Écossais, Nord-Irlandais, Gallois, Anglais... Quatre Britanniques disent au revoir à l'Union européenne. Gordon Gibb aime cuisiner.
Il n’y a qu’à dîner à sa table pour le constater. Déjà, en entrant chez lui, à Stirling, entre Glasgow et Edimbourg, on devine que la cuisine tient une place à part dans sa vie : la pièce est spacieuse et surtout parfaitement équipée. Des casseroles de toutes les tailles et de toutes les formes semblent joliment tomber du plafond, alors qu’une vingtaine de couteaux aimantés au-dessus d’un plan de travail, ordonné comme un jardin à la française, finissent de vous convaincre de sa dextérité autant que de son sens du rangement.
"J’ai préparé du haggis, le plat traditionnel écossais, mais avant, nous allons aller boire une bière. Ce sera mieux pour discuter. " Et lorsque Gordon boit une bière à Stirling, ce n’est pas n’importe où. Et puis il y a Douglas, qui passe d’une table à l’autre avant de s’attarder à la nôtre. L’avis de Gordon est beaucoup plus tranché. L’année dernière, Gordon est venu huit fois en France, chez des amis, en région parisienne. Brexit : doit-on s’attendre au retour de l’empire commercial britannique ? Le Royaume-Uni est prêt à reprendre sa place dans le commerce international dès le 31 janvier 2020.
À quelques jours de la sortie (définitive cette fois) du Royaume-Uni de l'UE, l'inquiétude se ressent de part et d'autre de la Manche sur l'avenir des relations commerciales des nouveaux divorcés. Si les deux parties ont toujours affiché une volonté marquée de maintenir des relations commerciales fortes, ou tout du moins cordiales après la séparation, l'absence d'accord ne rassure pas les entreprises. Brexit : les députés britanniques donnent leur feu vert à la sortie de l'Union européenne, après plus de trois ans de crise. Lors d'un vote historique, les députés britanniques ont approuvé le texte qui permettra au Royaume-Uni de quitter l'Union européenne le 31 janvier.
Les députés britanniques ont donné jeudi 9 janvier, lors d'un vote historique après trois ans et demi de crise, leur approbation finale au texte qui permettra au Royaume-Uni de quitter l'Union européenne le 31 janvier. La Chambre des communes, largement dominée par les conservateurs du Premier ministre Boris Johnson, a adopté le texte à 330 voix pour (231 contre). Après son examen par la Chambre des Lords – la chambre haute du Parlement – la semaine prochaine puis l'assentiment de la reine, le texte, qui traduit dans la loi l'accord de Brexit, devra être ratifié par le Parlement européen le 29 janvier, deux jours avant la date fatidique. Royaume-Uni : les députés approuvent la première étape de l'accord de Brexit de Boris Johnson. Les députés de la Chambre des communes ont décidé, par 358 voix pour (234 contre) de lancer le projet de loi traduisant dans la loi l'accord de divorce négocié avec Bruxelles.
L'accord de Brexit du Premier ministre britannique Boris Johnson a franchi, vendredi 20 décembre, une première étape décisive au Parlement. Ce vote met sur les rails, sans attendre Noël, la sortie du Royaume-Uni de l'Union européenne le 31 janvier. Après trois ans de crise et de blocages après le référendum de 2016, le bouillonnant dirigeant conservateur a remporté, le 12 décembre, une majorité écrasante lors des élections législatives, lui ouvrant un boulevard pour remplir sa promesse de mettre en œuvre le Brexit, approuvé à 52% par les Britanniques en juin 2016.
PM letter to Juncker WEB. Brexit : « La Cour suprême a décidé que les pouvoirs du gouvernement étaient limités par la souveraineté du Parlement » La Cour suprême britannique a unanimement jugé illégale mardi la suspension du Parlement décidée par Boris Johnson, une décision spectaculaire et une défaite majeure pour le premier ministre, visé depuis par de nombreux appels à la démission. « Personne, pas même le premier ministre, n’est au-dessus des lois », se félicite Joelle Grogan, professeure de droit à l’université Middlesex London, qui répond aux questions du Monde.
Quelle est la portée du jugement de la Cour suprême ? C’est un tremblement de terre. Les onze juges les plus importants du pays ont décidé, à l’unanimité, que les pouvoirs du gouvernement étaient limités par la souveraineté du Parlement, et par son devoir de s’expliquer (accountability) auprès du Parlement. La suspension du Parlement britannique a donné lieu à des scènes surréalistes.
MPs debate no-deal Brexit - watch live. Boris Johnson menace de ne pas payer la facture du Brexit. Brexit : Theresa May démissionne avec le « regret de ne pas avoir pu le mettre en œuvre » Elections européennes : quatre mois après sa création, le Brexit Party veut "changer la politique pour de bon" au Royaume-Uni. Les Britanniques se rendent aux urnes jeudi pour élire leurs eurodéputés.
Organisées à la dernière minute, ces élections qui, traditionnellement, mobilisent peu, marquent l'émergence cette année d'une toute nouvelle force : le Brexit Party. Qu’ils en veuillent ou non, les Britanniques ne viennent-ils pas de l’obtenir, ce fameux second référendum sur leur sortie de l’UE ? Ironie du sort, il s’agit des élections européennes. Jeudi 23 mai, les électeurs d’outre-Manche doivent choisir leurs eurodéputés. Alors que le gouvernement de Theresa May a obtenu une rallonge jusqu’au 31 octobre pour convaincre son Parlement divisé de valider son accord de sortie négocié avec Bruxelles, les futurs ex-heureux élus ne devraient siéger qu’une poignée de semaines avant de quitter définitivement Strasbourg.
Comment expliquer cette ascension fulgurante ? "Qu’est-ce que nous voulons ? Ici, tous ont rejoint le parti il y a quatre, cinq ou six semaines. Pour autant, l'élan n'a pas faibli, au contraire. REPLAY. Royaume-Uni : regardez le documentaire inédit "God Save Brexit" Brexit : les quatre contreparties demandées au Royaume-Uni après le nouveau report. Les dirigeants européens et Theresa May sont tombés d'accord sur un report de la sortie du Royaume-Uni de l'UE pouvant aller jusqu'au 31 octobre.
Un compromis qui ne va pas que dans un sens. Le scénario d'une séparation brutale est pour l'instant écarté. Les dirigeants européens et la Première ministre britannique, Theresa May, se sont mis d'accord dans la nuit du mercredi 10 au jeudi 11 avril, sur un report du Brexit. La date butoir est désormais fixée au 31 octobre 2019. Un nouveau délai qui implique quelques conditions. L’histoire du Brexit, épisode 2/2 : « Un accord impossible ? » L’histoire du Brexit, épisode 1/2 : « Le pari raté de David Cameron » 22h02 - Un report du Brexit aura "un coût", prévient Bruxelles. Démission de May, nouveau référendum, « backstop »... nos réponses à vos questions sur le Brexit. Brexit : le coût exorbitant d'une sortie sans accord. D’un point de vue économique, un Brexit sans accord signifie que les relations commerciales entre l’Union européenne et le Royaume-Uni seront régulées par les règles de l’Organisation mondiale du commerce.
Mais aussi que demain, pour vendre aux consommateurs européens, les exportateurs britanniques devront prouver qu’ils respectent les règles européennes. Ce qui peut s'avérer coûteux. Vincent Vicard*, auteur de cet article, est économiste au Centre d'études prospectives et d'informations internationales (CEPII). La version originale de cet article a été publiée sur le site The Conversation dont franceinfo est partenaire.
L’incertitude est totale après le rejet par les députés britanniques de l’accord de sortie de l’Union européenne négocié entre le gouvernement britannique et la Commission européenne. Concrètement, cela signifie que demain, pour vendre aux consommateurs européens, les exportateurs britanniques devront prouver qu’ils respectent les règles européennes. Je donne mon avis. Le rejet du projet d'accord sur le Brexit - Analyse de François Asselineau. « La France risque d'être la grande perdante du Brexit » Royaume-Uni : le ministre chargé du Brexit démissionne en critiquant l’accord trouvé avec l’UE. Brexit : manifestation à Londres pour un nouveau référendum.
Les partisans d’un référendum sur l’accord – ou l’absence d’accord – avec l’Union européenne ont commencé à défiler dans le centre de la capitale. Ils veulent en faire « la plus grande » et la plus « bruyante » des manifestations. Des dizaines de milliers de personnes venues de tout le Royaume-Uni ont commencé à manifester, samedi 20 octobre, à Londres, pour réclamer un nouveau référendum sur l’accord final issu des négociations entre Londres et Bruxelles concernant le Brexit. Les manifestants, venus dans plus de 150 cars, se sont élancés dans le centre de la capitale en direction du Parlement, à l’appel de People’s Vote, un mouvement militant pour un « vote populaire ».
A l’avant du cortège défilaient un millier de jeunes manifestants, ainsi qu’une importante cohorte de citoyens européens, représentés notamment par The3Million, un groupe de pression défendant les intérêts des quelque 3,7 millions d’Européens installés au Royaume-Uni. Royaume-Uni : Theresa May dirigera désormais les négociations sur le Brexit. Mme May déclare préparer « les modalités d’une sortie » de l’UE « sans accord » Royaume-Uni : le ministre du Brexit, David Davis, a démissionné.
Il a justifié sa décision dans un courrier adressé à Theresa May : « L’intérêt national exige un ministre du Brexit qui croie fermement en votre approche, pas seulement un conscrit réticent. » Le Monde | 09.07.2018 à 01h04 • Mis à jour le 09.07.2018 à 10h32 | Par Philippe Bernard (Londres, correspondant) Aucun camouflet ne pouvait être plus violent.
Le sort du Brexit suspendu au vote du Parlement de Westminster. Les députés britanniques entreprennent à partir de ce mardi un nouvel examen du projet de loi sur la sortie de l’Union européenne.
Le Monde | 12.06.2018 à 01h29 • Mis à jour le 12.06.2018 à 12h40 | Par Philippe Bernard (Londres, correspondant) Le sort du Brexit, mais aussi le pouvoir du Parlement face à l’exécutif, sont en jeu mardi 12 et mercredi 13 juin à la Chambre des communes, avec une série de votes déterminants pour la position de Theresa May dans la négociation du divorce avec les Vingt-Sept. Formellement, les députés britanniques examinent en seconde lecture le projet de loi sur la sortie de l’Union européenne (UE), un texte fleuve qui abroge le principe d’intégration automatique des textes européens dans la législation nationale, et en même temps réintègre l’ensemble de ces textes pour éviter tout hiatus. Le-brexit-coutera-70-milliards-d-euros-aux-exportateurs-europeens. Brexit, Briefly. Le Parlement britannique pourrait annuler le Brexit en cas d'échec des négociations avec l'UE. 19h54 , le 30 avril 2018 Theresa May, la Première ministre britannique, vit une dure journée.
Non seulement elle traverse une crise gouvernementale - avec la démission de sa ministre de l'Intérieur Amber Rudd -, mais elle vient de subir un important revers dans le cadre du débat parlementaire sur le projet de loi sur la sortie de son pays de l'Union européenne (UE). En effet, les Lords britanniques ont octroyé au Parlement, via un amendement voté lundi, le droit d'annuler le Brexit en cas d'échec des négociations avec Bruxelles. Et justement, le négociateur en chef de l'UE, le Français Michel Barnier, a mis en garde lundi contre le "risque" d'un tel échec. 15 décembre 2017 : le jour où... l'Europe a fait semblant d'entériner le Brexit. Brexit : les amples concessions de Theresa May. Les expatriés, le chèque de départ et le sort de l’Irlande : un compromis a été trouvé entre l’UE et le Royaume-Uni. La deuxième phase des discussions sur les futures relations commerciales va pouvoir commencer.
LE MONDE | • Mis à jour le | Par Philippe Bernard (Londres, correspondant) Soumise à un ultimatum cassant de l’Union européenne, Theresa May a cédé sur les principaux points en suspens pour pouvoir annoncer, vendredi 8 décembre à l’aube depuis Bruxelles, qu’un accord avait été conclu, permettant une avancée cruciale pour l’avenir de l’économie britannique : l’ouverture des négociations sur les futures relations commerciales avec l’Union européenne. Londres accepte la facture du Brexit. Le Royaume-Uni vient d’accepter de porter son « chèque de départ » à environ 50 milliards d’euros, mais butent encore sur la question irlandaise.
LE MONDE | • Mis à jour le | Par Philippe Bernard (Londres, correspondant) et Cécile Ducourtieux (Bruxelles, bureau européen) Longtemps présentée comme le premier obstacle à un accord entre Londres et les Vingt-Sept sur le Brexit, la question du « chèque de départ » n’est désormais plus très loin d’être résolue. Alors que Theresa May avait proposé de payer 20 milliards d’euros le 22 septembre, le Royaume-Uni vient d’accepter de porter cette somme à environ 50 milliards d’euros. Les députés britanniques adoptent le «Repeal Bill», première étape vers l'abrogation du droit européen. Crucial, ce texte gouvernemental doit mettre fin à la suprématie du droit européen au Royaume-Uni. La mise en oeuvre du Brexit a franchi une première étape législative au Parlement britannique dans la nuit de lundi à mardi, avec l'approbation du projet de loi gouvernemental destiné à mettre fin à la suprématie du droit européen au Royaume-Uni.
Après plusieurs heures de débat, les députés de la chambre des Communes ont voté à 326 voix pour ce texte crucial dans le processus de sortie du pays de l'Union européenne, alors que 290 élus ont voté contre. Le projet de loi doit désormais être étudié dans le détail par la chambre des Communes en comité, étape au cours de laquelle sera livrée une bataille pour amender ce texte, qui fait polémique en raison de l'étendue des pouvoirs qu'il octroie à l'exécutif. Brexit : Londres prêt à payer 40 milliards d’euros. Brexit : 40.000 jobs pourraient être délocalisés de la City.
Royaume-Uni. Theresa May, Palme d'or du suicide politique. Brexit : les Vingt-Sept adoptent les orientations de négociations avec le Royaume-Uni. Brexit: l'UE veut que Londres règle sa facture en euros. Brexit/Gibraltar: l'Espagne aura son mot à dire. Brexit : les Européens sur une ligne très ferme. Brexit Live: Triggering Article 50 (House Of Commons) - BBC News. Ce détail de la photo où Theresa May déclenche le Brexit lui donne toute sa dimension historique. BREXIT - C'est la photo qui fait la Une de la presse britannique ce 29 mars. Westminster donne le feu vert du Brexit à Theresa May.
Les députés ont rejeté les deux amendements introduits par les Lords, visant à garantir les droits des expatriés et exiger un droit de veto sur l’accord final avec l’UE. Theresa May a les mains libres pour engager officiellement la procédure de divorce avec l’Union européenne. Lundi 13 mars au soir, le Parlement de Westminster a adopté définitivement le projet de loi qui, en deux lignes, autorise la première ministre à activer le Brexit. Il s’agit de notifier à Bruxelles la décision de Londres de recourir à l’article 50 du traité de Lisbonne, qui prévoit deux années de négociations conduisant à la sortie de l’UE. 1957-2017. Bilan et perspectives géopolitiques de l'Union européenne, Pierre Verluise, docteur en géopolitique (Sorbonne)
LE TEMPS de la « déconstruction européenne » et de l’effacement de l’Union européenne a-t-il sonné ? Après six décennies de construction européenne et sept élargissements successifs, le référendum consultatif du 23 juin 2016 au sujet de la sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne marque une rupture. Comment cet événement s’inscrit-il dans des forces profondes déjà à l’œuvre en faveur de l’effacement relatif de l’Union européenne dont les effets pourraient encore être considérablement accentués par un « Brexit » devenu effectif ?
Pour qui se préoccupe de l’influence – voire de la puissance – de l’Union européenne dans le monde, il convient de distinguer les apparences et les dynamiques. Les sept élargissements successifs de l’Europe communautaire se sont traduits par une extension territoriale significative. Brexit: quelles modalités de sortie selon l'article 50? Brexit : le Parlement britannique devra être consulté. Brexit : selon la Haute Cour de Londres, le Parlement devra se prononcer sur la sortie de l’UE. Crash éclair de la livre sterling à son plus bas niveau en 31 ans face au dollar. Brexit : Boris Johnson veut débuter les négociations début 2017. Theresa May dévoile ses plans pour l'industrie britannique. Cameron quitte son poste de Premier ministre en chantant.
Brexit : derrière le renoncement de Boris Johnson, la guerre de succession au sein des Tories. "Vous ne riez plus maintenant !" d'un côté, "Vous mentez !" de l'autre : le match entre pro-Brexit et pro-Europe à Bruxelles. « Brexit » : « pas de marché unique à la carte » pour Londres, préviennent les Vingt-Sept à Bruxelles. Royaume-Uni : le « Brexit » peut-il ne pas se produire ? Brexit : l'Europe ne coûtait pourtant pas si cher au Royaume-Uni. « Brexit » : comment David Cameron s’est laissé prendre à son propre piège.
L’indépendance écossaise & l’enjeu du pétrole - La Plume Dauphine. « Brexit » : Eurotunnel plonge en Bourse. Quelles conséquences concrètes en cas de « Brexit » ? Brexit : le résultat des tout derniers sondages [EN DIRECT] Qui sont les Africains qui voteront pour le referendum britannique ? Cinq raisons pour que Londres parte. Le Brexit en chiffres: l'intox, arme de manipulation massive des pro et des anti. En cas de Brexit, la Norvège peut-elle être un modèle pour le Royaume-Uni ? Barack Obama met en garde les Britanniques contre un Brexit. STOP CAMERON spending British taxpayers’ money on Pro-EU Referendum leaflets. Safety and security - EU Referendum. « Brexit » : que pèse le Royaume-Uni dans le budget européen ? Britains Special Status revealed #Brexit. Found a use for it #Brexit. You have 2 choices what to do with the #EUPropaganda leaflet Burn it or Return It #BurnItOrReturnIt #PostItBack. Cameron s'attelle à convaincre les Britanniques d'éviter un Brexit.
Emploi, croissance, finance : et si la France disait "welcome Brexit" ?