L’Amérique Latine défend le Venezuela face au décret du président Obama. Rapprochement de Caracas avec Athènes. Après la décision du président Barack Obama, le 9 mars 2015, de décréter « l’urgence nationale aux États-Unis » face à la « menace inhabituelle et extraordinaire pour la sécurité nationale et notre politique extérieure qu’est le Venezuela » (sic), le président de Bolivie Evo Morales a demandé une réunion d’urgence de l’UNASUR (organisme regroupant la totalité des nations sud-américaines) et de la CELAC (Communauté élargie des États Latino-américains et des Caraïbes) « pour nous déclarer en état d’urgence et défendre le Venezuela face à l’agression de Barack Obama.
Argentine : l’expérience d’un journal « récupéré » et autogéré (entretien) De la crise à la récupération.
Défaite de la tentative de coup d’État. L’ex-président Lula critique l’ingérence des États-Unis dans les élections vénézuéliennes. Au Venezuela, victoire du « chavisme sans Chávez », par Maurice Lemoine. En élisant M.
Nicolas Maduro (Parti socialiste uni du Venezuela ; PSUV) avec 50,75 % des voix, le 14 avril, les Vénézuéliens ont, à une courte majorité, manifesté leur fidélité à l’héritage de feu le président Hugo Chávez et à la « révolution bolivarienne » qu’il a initiée. Comme le laissaient prévoir les déclarations qui ont ponctué ces dernières semaines, le candidat de la Table d’unité démocratique (MUD ; coalition de droite), M.
Think there's no alternative? Latin America has a few. Ever since the crash of 2008 exposed the rotten core of a failed economic model, we've been told there are no viable alternatives.
As Europe sinks deeper into austerity, governing parties of whatever stripe are routinely rejected by disillusioned voters – only to be replaced by others delivering more welfare cuts, privatisation and inequality. So what should we make of a part of the world where governments have resolutely turned their back on that model, slashed poverty and inequality, taken back industries and resources from corporate control, massively expanded public services and democratic participation – and keep getting re-elected in fiercely contested elections? That is what has been happening in Latin America for a decade.
The latest political leader to underline the trend is the radical economist Rafael Correa, re-elected as president of Ecuador at the weekend with an increased 57% share of the vote, while Correa's party won an outright majority in parliament. Rafael Correa, un président toujours gagnant. Rafael Correa vient de remporter un troisième mandat d'affilée à la présidence de l'Equateur.
Comment s'explique cette nouvelle victoire ? La presse est profondément divisée sur les raisons de ce succès. 18 février 2013 | Partager : Entretien avec Ignacio Ramonet, par Raul Zibechi, grand spécialiste latino-américain des mouvements sociaux (en espagnol) « Dans les pays avancés, le capitalisme tend à devenir plus sauvage et à ressembler aux économies émergentes latino-américaines » Mémoire des luttes (Mdl) : Dans votre ouvrage, vous vous intéressez particulièrement aux économies émergentes d’Argentine, du Brésil, du Chili, de la Colombie et du Mexique.
De quelle manière sont-elles exposées aux activités de la finance internationale et à la crise systémique du capitalisme ? Pierre Salama (PS) : La globalisation commerciale est plus importante qu’il y a une vingtaine d’années, sans pour autant être très élevée. En revanche, la globalisation financière, elle, s’est beaucoup développée dans la même période. Désormais, les capitaux de toutes sortes voyagent relativement librement sur la planète. Ils entrent et sortent facilement de tout pays. Rude choc pour les antichavistes primaires. Étienne Chouard : Hugo Chavez. Chavez en campagne, par Ignacio Ramonet. Sources : Le Monde Diplomatique en espagnol/Mémoire des Luttes, premier Août 2012 C’est la quatorzième.
Depuis qu’il a gagné sa première élection présidentielle en décembre 1998, Hugo Chavez s’est déjà soumis – directement ou indirectement – treize fois au suffrage des électeurs du Venezuela. Tentative d’exploitation électoraliste d’une tragédie. La campagne électorale pour l’élection présidentielle suit son cours au Venezuela.
Le président Hugo Chávez laisse sporadiquement la place au candidat Hugo Chávez lors de ses déplacements dans les provinces du pays. Quand Charlie Hebdo chasse avec les chiens de garde. par Vladimir MARCIAC. Tandis que se construit l’Europe de la concurrence et de l’argent-roi, de la compétition inamicale entre les pays de l’UE, tandis que nos médias privés condamnent le travailleur grec (oisif et non imposé), l’Espagnol dépensier, l’Italien combinard, le Français aux 35 heures et qu’ils alimentent la crainte de voir arriver le plombier polonais, les pays du sous-continent latino-américain se dressent un à un contre l’Empire dans un processus solidaire où chacun aide l’autre et se réjouit de ses succès.
Après Cuba, qui fut longtemps seule, le Venezuela, la Bolivie, le Nicaragua, l’Equateur, d’autres, à des degrés divers, ont choisi l’entraide dans la récupération de leur souveraineté. Des organismes interétatiques ont été mis en place, qui réunissent nombre de pays latinos-américains. Pour ces raisons-là , ces pays sont mitraillés par nos médias. Brève histoire contemporaine des mouvements sociaux en Amérique latine. Pour expliquer l’émergence et l’affirmation des gouvernements progressistes [1] en Amérique latine depuis la première élection de Hugo Chávez à la présidence du Venezuela en 1998, il faut prendre la mesure du rôle joué par les mouvements sociaux dans cette région au cours des vingt dernières années.
Ces mouvements ont des histoires, des bases sociales et revendicatives et des ancrages dans les territoires ruraux ou urbains très différents. Ils sont néanmoins capables de se mobiliser collectivement autour d’objectifs communs, notamment lorsqu’un projet politique gouvernemental, supranational ou économique (stratégie d’une multinationale par exemple) menace les secteurs qu’ils représentent. La Bolivie avant et après Evo (La Jornada) par Angel GUERRA CABRERA. Les entreprises publiques crées par la révolution de 1952 ont été privatisées à un prix de liquidation en obéissance aux ordres du Consensus de Washington au moyen de dispositions anticonstitutionnelles et de scandaleux négoces d’armes entre l’oligarchie et les multinationales.
Mieux vaut un exemple pour illustrer ce pillage : le président néo-libéral Gonzalo Sánchez de Lozada(1993-97 ; 2002-03), à lui seul, est parvenu à une fortune de plus de 250 000 000 de dollars grâce aux privatisations, au chômage créé par celles-ci et affectant des dizaines de milliers de travailleurs, à la renonciation aux ressources naturelles et à la souveraineté nationale, ainsi qu’à la répression sanglante des mouvements qui refusaient cette politique. Il a considérablement étendu les services de santé à des millions de gens qui n’y avaient pas accès et il a ouvert des milliers d’écoles. C’est un membre prestigieux de l’ALBA et de l’UNASUR et il intégrera sûrement bientôt le MERCOSUR. Déclaration de Caracas Les peuples du monde unis contre le néolibéralisme et pour la paix. 1. La XVIIIe rencontre du Forum de Sao Paulo (FSP), qui s’est tenue à Caracas les 4, 5 et 6 juillet 2012, s’est déroulée dans un contexte de crise structurelle profonde du capitalisme, conjuguée à une lutte pour le contrôle d’espaces géopolitiques et géostratégiques, à l’émergence de nouveaux pôles de pouvoir, à des menaces pesant sur la paix mondiale et à l’agressivité militaire et interventionniste d’un impérialisme tentant d’enrayer son déclin.
A la crise économique s’ajoute une crise environnementale, énergétique et alimentaire, ainsi qu’une crise des systèmes de représentation politique. Cette situation appelle une réponse déterminée de la part des peuples latino-américains et caribéens, et une action efficace des forces progressistes, populaires et de gauche. 2. La crise économique mondiale est loin d’être maîtrisée. Noam Chomsky : La guerre des États-Unis sur l’Amérique latine. Hugo Chavez augmente le salaire minimum de 32,25% pour 4 millions de. Hugo Chavez, le président du Venezuela, a décidé d’augmenter le salaire minimum de 32,25%, ce qui en fera le salaire minimum le plus élevé de l’Amérique Latine.
Cette hausse s’appliquera selon deux périodes : la première augmentation de 15% aura lieu le premier mai et la seconde, de 17,25%, le premier septembre. Le salaire minimum atteindra ainsi le montant de 476 dollars en monnaie locale. Democracies can stop predatory financiers – Argentina has shown how. President Kirchner holds a sample of the first petroleum extraction in Argentina as she announces that YPF is subject to expropriation. Bolivie, « les quatre contradictions de notre révolution », par Alvaro Garcia Linera. Un vice-président face à l’exercice du pouvoir En juin dernier, le Fonds monétaire international (FMI) et la Banque mondiale ont loué la « solide gestion macroéconomique » du gouvernement bolivien.
En Equateur, la "révolution citoyenne" s'interroge sur son rapport au capitalisme. Et de trois : après la Bolivie et l'Équateur, le Venezuela quitte le CIRDI ! par Cecile LAMARQUE. La présidente Cristina Kirchner réélue en Argentine dès le premier tour. Mouvement étudiant et inégalités sociales au Chili - une vidéo Actu et Politique. Coup d'Etat au Honduras. What Argentina’s economic crisis could teach the West. Retour de Manuel Zelaya au Honduras après le coup d’Etat : de la désinformation à l’oubli ? Latin America shakes off the US yoke. On Thursday, the United States expelled the ambassador from Ecuador, in retaliation for Wednesday's expulsion of the US ambassador from Ecuador. This now leaves the United States without ambassadorial relations in three South American countries – Bolivia and Venezuela being the other two – thus surpassing the Bush administration in its diplomatic problems in the region.
US Ambassador Heather Hodges was declared "persona non grata" and asked to leave Ecuador "as soon as possible", after a diplomatic cable released by WikiLeaks showed her saying some disparaging things about Ecuador's president, Rafael Correa. In the cable, she alleges that President Correa had knowledge of corruption by a former head of the national police. Ecuador expels US ambassador over Wikileaks cable.
5 April 2011Last updated at 19:13 Ecuador has asked Ambassador Hodges to leave as soon as possible Ecuador has announced it is expelling the US ambassador in Quito. The move follows the release on Monday by the whistle-blowing website Wikileaks of a US diplomatic cable alleging widespread corruption within the Ecuadorean police force. Foreign Minister Ricardo Patino said he had asked Ambassador Heather Hodges to leave the country as soon as possible. The US state department called the decision "unjustified" and said it deeply regretted it. Peru's presidential election: The populist crowd. Peru election: No country 'left' behind.