L'EQUIPE - Tu garderas ton cap (Ep. 5) : Les conseils du... VIJIE moteurs de recherche.
Décodex: vérification de sources d'informations, pages Facebook et chaînes YouTube. Birdwatch : un outil anti fake news collaboratif pour Twitter. Twitter renforce encore son arsenal contre la désinformation.
Une nouvelle fonctionnalité baptisée Birdwatch est en phase de test sur le réseau de microblogging afin de mettre entre les mains de la communauté les clés de la lutte contre les fake news. Cet outil sur lequel Twitter n'a que peu communiqué prend la forme d'un bouton de signalement similaire à ce qui existe déjà sur la plateforme, à l'exception près que Birdwatch ne permet que d'indiquer si un tweet est trompeur ou non, et de préciser pourquoi il devrait faire l'objet d'un signalement. Rien de bien révolutionnaire en somme ; la vraie nouveauté vient de la possibilité d'écrire une “note” attachée au tweet pour expliquer pourquoi ce dernier est trompeur.
Fact checking N119 FLA CONSULTANTS. Vue de Journalisme et plateformes : de la symbiose à la dépendance. Complot pédophile et menace gauchiste : une semaine dans le Facebook pro-Trump. « Si vous pensez que Donald Trump ne peut pas être réélu en novembre, vous ne passez pas assez de temps sur Facebook. » Fin août, le journaliste du New York Times Kevin Roose publiait le résultat d’une longue analyse des contenus les plus populaires du réseau social dans son pays.
Cette analyse se fondait sur « l’engagement » : une mesure un peu floue qui agrège toutes les interactions générées par un message (partage, commentaire, « like » par les utilisateurs), mais qui permet d’avoir un aperçu de sa visibilité et de son succès. Pendant une semaine, du 11 au 18 septembre, Le Monde a scruté les posts Facebook les plus « engageants » aux Etats-Unis, où le réseau social reste très largement utilisé : au deuxième trimestre, 198 millions de comptes Facebook étaient actifs chaque jour en Amérique du Nord. En 2020, au jeu de l’engagement, il apparaît que la droite américaine sort encore largement victorieuse. Une fake news se répand six fois plus vite qu’une vraie nouvelle. Une étude du MIT publiée dans “Science” montre qu’une information vérifiée et juste met beaucoup plus de temps à se propager sur Twitter qu’une nouvelle erronée.
Flippant. C’est la science qui le dit : une information vraie met six fois plus de temps à parvenir à 1500 personnes sur Twitter que si elle était fausse. C’est en tout cas ce qui ressort d’une étude menée par le MIT, et révélée dans Science le 8 mars. « Je suis très surpris de ces résultats, a expliqué l’un des co-auteurs de l’étude, Sinan Aral, à CNN. Pas par le fait qu’une fake news se propage plus vite, mais par l’ampleur de la différence de vitesse de propagation entre faux et vrai. » Durant deux ans, les trois chercheurs ont étudié le comportement de 126 000 rumeurs diffusées entre 2006 et 2017 sur Twitter par 3 millions de personnes et partagées plus de 4,5 millions de fois. Notes sur le docu Netflix "derrière nos écrans de fumée" Nagui et les chevaux mutilés : itinéraire d’une blague absurde devenue une fake news.
« Je ne comprends rien.
Explique la vanne stp. » Nagui est resté perplexe devant l’information que lui présentait sa collègue et chroniqueuse dans l’émission « la Bande originale », sur France-Inter, Fanny Ruwet. Depuis plusieurs jours, l’animateur de radio et de télévision est au centre d’une blague entre internautes, qui « l’accusent » d’être derrière les mystérieuses mutilations de chevaux constatées un peu partout en France. Dès le milieu de semaine dernière, des tweets humoristiques ont commencé à apparaître. Leur point commun : laisser entendre que Nagui est l’auteur de ces mutilations.
L’un des tweets contient par exemple une capture d’un faux article de « Sud Ouest », présentant un portrait-robot d’un criminel présumé représentant en fait l’animateur. Fake News et Santé. 2019. Viavoice. Fake news Nagui et usurpation médias. Fake news Nagui et usurpation médias. Fake news Nagui et usurpation médias. Nagui en détention pour mutilations sur des animaux : l'animateur victime d'une fake-news. "Madame Hidalgo ment" : on a fact-checké la tirade de Rachida Dati sur la pol...
Invitée de France Inter mardi, Rachida Dati, maire du VIIe arrondissement de Paris, a mis en cause Anne Hidalgo sur son projet d'installer une police municipale à Paris.
Le message de Rachida Dati est clair : selon la maire du VIIe arrondissement de la capitale, "Anne Hidalgo est aux abonnés absents". Notamment sur les questions de sécurité. "La délinquance explose dans notre pays et je ne vous parle pas de Paris, où c'est au-dessus de la moyenne nationale", affirme mardi matin l'ex-candidate Les Républicains à la mairie de Paris sur France Inter. Et de poursuivre : "D'ailleurs, sur votre antenne ou sur une antenne concurrente, elle a affirmé qu'elle avait créé la police municipale. Le double jeu de Facebook sur les fake news. En mars dernier, le magazine américain «Mother Jones», réputé pour son indépendance et distingué maintes fois pour ses enquêtes, s'en prenait frontalement au réseau social le plus fréquenté du monde avec ce titre choc en une : «Comment Facebook nous a tous baisés.»
Pour Monika Bauerlein, CEO, et Clara Jeffery, rédactrice en chef, visiblement très remontées contre ce réseau qui «ne répand pas seulement de fausses informations partout, mais est en train de tuer les vraies», «la désinformation et la manipulation ne sont pas un bug, c'est le cœur même du modèle» du réseau social. À cela plusieurs raisons, principalement économiques. Européennes : comment Facebook tente de lutter contre les "fake news"
Le réseau social a mis en place une "war room" européenne censée lutter contre les fausses informations.
De nouveaux outils sur Facebook pour lutter contre les fake news. Facebook continue de lutter contre les fake news, les groupes sont surveillés de très près. Dans sa lutte contre les fake news, Facebook ne se relâche pas.
Hier, le réseau social annonçait quelques nouvelles mises à jour destinées à bloquer au maximum les contenus mensongers. Cette fois, Facebook a mis l’accent sur les groupes. Justement, début avril, nous apprenions que de nombreux groupes servaient de marché pour la cybercriminalité. Pour le moment, Facebook reste concentré sur les fake news. L’entreprise de Mark Zuckerberg explique que les groupes qui partagent de fausses informations de manière récurrente seront pénalisés dans le référencement. Le réseau social a aussi choisi d’être plus transparent avec ses utilisateurs. Facebook lance une campagne pour aider ses utilisateurs à lutter contre les « fake news » Facebook a annoncé le lancement dans les semaines à venir d’une campagne de sensibilisation aux fake news.
Le réseau social répond ainsi à ses détracteurs qui estiment que la plateforme laisse les fausses informations se propager, sans avoir de contrôle suffisant dessus. Ce programme a donc pour but d’aider les utilisateurs à repérer plus facilement un propos erroné. Il a été mis au point en collaboration avec des spécialistes du fact-checking et sera déployé dans certains pays d’Europe, d’Afrique et du Moyen-Orient, indique l’entreprise sur son blog.