Intelligence Artificielle & Chatbot : piliers d'une relation client digitalisé - Inbenta. Qu’est-ce que l’intelligence artificielle ?
L’intelligence artificielle (IA) est une science qui cherche à créer des programmes informatiques ou machines pouvant avoir un raisonnement ou comportement humain. Son créateur, Marvin Lee Minsky, la définit plus précisément comme « la construction de programmes informatiques qui s’adonnent à des tâches qui sont, pour l’instant, accomplies de façon plus satisfaisante par des êtres humains car elles demandent des processus mentaux de haut niveau tels que : l’apprentissage perceptuel, l’organisation de la mémoire et le raisonnement critique ».
Il existe deux types d’IA, l’une dite “faible” et l’autre “forte” : l’IA faible est l’intelligence artificielle la plus répandue actuellement, qui cherche à simuler une intelligence en reproduisant des comportement programmés par l’humain,l’IA forte est celle qui cherche, en outre, à simuler un comportement humain (avec une conscience et des sentiments). Bot conversationnel : comment et quand est-il utilisé? RETEX pratiques ! Les bots conversationnels sont désormais bien ancrés dans le parcours des utilisateurs et des collaborateurs, leurs bienfaits ne sont plus à prouver.
Comme pour tout canal de communication, il est important de connaître les véritables usages des internautes avant de mettre en place un bot conversationnel. Car la réalité du terrain peut s’avérer différente de vos objectifs et prédictions. Des objectifs pertinents pour son bot conversationnel Avant tout, pour élaborer une bonne stratégie pour son bot, il est important d’identifier vos problématiques internes et d’analyser des projets existants chez vos concurrents et autres grands comptes.
Une auto-analyse vous permettra de déterminer vos axes d’amélioration, votre cible et les KPI’s à observer. Les utilisateurs ont recours à une intervention humaine dans deux cas : en cas de non-réponse ou en cas de demande à forte valeur ajoutée. Conversational UI - A paradigm shift in business communication. Ever since computing technology was introduced in the 1950s, there has been a struggle to bridge the divide between man and machine through natural spoken language.
Is Alexa Dangerous? For a few days this summer, Alexa, the voice assistant who speaks to me through my Amazon Echo Dot, took to ending our interactions with a whisper: Sweet dreams. Every time it happened, I was startled, although I thought I understood why she was doing it, insofar as I understand anything that goes on inside that squat slice of black tube. I had gone onto Amazon.com and activated a third-party “skill”—an applike program that enables Alexa to perform a service or do a trick—called “Baby Lullaby.” It plays an instrumental version of a nursery song (yes, I still listen to lullabies to get to sleep), then signs off softly with the nighttime benediction. My conjecture is that the last string of code somehow went astray and attached itself to other “skills.”
But even though my adult self knew perfectly well that Sweet dreams was a glitch, a part of me wanted to believe that Alexa meant it. To hear more feature stories, see our full list or get the Audm iPhone app. Tone is tricky. Comment les assistants vocaux vont-ils refondre l’expérience utilisateur? Marketing programmatique. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Cet article a besoin d'un nouveau plan(septembre 2017). Les informations dans cet article sont mal organisées, redondantes, ou il existe des sections bien trop longues. Améliorez-le ou soumettez des propositions en page de discussion. Vox Machines (1/2) : « Si les assistants vocaux sont la solution, quel est le problème ? » Les interfaces vocales sont en plein boom, mais leurs modalités s’imposent souvent à nous sans que nous, utilisateurs, ayons beaucoup d’espaces pour les interroger.
Dans le cadre d’une journée d’étude organisée par le Master Design transdisciplinaire, cultures et territoires de l’université de Toulouse, designers et chercheurs ont exploré des voies pour remettre la voix en contexte, pour interroger le rapport entre la parole et sa transcription, tels que les proposent les nouvelles modalités d’interaction des assistants vocaux. Retour sur cette journée de séminaire pour mieux saisir les promesses et limites des interactions vocales à l’heure où elles se préparent à envahir nos relations… Enjeux critiques : à quoi répondent les interfaces vocales ?
Le maître de conférence et chercheur en design, Anthony Masure (@anthonymasure), coorganisateur de cette journée, l’a introduite en revenant sur les enjeux critiques des assistants vocaux en en dressant un historique (voir sa présentation). Hypervoix (1/2) : concevoir les interactions vocales. A l’heure où les enjeux commerciaux des interfaces vocales semblent sans limites, leur conception n’est pas sans heurt ou difficulté.
A l’occasion de la journée d’étude Hypervoix qui avait lieu le 15 avril à Paris, retour sur les enjeux de conception que posent les assistants vocaux et notamment la question de la voix elle-même comme modalité d’interaction, une « matière » qu’il reste à façonner. De la voix à l’artefact « L’assistant vocal n’est pas qu’une voix. C’est également un artefact physique, un service, une interface (lumineuse, sonore, graphique…), une proposition d’interaction spécifique… », explique le designer Julien Drochon (@julien_drochon), enseignant à l’École supérieure d’art des Pyrénées, lors de sa présentation (.pdf).
Image : des lumières d’Alexa et de leurs différentes significations.