M@gistère Réseaux sociaux et travail collaboratif. « Steve Jobs » : joueur d’orchestre, showman génial et « sale con » Et de trois acteurs !
Steve Jobs est à nouveau porté à l’écran et a droit à « son » deuxième film dédié (voire troisième si on compte « iSteve », un film parodique de 2013) : après Noah Wyle (le Dr John Carter de la série « Urgences ») dans le téléfilm de 1999 « Les Pirates de la Silicon Valley », puis Ashton Kutcher dans « Jobs », de Joshua Michael Stern en 2013, c’est au tour de Michael Fassbender de l’incarner dans « Steve Jobs », qui sort en salles le 3 février. La petite ressemblance de Kutcher avec Jobs était nettement exploitée et l’acteur était bon dans le rôle, mais dans le film réalisé par Danny Boyle, Fassbender, que l’on n’essaie pas de faire ressembler physiquement à son modèle, est excellent.
Bande-annonce de « Steve Jobs » La tech vite évacuée Ce nouvel opus – concentré sur deux décennies à peine, peut-on vraiment parler de biopic ? En 1974, Arthur C. Comme son prédécesseur, le nouveau film est le portrait d’un personnage beaucoup plus que de son œuvre.
Firefox, le meilleur ennemi de Google - Les Echos. L'empire numérique américain, on le perçoit mieux avec des chiffres. On sait que Google, Apple, Facebook, Amazon (Gafa) succèdent à Microsoft, qui, lui-même, avait remplacé IBM dans la domination de l'informatique mondiale.
On sait. On sait que les Européens acceptent cette suprématie comme bienveillante, bénéfique, et en tout cas inéluctable après les nombreux échecs de tentatives de réponses dans les années 1970 comme le Plan Calcul ou Unidata. La Chine a lancé Alibaba et Baidu pour concurrencer Amazon et Google, la Russie les affronte avec Yandex et Vkontakte, rien de tel en Europe, malgré quelques velléités.
L'Europe ne veut pas, ne veut plus, être un empire. Une domination écrasante En outre, l'acceptation de la domination s'appuie sur l'avance indéniable et la qualité réelle des services fournis par les acteurs américains, qui scellent un attachement subjectif des millions d'internautes européens à ces «good guys» du Gafa. L'autre argument qui favorise les géants d'outre-Atlantique est qu'ils véhiculent à merveille le message de la liberté.
L’école deviendra t-elle "data-driven" La collecte massive de données sur des millions d’élèves permet de personnaliser le soutien scolaire – un paradoxe expliquant le succès des tableaux de bords axés sur le Big Data à destination des écoles.
Branching Minds est une startup qui souhaite personnaliser l’apprentissage selon les élèves. La startup ne cible pas les étudiants eux-mêmes, mais les éducateurs à la recherche de contenus taillés sur mesure pour leur "classe" ou leurs apprentis. Le fonctionnement repose sur une mise en contact des éducateurs avec des recherches spécialisées en éducation. Si un élève rencontre une difficulté, par exemple avec la lecture, Branching Minds promet d’isoler une déficience cognitive grâce à un questionnaire simple – avant qu’elle ne prenne trop d’importance pour être réglée. La startup rend ainsi accessible les diagnostics des sciences cognitives : les questionnaires permettent de corréler une difficulté particulière à des comportements facilement observables par les éducateurs. Europe’s big challenge: Creating a digital single market. Jean-Claude Juncker, the new European Union Council President, made expanding economic growth and jobs the number-one priority of his campaign platform.
“The key ingredient,” he declared, is to “create a digital single market for consumers and businesses” with the aspiration of generating €500 billion and “hundreds of thousands of jobs” during the mandate of the incoming Commission. President Juncker is right to recognize the digital economy as a key driver of growth. To implement this agenda, Juncker was to propose his new line-up of commissioners. He introduced the position of “vice president for the digital single market” with the aim of making Europe “a world leader in information and communications technology, with all the tools to succeed in the global digital economy and society.” To fill this position, Juncker named former Estonian Prime Minister Andrus Ansip.
Comment préparer nos élèves à affronter l'incertitude ? (with images, tweets) · 2vanssay. Qu'est ce qu'un algorithme ? Explication avec la recette des crêpes ~ Sweet Random Science. Aujourd’hui, je réponds à la question de la petite Solène, qui se demande ce que peut bien être un algorithme.
J'ai récemment adapté ce petit billet en vidéo avec mes comparses de Big Bang Science, en version un peu simplifiée. N'hésitez pas à me dire ce que vous en pensez, ça me permettra de corriger certaines problèmes et d'adapter le niveau de vulgarisation pour d'éventuelles autres vidéos :) Algorithme : ce mot ne cache rien de bien méchant : un algorithme est simplement une suite d'instructions permettant de faire quelque-chose. Une recette de cuisine, par exemple, est un algorithme : une suite d'opérations simples permettant de passer des ingrédients à un plat préparé.On représente souvent l'algorithme de façon schématique, en décomposant les étapes et en les reliant par des flèches, un peu comme ci-dessous : Pour faire des crêpes, il suffit de suivre les instructions dans l'ordre.
Jean-Michel Crosnier sur Twitter : "Des informaticiens payés très cher pour te faire croire que tu n'es PAS un cheval ;) #algorithmes @sylvaindenisedu.