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Vaste étude sur l'iPad en classe: ni rose ni noir. C'est ce qui ressort d'une vaste enquête - la première du genre - menée auprès de milliers d'élèves et d'enseignants du Québec, principalement dans des écoles secondaires.

Vaste étude sur l'iPad en classe: ni rose ni noir

L'étude sera dévoilée aujourd'hui, au cours du Sommet de l'iPad en éducation qui réunit quelque 500 personnes à Montréal. La Presse en a obtenu les principales conclusions. Le constat est nuancé. Tout n'est ni noir ni rose, explique le principal auteur de l'étude, Thierry Karsenti, titulaire de la Chaire de recherche du Canada sur les TIC en éducation. «Les élèves sont heureux d'avoir un iPad à l'école. Un marché grandissant En septembre dernier, quelque 5000 élèves disposaient d'une tablette en classe, principalement dans les collèges privés. Devant cet intérêt grandissant, il devenait primordial de réfléchir à l'usage qui est fait de la tablette, ses avantages et les défis qu'elle pose, explique M. «Le premier désavantage qu'on a constaté est que l'iPad est une source de distraction majeure pour les élèves», note-t-il.

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Dans la salle de classe du futur, les résultats ne progressent pas. Dans le cadre d’une série sur le « pari éducatif high-tech » (dans laquelle notamment plusieurs experts américains tentent d’apporter leur vision sur ce à quoi ressemblera l’école dans 10 ans), Matt Richtel, pour le New York Times s’est rendu dans le district scolaire pilote de Kyrene en Arizona : un secteur où tous les élèves utilisent des tableaux blancs interactifs et des ordinateurs à l’école.

Dans la salle de classe du futur, les résultats ne progressent pas

Depuis 2005, le district a investi 33 millions de dollars pour moderniser ses écoles. Ici, c’est la nature même de la classe, du rapport à l’enseignant qui a été transformé : l’enseignant circule entre les élèves qui apprennent à leurs rythmes sur leurs ordinateurs. Au profit de qui se fait la surenchère technologique à l’école ? Image : Le graphique de l’évolution des dépenses et des résultats du district de Kyrene dans l’Arizona réalisé par le New York Times. La poussée des dépenses technologiques intervient alors que les écoles doivent faire de durs choix financiers. Les métriques en question. Google+ (Google Plus) en enseignement. Google+, le nouveau réseau social proposé par Google, a été lancé en version bêta le mardi 28 juin.

Google+ (Google Plus) en enseignement

J’ai eu la chance d’être rapidement invité à tester le service, par l’entremise d’étudiants qui y étaient déjà inscrits. Voilà donc trois semaines maintenant que j’expérimente cette nouvelle expérience sociale. Aperçu des usages que nous expérimentons d’ores et déjà en pédagogie (et ce, même – et surtout – si nos étudiants sont désormais tous partis en stages !). L’originalité majeure de Google+ par rapport à bien des réseaux sociaux existants (Facebook, Viadeo, LinkedIn, etc.) est la suivante : il n’est pas nécessaire d’avoir des relations mutuelles (« je suis ton ami, tu es mon ami« ) avec les personnes que l’on suit, ou qui nous suive. Un élève peut tout à fait suivre le flux d’information d’un enseignant sans que ce dernier n’accède à ses données personnelles. Si Google+ n’est pas encore officiellement lancé, sa version bêta a d’ores et déjà réuni près de 20 millions d’utilisateurs.