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Voici à quoi «rêve» le réseau d'intelligence artificielle de Google

Voici à quoi «rêve» le réseau d'intelligence artificielle de Google
Temps de lecture: 2 min — Repéré sur Popular Science Les ingénieurs de Google en charge du développement de l’intelligence artificielle du moteur de recherche ont publié un post fascinant révélant à quel point les ordinateurs prennent de l’autonomie créative, un sujet central pour que l’intelligence artificielle soit plus qu’un outil trop «robotique» et se rapproche de la sensibilité humaine. L’outil de Google est un réseau de neurones artificiels, un réseau informatique qui s’inspire du fonctionnement biologique des neurones pour apprendre. Comme les ingénieurs le détaillent sur le blog de recherche de Google, ce réseau «apprend» à identifier des objets sur des images grâce à des couches successives qui se concentrent chacune sur un aspect (couleur, forme, orientation, etc.): c’est de cette manière que le réseau arrive progressivement à faire la distinction entre un oiseau, une porte, une fourchette ou une voiture après avoir passé en revue des millions d'images en entraînement. Related:  L'intelligence artificielleIAL'Intelligence artificielle dans le monde du web

Références A la recherche de la conscience (1/2) : la conscience, un “problème difficile” Par Rémi Sussan le 14/12/15 | 12 commentaires | 1,866 lectures | Impression S’il est déjà difficile de définir l’intelligence, une compréhension exacte de ce qu’est la conscience nous apparaît comme encore plus inaccessible. Pourtant, les hypothèses se multiplient sur son origine et sa signification, et le domaine concerne toute une gamme de chercheurs, des philosophes aux spécialistes du comportement animal, des informaticiens aux experts en physique quantique. Mais d’abord, pourquoi tant d’agitation autour de ce concept ? Dans la revue Aeon, Margaret Wertheim se penche sur les racines de ce problème. C’est encore l’espace qui est au centre de la réflexion actuelle de Wertheim sur la conscience. Mais tout d’abord qu’est-ce que ce fameux “problème de la conscience”, ce hard problem comme l’a nommé l’un des principaux philosophes de ce domaine, David Chalmers ? Mais où y a-t-il un problème ? C’est bien sûr la naissance du matérialisme qui peut être considérée comme à l’origine du débat.

Intelligence artificielle : les géants du Web lancent un partenariat sur l’éthique Google, Facebook, IiBM, Microsoft et Amazon comptent instaurer de « bonnes pratiques » dans le domaine, et mieux informer le grand public. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Morgane Tual A l’heure où les technologies d’intelligence artificielle (IA) progressent à grands pas, soulevant quelques inquiétudes, les géants du secteur ont annoncé mercredi 28 septembre un partenariat pour définir de « bonnes pratiques », notamment en termes d’éthique. Google, Facebook, IBM, Microsoft et Amazon ont officialisé dans un communiqué commun la création du « Partnership on Artificial Intelligence to Benefit People and Society » (« partenariat pour l’intelligence artificielle au bénéfice des citoyens et de la société »). Ce partenariat prendra la forme d’une organisation à but non lucratif, qui « mènera des recherches, recommandera de bonnes pratiques, et publiera les résultats de ses recherches sous une licence ouverte ». Des technologies « qui ne font pas de mal » Questions urgentes Apple, le grand absent

Références IA : « Les règles de la guerre juste ne sont pas facilement transposables dans une machine » Le chercheur Jean-Gabriel Ganascia revient sur la notion de conscience chez les robots et l’adéquation d’engins militaires autonomes sur les champs de bataille modernes. Entretien. Jean-Gabriel Ganascia est l’un des grands spécialistes français de l’intelligence artificielle. Il officie en tant que chercheur, au laboratoire d’informatique de Paris VI, le LIP6. Avec lui, on poursuit notre réflexion sur la possibilité d’une conscience chez les robots, revient sur le fantasme des robots tueurs, et les écueils réels – ou pas, que pourraient représenter des engins autonomes militaires dont on laisserait la bride au cou. Entretien. Votre confrère Selmer Bringsjord, dont nous avons relaté l’expérimentation, travaille à donner une « conscience » à nos amis robots. Jean-Gabriel Ganascia : Ça dépend ce qu’on appelle une âme. Aujourd'hui, il y a trois façons d’envisager l’âme pour un robot. Une âme serait aussi le fait de prêter de l’extérieur un souffle au robot. Ca, on n’en sait rien.

Développeur web, un métier tendance en voie de disparition FOCUS - L'avenir du développeur web est-il mis en péril par l'intelligence artificielle ? Un métier pourrait donc être à la fois «tendance», convoité par les entreprises... mais dont les jours sont déjà comptés. Le Figaro fait le point sur ce paradoxe. Le métier de développeur web a le vent en poupe. Depuis les années de la bulle internet, entre 1990 et 2000, et depuis 2005, les entreprises qui opèrent leur transformation digitale se les arrachent. Développeur web, le métier de demain? Paradoxal? «Humaniser son travail.» Lire aussi: Intelligence artificielle: quand Elon Musk s'alarme de ses propres créations La question est donc: jusqu'où va pouvoir aller l'IA en matière de créativité? Pourtant, certaines expériences montrent d'ores et déjà que l'IA faible est capable de création: dès 2015, AlphaGo - une IA développée par une filiale de Google - a battu le champion européen du jeu de Go avec un score sans appel: 5 à 0.

Références Les Français s’inquiètent de l’intelligence artificielle Une étude réalisée par l’Ifop pour L’observatoire B2V des mémoires, dévoile l’opinion des Français vis-à-vis du Big Data et de l'intelligence artificielle. L’intelligence artificielle inquiète. Un millier de spécialistes du domaine parmi lesquels Stephen Hawking, Elon Musk et Steve Wozniak l’ont exprimé dans une lettre ouverte. Pourtant, elle est en plein essor. D’après Nell Watson, une forme d’intelligence artificielle pourrait même bientôt être injectée dans le corps humain. Les interviews ont été conçues via des questionnaires en ligne début novembre 2015 sur un échantillon d’un millier de personnes représentatif de la population française. 69% des répondants sont plutôt d’accord avec l’idée que l’intelligence artificielle est amenée à prendre un essor considérable avec le Big Data. 73% des hommes contre 65% des femmes partagent cette idée.

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