INFOGRAPHIE. Plus de 80.000 migrants sont arrivés en Europe depuis le début de l'année. Laure Cometti Twitter Publié le Mis à jour le La Grèce vient d’annoncer officiellement l’ouverture mercredi de quatre « hotspots » dédiés à « canaliser » les flux migratoires vers l’Europe en distinguant les réfugiés des migrants économiques. Ces centres exigés par Bruxelles seront-ils à la hauteur de la situation exceptionnelle que connaît l’espace Schengen depuis 2015 ? En à peine deux mois, plus de 80.000 migrants sont déjà entrés en Europe en 2016, après le record du million d’arrivées atteint en 2015.
L’Italie et la Grèce sont les deux portes d’entrée de l’Europe avec respectivement près de 154.000 et 885.000 arrivées en 2015. 20 Minutes fait le point sur les chiffres de cette crise migratoire et les routes empruntées par les réfugiés. Mots-clés : Référendum sur l'appartenance du Royaume-Uni à l'Union européenne. Le référendum sur l'appartenance du Royaume-Uni à l'Union européenne a lieu le 23 juin 2016. À la question « Le Royaume-Uni doit-il rester un membre de l'Union européenne ou quitter l'Union européenne ? » (« Should the United Kingdom remain a member of the European Union or leave the European Union? »), 51,89 % des votants répondent « Quitter l'Union européenne ».
C'est la première fois que la population d'un État membre se prononce en faveur de la sortie de l'Union européenne. Le 29 mars 2017, la Première ministre Theresa May informe le Conseil européen du souhait du Royaume-Uni de quitter l'Union européenne, lançant formellement la procédure de retrait. Contexte[modifier | modifier le code] La Communauté économique européenne (CEE) a été créée en 1957. Législation[modifier | modifier le code] Le European Union Referendum Act 2015 reçoit la sanction royale le 17 décembre 2015. La loi prévoit seulement l'organisation du référendum et non la procédure de sortie de l'Union européenne. Crise de la dette publique grecque. La Grèce est entrée d'abord dans l'Union européenne (CEE) en 1981 puis dans l'Eurozone en 2001 après quelques péripéties[1].
La crise économique mondiale de 2008 trouve la Grèce handicapée par un fort endettement[2] (environ 177 % du PIB fin 2014) et un fort déficit budgétaire (plus de 13 % du PIB)[3]. Cette situation n'entre pas dans les critères de convergence pour entrer dans la zone euro et le gouvernement grec l'a occultée lors de la présentation de sa dette publique, notamment par la collecte de fonds hors bilan et par le biais d'instruments financiers mis au point par la banque d'investissement Goldman Sachs[4], ce qui a participé à l'aggravation de la crise.
L'ampleur des problèmes structurels du pays, sa difficulté à prélever l'impôt, son budget militaire surdimensionné et sa dépendance aux fonds structurels européens sont des composantes fortes de la crise grecque dans la zone euro. La crise a connu trois pics de tensions, chronologiquement : Notes[modifier | modifier le code] Référendum grec de 2015. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Contexte[modifier | modifier le code] Mardi 30 juin, les négociations entre les parties semblaient continuer, « la porte restait ouverte » pour Angela Merkel et la question de la restructuration de la dette était sur la table[4], tandis que le pays se trouve en défaut de paiement du FMI[5] et sous contrôle de capitaux[6]. Mercredi 1er juillet, Aléxis Tsípras faisait une nouvelle proposition, acceptation de la proposition initiale, avec quelques amendements, contre un nouveau plan d'aide et une restructuration de la dette, tandis que l'Eurogroupe annonce après une ultime réunion qu'il n'y aurait plus de négociations avant le référendum[7].
Le 2 juillet, François Hollande déclare que si le « oui » l'emporte, « la négociation peut très facilement s'engager. Si c'est le non, on rentre dans une forme d'inconnu. C'est aux Grecs de répondre »[8]. Question du référendum[modifier | modifier le code] Positions[modifier | modifier le code] Contre l'austérité, la Grèce donne le pouvoir à Syriza. INFOGRAPHIE - Après la très nette victoire de son parti, le jeune leader de la gauche radicale Alexis Tsipras devrait être chargé de former un gouvernement ce lundi. Alexis Tsipras attend désormais d'être convoqué, dès ce lundi après-midi, par le président de la République, pour former le nouveau gouvernement grec. Après la très nette victoire de son parti, Syriza, dimanche lors des législatives anticipées, il a le soir même adopté, face à ses supporters massés sur une grande place du centre ville d'Athènes, une stature et un ton de premier ministre, sûr d'avoir une majorité dans la nouvelle Assemblée.
«Le mandat donné par le peuple annule les plans d'austérité», a lancé Alexis Tsipras à la foule. «Le nouveau gouvernement évitera la confrontation destructrice avec ses partenaires» européens, a-t-il toutefois lancé, en souhaitant négocier avec ses créanciers une «nouvelle solution viable» pour la Grèce et l'Europe. Alexis Tsipras a fixé une ligne à d'éventuelles alliances. Sauvetage de la Grèce : des positions qui se rapprochent dans la douleur. TPE. Brexit : cinq raisons pour lesquelles les Britanniques veulent nous quitter. Les vingt huit pays membres négocient à Bruxelles pour le maintient de la Grande-Bretagne dans l'Union européenne, les eurosceptiques militent pour s'affranchir des règles économiques, reprendre le contrôle des frontières et restaurer leur souveraineté nationale. De notre correspondant à Londres Depuis des années, les eurosceptiques font campagne pour obtenir un référendum sur l'appartenance du Royaume-Uni à l'Union européenne.
Leur argument: depuis l'adhésion du pays en 1973, ratifiée (à 67%) par la population en 1975, l'Europe a complètement changé de nature. Les Britanniques avaient rejoint un grand marché économique et se retrouvent, sans avoir eu leur mot à dire, dans une union politique en marche vers une intégration croissante. Alors qu'a lieu jeudi un sommet européen crucial pour l'avenir du Royaume-Uni dans l'Union européenne, voici leur heure venue pour justifier leurs motivations pour un Brexit. 1- Contrôler l'immigration 2- Restaurer la souveraineté nationale.
B) Crise Européenne.