Watch this insanely cool simulation of deep Antarctic water. We begin with Raijin, the Shinto god of thunder, lightning, and storms.
No, seriously — that’s what Australian researchers named the supercomputer that they used to make this incredibly detailed simulation of what’s going on at the bottom of the Southern Ocean around Antarctica. That cold, dark abyss — no, not that one — may seem remote and hard to understand, but it’s actually a key player in Earth’s response to climate change. It should come as no surprise that the surface water around Antarctica is very cold. Cop 21 nucleaire ou pas. Comment les multinationales se servent du changement climatique pour imposer leur futur modèle agricole. Près d’un quart des émissions mondiales de gaz à effet de serre seraient imputables à l’agriculture [1].
Un chiffre inquiétant... et dérangeant. Car il englobe tous les systèmes de production, de l’agriculture « conventionnelle » à l’agriculture biologique, de l’élevage hors-sol à l’élevage pastoral, des monocultures industrielles aux petites fermes en polyculture-élevage. Alors que la responsabilité des agriculteurs dans le réchauffement climatique se retrouve pointée du doigt, des acteurs agro-industriels tirent profit de ces amalgames pour reverdir leur image. C’est le cas de Yara International, une entreprise norvégienne leader des engrais de synthèse, qui a vendu plus de 26 millions de tonnes d’engrais dans 150 pays l’an passé [2]. Le groupe se lance dans l’« intensification durable » ! Agriculture climato-intelligente : un concept dangereux. Capitalocène plus qu'anthropocène.
Christophe Bonneuil, signe, dans « Le Monde Diplomatique » de novembre 2015 un intéressant article dans un « dossier climat » par ailleurs très riche.
Christophe Bonneuil est un des co-auteurs du livre « L’événement anthropocène. La Terre, l’histoire et nous » dont nous avons déjà rendu compte. Toulouse Réunion publique : Changeons le système, pas le climat ! le 26 novembre. Etude Vimers des événements de tempête en Bretagne. L’exposition d’un territoire aux submersions marines dépend non seulement des spécificités topographiques des zones littorales et de leurs ouvrages de défense contre la mer, mais également des conditions hydrodynamiques (états de mer) auxquelles ces zones et ces ouvrages sont exposés, notamment lors de certaines situations aggravantes (vive-eau, tempêtes…). 1°) Les tempêtes : facteurs d’aggravation des risques de submersion Les états de mer les plus critiques en termes de submersions sont ceux générés : par des niveaux marins importants, susceptibles de permettre à la mer de pénétrer sur le territoire, notamment, dans les zones protégées par des digues, en dépassant la côte de crête des ouvrages ; par des fortes houles pouvant occasionner, des submersions par projections de paquets de mer, ou des défaillances des ouvrages de protection (formation de brèches laissant passer l’eau).
Un grand nombre d’événements de tempête a balayé le littoral du grand ouest de la France ces derniers siècles. Climate change might force this Native American tribe off of the land it’s been on for generations. The term “climate refugee” is going to become more and more familiar as the years pass.
It refers to people whose homes will be destroyed by climate change — flooded or made unlivable by fire, drought, or famine — who will then need to find another place to live. Our great staff writer on justice, Aura Bogado, recently dug into this term as she looked at a case in New Zealand: Erika and Teitiota, both originally from Kiribati, decided to leave their climate-threatened South Pacific home because the sand they were trying to live on was sometimes inundated by the ocean. They got New Zealand work visas in 2007 and made a new life for themselves there. The couple soon found work and birthed three children in their new home. North America will have its own climate refugees. Climate change has also lowered their fish population. Planète : la véritable guerre des civilisations a commencé. Six ans après l'échec de Copenhague, la COP21 réunira fin novembre à Paris les délégations du monde entier.
Mais le réchauffement climatique remet en cause les fondements même de la modernité industrielle. +3 °C: portrait d'une planète en surchauffe. Huge coal company misled investors on climate change risk, according to investigation. Maps show how sea-level rise could swallow global icons. Long-term sea-level rise set in motion by near-term carbon emissions threatens major coastal cities across the world.
Here we present paired images showing how iconic locations — in London, Shanghai, Mumbai, Sydney, Rio de Janeiro, Durban, and New York — could fare under scenarios of business as usual vs. a sharp transition to clean energy. In the first image for each pair, we show projections of post-2100 sea-level rise that could be locked in following 4 degrees C (7.2 degrees F) of warming from carbon pollution in the coming decades. This pathway corresponds roughly to business as usual.
Les concentrations de gaz à effet de serre battent de nouveaux records. L'interaction entre le CO2 et la vapeur d'eau amplifie le réchauffement Genève, le 9 novembre 2015 (OMM) – La teneur de l'atmosphère en gaz à effet de serre a atteint un nouveau pic en 2014, poursuivant ainsi une progression inexorable qui alimente le changement climatique et rendra notre planète plus dangereuse et plus inhospitalière pour les générations futures.
Il ressort du bulletin annuel de l'Organisation météorologique mondiale (OMM) sur les gaz à effet de serre que le forçage radiatif, qui a pour effet de réchauffer le climat, s'est accru de 36 % entre 1990 et 2014 à cause des gaz à effet de serre persistants, notamment le dioxyde de carbone (CO2), le méthane (CH4) et le protoxyde d'azote (N2O), d'origine industrielle, agricole et domestique. «Chaque année, les concentrations de gaz à effet de serre battent de nouveaux records», a déclaré le Secrétaire général de l'OMM, Michel Jarraud, «et chaque année nous répétons que le temps presse.
Seul un Français sur cinq estime que le changement climatique impactera notre consommation. Image d'illustration (Crédit : Wikimedia Commons) En mars, une étude BVA révélait que 75 % des Français pensaient que les chances d’aboutir à un accord à la COP21 étaient maigres, voire nulles.
Huit mois plus tard, à trois semaines de l’événement, un nouveau sondage réalisé par l’entreprise Opinionway pour OpenDiplomacy indique qu’ils seraient un peu plus nombreux à y croire. InsideClimate News. 'The Blob' warm pool in the Pacific may prolong life of monster El Nino. Colombie: la sécheresse menace l'un des meilleurs cafés du monde. El Tambo (Colombie) (AFP) - La sévère sécheresse provoquée par le phénomène climatique El Niño préoccupe les caféiculteurs du Nariño, département des Andes colombiennes et berceau de l'un des meilleurs cafés du monde.
"Nous risquons de perdre la récolte. Nous sommes tous désespérés, nous les paysans", a expliqué à l'AFP Raul Fajardo, producteur de café à La Tola, près d'El Tambo, à 1.800 mètres d'altitude sur les flancs du volcan Galeras, dans le nord du Nariño (sud-ouest). M. Fajardo cultive quatre hectares de café, certifié d'origine. L'air inquiet, il surveille sa plantation. "Cela fait six mois que ça dure et les pronostics en annoncent cinq de plus. Comme tous les caféiculteurs du Nariño, il est fier de produire "le meilleur café de Colombie".