La Bête humaine
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Présentation[modifier | modifier le code] L'histoire évoque le monde du chemin de fer et se déroule tout au long de la ligne Paris-Saint-Lazare - Le Havre. Entre les deux gares, décrites avec une grande précision, les héros ne cessent d'osciller, dans un trajet pendulaire, jouets des passions qui les dominent. On a coutume de dire que cette histoire comporte deux héros : d'une part le mécanicien Jacques Lantier et de l'autre sa locomotive, la Lison, que Lantier aime plus qu'une femme. Outre son aspect documentaire, La Bête humaine est un roman noir, sorte de thriller du XIXe siècle qui a choqué les contemporains de Zola. C'est aussi un roman sur l'hérédité, comme tout le cycle des Rougon-Macquart, Jacques souffrant d'une folie homicide que Zola rattache à l'alcoolisme des Macquart. Le roman fourmille d'intrigues et de personnages secondaires, entremêlés, se déchirant les uns, les autres. Résumé[modifier | modifier le code] Zola en 1895
Émile Zola
L'Assommoir
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Présentation de l'œuvre[modifier | modifier le code] Résumé[modifier | modifier le code] Gervaise et Coupeau travaillent dur, gagnant de quoi vivre avec un peu plus d'aisance tout en faisant des économies. La convalescence de Coupeau est longue. C'est auprès de leur voisin Goujet, un forgeron amoureux d'elle mais qui n'ose le lui avouer, que Gervaise trouve l'argent lui permettant d'ouvrir sa blanchisserie. Tandis que Coupeau boit de plus en plus, des alcools et pas seulement du vin, Gervaise compense par la nourriture et engraisse[2],[3]. La situation se détériore encore avec le retour de Lantier. Gervaise voit mourir Coupeau à Sainte-Anne - les crises de delirium tremens de Coupeau sont un des moments forts du roman. Personnages[modifier | modifier le code] La scène du lavoir. [modifier | modifier le code] Préparation et origines[modifier | modifier le code] Émile Zola, l'auteur, photographié par Nadar. Citations[modifier | modifier le code]
Émile Zola
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Émile Zola Autoportrait au béret, Émile Zola, 1902. Œuvres principales Compléments Sa vie et son œuvre ont fait l'objet de nombreuses études historiques. Biographie Enfance et adolescence provençale (1840 - 1858) Émile Zola enfant avec ses parents vers 1845. Les créanciers poursuivent alors la société du canal. Émilie Aubert, sa mère, totalement démunie, s'occupe de l'orphelin avec sa grand-mère, Henriette Aubert. Au collège à Aix-en-Provence, il se lie d'amitié avec Jean-Baptistin Baille[N 2],[5] et surtout Paul Cézanne qui reste son ami proche jusqu'en 1886. Dès sa prime jeunesse, Émile Zola est passionné par la littérature. Vie de bohème (1858 - 1862) Émile Zola quitte Aix en 1858 et rejoint sa mère à Paris, pour y vivre dans de modestes conditions, espérant trouver le succès. Émile Zola est recalé par deux fois au baccalauréat ès sciences en 1859. Le premier amour de Zola, dont il s'est entiché pendant l'hiver 1860-1861, s'appelle Berthe[8]. .
La Fortune des Rougon
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Comme Zola le décrit dans sa préface, c'est le roman des origines. Il marque le début de la généalogie des Rougon-Macquart, qui commence avec Adélaïde Fouque, dite Tante Dide, née en 1768. Elle épouse un certain Rougon, jardinier, dont elle a un fils, Pierre Rougon. À la mort de son mari, elle vit en concubinage avec Macquart, contrebandier, qui lui donne une fille, Ursule Macquart, et un garçon, Antoine Macquart. La Fortune des Rougon ou Les Origines[modifier | modifier le code] Dans sa préface du , Zola explique : « ...le premier épisode : la Fortune des Rougon, doit s’appeler de son titre scientifique : les Origines » — Émile Zola, La Fortune des Rougon, Préface[1] Histoire du roman[modifier | modifier le code] Plan de Plassans réalisé par Émile Zola compris dans le dossier préparatoire de « La Conquête de Plassans ». Influence et travaux préparatifs[modifier | modifier le code] La partie présente ensuite un plan détaillé par chapitre.
Livre
Pot-Bouille - Emile Zola
Pot-Bouille est un roman d’Émile Zola publié en 1882, le dixième de la série les Rougon-Macquart. Le mot pot-bouille désignait au xixe siècle en langage familier la cuisine ordinaire des ménages, en gros synonyme de popote. Mais il n’est pas question ici de cuisine, sinon au sens figuré : Zola veut en effet nous montrer l’envers du décor d’un grand immeuble parisien où, derrière un luxe de façade, vivent des familles bourgeoises dont le comportement… (more) Pot-Bouille est un roman d’Émile Zola publié en 1882, le dixième de la série les Rougon-Macquart. Le mot pot-bouille désignait au xixe siècle en langage familier la cuisine ordinaire des ménages, en gros synonyme de popote. Mais il n’est pas question ici de cuisine, sinon au sens figuré : Zola veut en effet nous montrer l’envers du décor d’un grand immeuble parisien où, derrière un luxe de façade, vivent des familles bourgeoises dont le comportement quotidien est aussi peu ragoûtant qu’un médiocre brouet, un pot-bouille. (less)
Peinture
Le Ventre de Paris - Emile Zola
Le Ventre de Paris est un roman d’Émile Zola publié en 1873, le troisième de la série Les Rougon-Macquart. L’action se passe pour l’essentiel aux Halles centrales de Paris, construites par Victor Baltard entre 1854 et 1870, énorme bâtiment à structure métallique dans lequel les murs sont remplacés par des vitres, la plus grande innovation architecturale du Second Empire. Fasciné par les Halles, Zola en fait dans son roman une sorte de monstre, comme… (more) L’action se passe pour l’essentiel aux Halles centrales de Paris, construites par Victor Baltard entre 1854 et 1870, énorme bâtiment à structure métallique dans lequel les murs sont remplacés par des vitres, la plus grande innovation architecturale du Second Empire. Fasciné par les Halles, Zola en fait dans son roman une sorte de monstre, comme le seront plus tard le grand magasin dans Au Bonheur des Dames, l’alambic dans l'Assommoir ou la locomotive dans la Bête humaine. (less)
Nana d'Emile Zola
Intro Biographie Œuvres Liens Ce neuvième roman de la série des Rougon Macquart a été publié à Paris en feuilleton dans le Voltaire d’octobre 1879 à février 1880 et en volume chez Charpentier en 1880. Emile Zola y dépeint deux catégories sociales symboliques , celles des courtisanes et celles des noceurs. Nana est la fille de Gervaise Macquart (l’héroïne de l’Assommoir) et de Coupeau . Résumé du Roman Nana est une courtisane dont le Tout-Paris applaudit les débuts comme actrice au théâtre des Variétés. Le début du roman montre cette courtisane manquant d’argent pour élever son fils Louiset qu’elle a eu à l’âge de seize ans. Dans cet appartement en désordre vont et viennent des visiteurs et des gêneurs, un coiffeur, deux amies , des fournisseurs, des clients ou des soupirants …Il y a aussi Daguenet, son ami de cœur. Les mêmes hommes élégants participent aux " mardis " guindés de la comtesse Muffat et aux soupers débridés de Nana. Steiner la rejoint ainsi que Muffat obsédé par elle.