L’éducation des femmes dans l’Allemagne nazie Les femmes du 3ème Reich Anna Maria Sigmund. Les femmes du troisième Reich Anna Maria Sigmund Edition JC Lattès 2004 (mars 2005) Un livre sur les femmes nazis, sur la responsabilité directe ou indirecte de la femme et du féminisme allemand dans le déchaînement de la terreur.
Un livre écrit par une femme, historienne, autrichienne. Un livre courageux tout en symboles. Le malaise actuel dans les relations " officielles " entre hommes et femmes, construit autour de frustrations réciproques -les mouvements féministes et ultra-féministes reprochant, en gros et sans nuances, aux hommes leur violence et leur domination politico-économique, les hommes reprochant aux femmes, en gros et sans nuances, le non respect des règles et leur violence psychologique- ne peut être compris sans une analyse du passé.
La responsabilité des femmes dans l'ascension du régime nazi n'est plus contestée car incontestable. A ce titre, le travail de Anna Maria Sigmund participe au débat démocratique, à la restauration de la mémoire objective. Les femmes de dictateurs et les femmes et le nazisme. Condition des femmes sous le Troisième Reich. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
La femme nationale-socialiste modèle ne travaille pas mais elle est responsable de l'éducation de ses enfants et de la tenue de son foyer. Les femmes n'ont droit qu'à une formation limitée, axée sur les tâches ménagères et sont, au fil du temps, écartées de l'enseignement universitaire, des professions médicales ou du parlement. Night witches: Russian women pilots the Nazis feared. They were schoolgirls and factory workers who had won wings in their local flying clubs, and now they wanted to fly fighter planes in the Great Patriotic War against the Germans.
It is a chapter of Second World War history unknown to most people in the West. Women poured onto Moscow’s Pushkin Square, often after long rail journeys, arriving in the hope of seeing air combat against the Nazis. Within a year, entire regiments of Soviet women pilots fought the invaders, and inspired fear in the Germans, who called them the Night Witches. Femmes résistantes. « Le Monde des Livres » publie des lettres inédites de Himmler à sa femme.
LE MONDE DES LIVRES | • Mis à jour le | Par Jean Birnbaum « Le Monde des livres » publie aujourd'hui, quelques jours avant sa parution en France et en Allemagne, un document exceptionnel : les lettres que Heinrich Himmler envoya à sa femme, Marga, de 1927, l'année de leur rencontre, à 1945, celle où Himmler se suicida.
Dérobés par deux GI américains, ces courriers ont connu un destin non élucidé avant de réapparaître au début des années 1980. Conservés sur microfilms, authentifiés par les spécialistes, ils paraissent sous la forme d'un recueil édité de façon à la fois savante et pédagogique par l'historien Michael Wildt et la politologue Katrin Himmler, par ailleurs petite-nièce de Heinrich. Littérature de la Shoah. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. « De tant de morts donnez-moi la mémoire, de tous ceux-là qui sont devenus cendre, d’une génération donnez-moi la mémoire, sa dernière fureur, sa dernière douleur ».
Isaïe Spiegel, Donnez-moi la mémoire[1]. Stèle en mémoire des Juifs anéantis à Majdanek La littérature de la Shoah est constituée par les ouvrages littéraires qui témoignent directement ou évoquent l'anéantissement des Juifs par le nazisme entre 1939 et 1945. La littérature de la Shoah commence, avant même l'anéantissement dans les camps de concentration et d'extermination, dans les ghettos où sont entassés les Juifs de toute l'Europe allemande. « Tout le monde écrivait » dans les ghettos, note l'historien Ringelblum[2]. Traditions littéraires juives et littérature de l'anéantissement[modifier | modifier le code] Rupture ou continuité des traditions littéraires juives? L'anéantissement, lui, échappe à toute tentative de dénomination. Aufseherin. Irma Grese. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Irma Grese, née le 7 octobre 1923 à Wrechen (Feldberger Seenlandschaft, actuel Arrondissement de Mecklembourg-Strelitz) et pendue le 13 décembre 1945 à la prison de Hameln, était Aufseherin (gardienne auxiliaire Hilfspersonal SS) dans les camps de concentration nazis de Ravensbrück, Auschwitz et de Bergen-Belsen. Surnommée « la hyène de Belsen » à cause de son comportement particulièrement cruel et pervers à l'égard des prisonniers, elle reste l'une des criminelles nazies les plus connues. Biographie[modifier | modifier le code] Jeunesse[modifier | modifier le code] En 1923, Alfred et Bertha Grese, un couple d'agriculteurs allemands, donnent naissance à Irma dans la commune de Wrechen, près de Pasewalk (Mecklembourg)
. « L'Ange blond d'Auschwitz »[modifier | modifier le code] Elisabeth Volkenrath. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Elisabeth Volkenrath Elisabeth Volkenrath, durant sa captivité en 1945 Oberaufseherin (gardienne-chef)Ravensbrück AuschwitzBergen-Belsen Compléments Jugée, condamnée à mort et pendue à Hameln Elisabeth Volkenrath, née le à Schönau an der Katzbach (aujourd’hui Świerzawa), en Silésie[1], et pendue le à Hameln, en Basse-Saxe, était une Aufseherin (gardienne-chef), responsable SS dans différents camps de concentration nazis durant la Seconde Guerre mondiale. Carrière[modifier | modifier le code] Volkenrath fut formée sous la responsabilité de Johanna Langefeld au Camp de concentration de Ravensbrück pendant l'année 1941.