Comment l'économie numérique instaure une « société de contrôle » « Les sociétés de contrôle sont en train de remplacer les sociétés disciplinaires » annonçait le philosophe Gilles Deleuze en 1990.
Un quart de siècle plus tard, la prédiction a pris du poids. Avec le numérique, les acteurs économiques collectent des informations sur les comportements individuels puis créent des incitations pour les orienter. L'avènement du contrôle n'a donc pas été guidé par la recherche de pouvoir (comme l'imaginait le philosophe) mais par la quête de profits. Les disciples de Foucault diraient pompeusement qu'un nouveau régime de domination émerge : un vaste réseau décentralisé de contrôle des comportements apparaît. Mener une recherche efficace en ligne. Référentiel de compétences web. CloudConvert - convert anything to anything.
Contexte du marché des systèmes d'information - CIO-Online - chiffres-clés, externalisation. Toute l'actualité "Chiffres-clés" Edition du 04/12/2012 - par Bertrand Lemaire Les entreprises sont encore largement dans le flou concernant le Big Data selon la dernière étude de Markess International.
Non seulement le ROI est difficile à identifier mais de nombreuses entreprises souhaitent davantage savoir de quoi il s'agit. Un tiers des entreprises a du mal à identifier à quoi pourrait bien servir concrètement le Big Data et surtout ce qu'il pourrait rapporter, un quart n'y consacre donc pas de budget significatif. C'est le résultat de la récente étude menée par le cabinet Markess International.
Outre cette difficulté à estimer le retour sur investissement d'un projet en matière de Big Data, seulement un dixième des répondants estime avoir une connaissance suffisante de ce qu'est le Big Data. A propos de l'étude. Dossier Big Data : l'analyse des données intéresse de plus en plus les entreprises. Le volume de données produit et à traiter par les entreprises ne cesse d'augmenter.
Ce constat n'est pas récent. Mais à l'ère d'Internet et de la multiplication des appareils connectés, l'analyse de ces informations hétérogènes est devenue complexe. Un challenge relevé par des technologies très pointues. Le Web croule sous les données textuelles, audiovisuelles et graphiques. En 2008, environ 480 milliards de gigaoctets étaient disponibles sur Internet. Il s'agit d'analyser ces milliards de données afin de dénicher l'information pertinente permettant de prendre la bonne décision. Cette expression Big Data a été évoquée pour la première fois par le cabinet d'études Gartner en 2008. 5 heures par semaine passées à chercher des informations...
Mais cette volumétrie en perpétuelle croissance est aussi un double défi : technologique et économique. Les 3 V du Big Data : Volume, Vitesse et Variété. Le volume des données explose.
Dans un rapport de 2010 consacré au Big Data, McKinsey prédisait une augmentation de 60 % de la marge d’exploitation des retailers qui utiliseraient pleinement ces énormes volumes de données. Aucune entreprise ne souhaite polluer sa base de données transactionnelles avec le Big Data. Cependant la demande d’information est telle qu’elles doivent pouvoir accéder rapidement aux données et mener en temps réel les analyses qui leur offriront une meilleure chance de réagir à l’évolution des tendances. Il est donc important de comprendre les 3 V du Big Data – Volume, Vitesse et Variété. Définition : L’informatique décisionnelle. Fiche Pratique publiée le Jeudi 26 janvier 2012 L’entreprise moderne regorge de données souvent hétérogènes, stockées à différents endroits sous différents formats.
Il n’est pas rare par exemple, que le service marketing d’une entreprise travaille avec un CRM, tandis que le département GRH lui, travaille encore avec des fichiers Excel. Dans ce contexte, la prise de décision est difficile, et cette mauvaise gestion de l’information constitue un manque à gagner terrible pour l’entreprise. Vers une informatique décisionnelle plus visuelle ? Qu'est-ce que l'informatique décisionnelle ?
Conscients que l'une des plus grandes richesses d'une entreprise est son information, mais noyés sous de nombreuses données, éparses, déstructurées et hétérogènes, les dirigeants sont face à une problématique de taille : comment analyser ces informations, dans des temps raisonnables ?
Celles-ci concernent-elles toutes les mêmes périodes ? Ces décideurs ont besoin qu'on leur expose les faits importants, base de leurs décisions. C'est ce à quoi l'informatique décisionnelle (aussi nommée DSS pour Decision Support System ou encore BI pour Business Intelligence) est destinée. Elle prend une place en constante croissance dans les systèmes d'information (SI) depuis son apparition, dans les années quatre-vingt-dix.
Informatique décisionnelle. DATA MINING. Les données feront-elles la fortune des médias ? Si les données sont le nouveau petrodollar, les médias ont peut-être intérêt à commencer à forer.C'est Dennis Crowley, le cofondateur de Foursquare, qui avait judicieusement souligné lors du festival SXSW, être assis sur une mine d'informations susceptibles d'être transformées et revendues à des commerces ou des marques.
Elles sont toutes générées par les interactions numériques de ses utilisateurs. Récemment, le français Nomao a fait un pas dans cette même direction en annonçant le lancement d'un outil de veille sur l'e-réputation pour les commerces locaux. Très malin, le service offre une analyse sémantique et statistique des données produites par les internautes. Mais surtout, il est susceptible de changer le modèle économique du groupe Wikio (maison-mère de Nomao), qui reposait jusqu'ici sur un modèle de média financé par la publicité.
Les données peuvent changer nos pratiques, notre rapport aux autres et initier une nouvelle forme d'intelligence collective. Bienvenue dans la communauté hrchannel.com.