Sciences cognitives Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les six disciplines scientifiques constituant les sciences cognitives et leurs liens interdisciplinaires, par l'un des pères fondateurs du domaine, G. A. Miller[1]. Les traits pleins symbolisent les disciplines entre lesquelles existaient déjà des liens scientifiques à la naissance des sciences cognitives ; en pointillés, les disciplines entre lesquelles des interfaces se sont développées depuis lors. En France, où la tradition disciplinaire est forte, la question de leur statut entre en résonance avec des problématiques liées à la structuration de la recherche. à une science fondamentale, dite science de la cognition, dont les spécialistes, parfois appelés cogniticiens[3], sont réunis en sociétés savantes et publient dans des revues scientifiques internationales transdisciplinaires.à un secteur applicatif industriel du domaine de l'ingénierie de la connaissance : la cognitique. Histoire des sciences cognitives[modifier | modifier le code]
Pensée complexe Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Ce concept exprime une forme de pensée acceptant les imbrications de chaque domaine de la pensée et la transdisciplinarité. Le terme de complexité est pris au sens de son étymologie « complexus » qui signifie « ce qui est tissé ensemble » dans un enchevêtrement d'entrelacements (plexus). Définition d'Edgar Morin[modifier | modifier le code] Nuage de tags « complexe » « Quand je parle de complexité, je me réfère au sens latin élémentaire du mot "complexus", "ce qui est tissé ensemble". Principes[modifier | modifier le code] Il convient davantage de parler de pensée complexe que de « pensée critique », puisque la pensée complexe englobe les trois modes de pensée : critique, créative et responsable. Principes sous-jacents[modifier | modifier le code] Edgar Morin invite à réformer la pensée et à entrer dans un paradigme de complexité ou encore à se doter d'une épistémologie complexe. [réf. nécessaire] Le tiers inclus[modifier | modifier le code]
Construction sociale des technologies Résumé sommaire de la théorie[modifier | modifier le code] L'analyse critique du modèle déterministe a amené les chercheurs Trevor Pinch et Wiebe Bijker à développer l'approche de la construction sociale des technologies (Social construction of technology, SCOT). Le modèle SCOT[1] avance que le progrès scientifique et technique sont fabriqués socialement. Par exemple, le gouvernement a son rôle à jouer en favorisant les contacts inter-entreprises, en soutenant les entreprises et en assurant un contexte adéquat pour l'innovation (ex : bon système d'éducation, recherche publique de qualité, fiscalité et réglementation adéquate). Il faut aussi prendre en considération les besoins de la population et la manière dont ils perçoivent l'innovation. Bref, le modèle SCOT s'efforce de représenter toute la complexité des interactions entre les différents groupes sociaux qui prennent part à l'innovation technologique. Analyse détaillée de la théorie[modifier | modifier le code] ↑ (en) Trevor J.
Empathie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'empathie (du grec ancien ἐν, dans, à l'intérieur et πάθoς, souffrance, ce qui est éprouvé) est une notion désignant la « compréhension » des sentiments et des émotions d'un autre individu, voire, dans un sens plus général, de ses états non-émotionnels, comme ses croyances (il est alors plus spécifiquement question d'« empathie cognitive »). En langage courant, ce phénomène est souvent rendu par l'expression « se mettre à la place de » l'autre. Cette compréhension se produit par un décentrement de la personne (ou de l'animal) et peut mener à des actions liées à la survie du sujet visé par l'empathie, indépendamment, et parfois même au détriment des intérêts du sujet ressentant l'empathie. Théories et théoriciens[modifier | modifier le code] Le terme a ensuite été repris par Karl Jaspers puis par Sigmund Freud en 1905 dans Der Witz und seine Beziehung zum Unbewussten[4],[5]. En 1909, le terme anglophone a été calé par Edward B.
Comportamento emergente Nella teoria della complessità il comportamento emergente è la situazione nella quale un sistema complesso esibisce proprietà macroscopiche ben definibili, difficilmente predicibili sulla base delle leggi che governano le sue componenti prese singolarmente, scaturendo dunque dalle interazioni lineari e non-lineari tra le componenti stesse[1]: quantunque sia più facilmente riscontrabile in sistemi di organismi viventi o di individui sociali oppure ancora in sistemi economici, l'emergenza si manifesta anche in contesti molto più elementari, come ad esempio la fisica delle particelle[2] e la fisica atomica[3]. Essa può essere definita anche come il processo di formazione di schemi complessi a partire da regole più semplici, e una esemplificazione può ottenersi osservando il gioco della vita di John Conway, nel quale poche semplici regole fissate per pochi individui di base possono condurre a evoluzioni assai complesse. Un esempio biologico è una colonia di formiche. P. W.
Effet boule de neige Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Kevin Warwick Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Warwick. Kevin Warwick Kevin Warwick, né le à Coventry en Angleterre, est un scientifique britannique et professeur de cybernétique à l'Université de Reading, au Royaume-Uni. Il est probablement le plus connu pour ses études sur les interfaces directes entre les systèmes informatiques et le système nerveux humain, mais il a fait beaucoup de recherche dans le domaine de la robotique. Biographie[modifier | modifier le code] Il travailla ensuite dans les universités d'Oxford, Newcastle et Warwick et en 1987 fut nommé à la chaire de cybernétique à l'université de Reading. Sources[modifier | modifier le code] (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Kevin Warwick » (voir la liste des auteurs)Émission "Rayon X" sur France 2 Référence[modifier | modifier le code] Voir aussi[modifier | modifier le code] Sur les autres projets Wikimedia : (en) Site officiel
Making Systems Thinking More Than a Slogan From climate change and deforestation to collapsing fisheries, species extinction and poisons in our food and water, our society is unsustainable and it is getting worse fast. Many advocate that overcoming these problems requires the development of systems thinking. We’ve long known that we live on a finite “spaceship Earth” in which “there is no away” and “everything is connected to everything else.” The challenge lies in moving from slogans about systems to meaningful methods to understand complexity, facilitate individual and organizational learning, and catalyze the changes we need to create a sustainable society in which all can thrive. Here, I’ll describe how the world operates as a system — and how businesses can respond effectively to the challenges we face. Systems thinking is used in the World Economic Forum report (2011) All too often, however, we treat problems in isolation, ignoring the networks of feedback that bind us to one another and to nature. 2) Recognize constraints.
Effet Larsen Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cet effet se produit lorsque l'émetteur amplifié (exemple : haut-parleur) et le récepteur (exemple : microphone) d'un système audio sont placés à proximité l'un de l'autre. Le son émis par l'émetteur est capté par le récepteur qui le retransmet amplifié à l'émetteur. Cette boucle produit un signal ondulatoire qui augmente progressivement en intensité jusqu'à atteindre les limites du matériel utilisé. Théorie[modifier | modifier le code] Un système d'amplification sonore diffuse le son de la source dans l'endroit même où elle le produit. Le diagramme de Nyquist décrit les conditions de stabilité d'un système à rétroaction ; mais lorsque l'on parle d'effet Larsen, on ne se trouve généralement pas dans les conditions bien contrôlées d'un laboratoire. Exemple : Piste audio d'un effet Larsen La figure montre l'oscillogramme du signal qu'une petite impulsion déclenche par effet Larsen dans un système instable.
Pourquoi les parents devraient laisser leurs enfants tranquilles Et si la meilleure chose que nous puissions faire pour nos enfants était simplement de les laisser tranquilles ? Ou pourquoi les méthodes d’éducation modernes rendent nos enfants malheureux. Par Jay Griffiths (*). « Autant en Europe qu’en Amérique, aujourd’hui de nombreux enfants sont en réalité en résidence surveillée”. Je me sentais comme complice de torture malgré moi. La mère du bébé était visiblement perturbée, trop. Contrôle. L’idée derrière cette méthode, c’est qu’on peut “apprendre“ à un bébé à arrêter de pleurer en le laissant pleurer seul. Câlinés, soignés et bichonnés, la plupart des nourrissons à travers la plus grande partie de l’histoire ont découvert le monde accompagnés. Beaucoup des raisons pour lesquelles de nombreux parents optent pour la méthode Ferber peuvent se résumer en un seul mot : travail. Lorsque les enfants sont plus âgés, le désir de liberté semble inextinguible. Le plus triste, c’est que cela fonctionne. Prenons un peu de recul.
Axiom An axiom or postulate is a premise or starting point of reasoning. As classically conceived, an axiom is a premise so evident as to be accepted as true without controversy.[1] The word comes from the Greek axíōma (ἀξίωμα) 'that which is thought worthy or fit' or 'that which commends itself as evident.'[2][3] As used in modern logic, an axiom is simply a premise or starting point for reasoning.[4] Axioms define and delimit the realm of analysis; the relative truth of an axiom is taken for granted within the particular domain of analysis, and serves as a starting point for deducing and inferring other relative truths. No explicit view regarding the absolute truth of axioms is ever taken in the context of modern mathematics, as such a thing is considered to be an irrelevant and impossible contradiction in terms. In mathematics, the term axiom is used in two related but distinguishable senses: "logical axioms" and "non-logical axioms". Etymology[edit] Historical development[edit] Postulates