code] L'aristotélisme est une notion étroite, qui renvoie strictement à Aristote, tandis que le « péripatétisme » désigne l'ensemble du courant philosophique qui succéda au maître. On parle aussi d'« aristotélisme radical » quand on désigne l'averroïsme latin et qu'on l'oppose au thomisme.
En effet, l'aristotélisme de Thomas d'Aquin et des thomistes préserve la multiplicité des âmes et la spécificité de l'âme (d'essence intellective) dans son union avec le corps (matériel)[7] ; pour le péripatétisme au contraire, l'âme (intellective) est soit matérielle, soit unique pour tous les hommes[8], à partir des postulats que « l'âme est séparée » du corps[9], et que les genres sont universels, i.e. identiques pour tous les hommes. Temporel et spirituel. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Dans l'Occident chrétien, le pouvoir a été réparti entre autorités temporelles et spirituelles : Deux juridictions distinctes se sont mises en place, et ont défini leurs ressorts respectifs. L'Église a pourtant connu, au Moyen Âge et aux Temps modernes, une définition expansive de son ressort. [Quoi ?] Pouvoir spirituel[modifier | modifier le code] Zemmour plus proche que jamais de l'appel à la guerre civile.
Cette frêle personne en appel a la guerre, connaissant l’esprit chevaleresque dont les sepharades sont pourvus, je ne doute pas une seconde qu’il serait prêt à être au premier rang de la bataille, car a l’en croire il regrette que ses ancêtres n’aient pas participé à la charge de Murat.Mais plus sérieusement, comment peut-on laisser ce rachitique personnage dire autant de contre vérités ; "Les résistants français de la WW2 poussaient à la guerre civile", ils n’avaient pas pour but le chaos d’une guerre civile mais la libération de la France des envahisseurs Allemands. mais cet argument bidon lui permet de prétendre être sur une ligne Jean Moulin plus tot que petit rongeur sayan.
"les dirigeants d’aujourd’hui sont obsédé par la paix" Libye, Irak, Afghanistan, Syrie, Mali...qu’est-ce que ça donnerait s’ils étaient va-t-en-guerre ?