Les salariés français victimes de "réunionite aiguë" Sur une semaine, les salariés français passeraient 4,5 heures en réunion. C'est en tout cas ce qu'affirme un sondage réalisé par OpnionWay* publié le 6 juin. Rapporté sur une année complète, ce temps de réunion s'élève à plus de trois semaines. Les cadres, eux, y passent le double, soit six semaines par an. Malheureusement, ce temps ne semble guère utile. LIRE AUSSI>> La réunion inutile est-elle une fatalité? 18% des salariés déplorent qu'il n'y ait "pas d'ordre du jour" ou "d'objectif clairement défini" et 26% ne voient pas la nécessité de leur présence à ces réunions. "Seule 1 réunion sur 4 aboutit à une prise de décision" Des rendez-vous inutiles, mais pourtant incontournables puisque 75% des mêmes répondants déclarent ne pas avoir la possibilité de décliner l'invitation et de ne pas y participer. LIRE AUSSI >> Sept conseils pour abréger une réunion "Une collaboration globalement inefficace"
Le portail de l'Éducation numérique - Tice, TBI, codage, supports de cours, B2i, Quizz C2i, tablettes, smartphones Consumer Classroom vise à promouvoir l'éducation à la consommation et à encourager son enseignement dans les établissements secondaires européens. Consumer Classroom propose un kit d'apprentissage sur le thème des choix de consommation. Les élèves doivent faire de nombreux choix dans le cadre de leur vie scolaire, qui peuvent devenir par la suite leurs habitudes de consommation. Contenu du kit d'apprentissage : 1 cours sur des sujets spécifiques de choix de consommation avec 2 activités en classe ;1 cours sur les habitudes d'achat avec 3 activités en classe ;Exercices d'évaluation pour vos élèves ;Ressources connexes de Consumer Classroom pour chaque pays Au cours de leur scolarité, les élèves doivent faire de nombreux choix au matériel scolaire, à la nourriture consommée pendant les pauses, au transport jusqu’à l’école, etc. Tranche d’âge : 12 à 18 ans.Durée : trois exercices pratiques indépendants d’environ 45 minutes chacun.Sujets et liens avec le programme scolaire
Joseph Schumpeter Joseph Schumpeter naît en 1883, la même année que Keynes et l’année de mort de Marx. Comme eux, il aura jusqu’à sa mort en 1950 une réputation d’économiste « hérétique », qui bouscule la pensée économique établie. Professeur à Harvard à partir des années 1930, il formera les économistes les plus brillants de l’après guerre. Ce qui l’intéresse par-dessus tout, c’est l’évolution du système capitaliste : « il constitue, de par sa nature, un type ou une méthode de transformation économique, et non seulement il n’est jamais stationnaire mais il ne pourra jamais le devenir » écrit-il en 1942. Les 5 formes d'innovations Joseph Schumpeter distingue à ce titre 5 formes d’innovations : l'innovation de produits ;l'innovation de procédés ;l'innovation de modes de production ;l'innovation de débouchés ;l'innovation de matières premières. Aussi, Schumpeter explique que l’économie est gouvernée par un phénomène particulier : la « destruction créatrice ».
Faut-il consulter les collaborateurs pour avoir leur avis ? Par Frédéric Fougerat - Focus RH Pour une direction d’entreprise, il est toujours politiquement correct de donner le sentiment de vouloir partager, et la consultation des collaborateurs est incontestablement une bonne approche dans cette optique. Mais la consultation est-elle uniquement une action de communication ou bien une vraie aide à la décision ? Enfin, en fonction de la taille, de l’histoire, voire du secteur d’activité de l’entreprise, les façons d’appréhender le sujet pourront varier ou être nuancées. Mais, dans tous les cas, c’est l’intention initiale qui doit être appréciée. Si consulter, c’est écouter, partager, chercher le dialogue et la compréhension n’est pas pour autant systématiquement se rallier à l’avis du plus grand nombre, et encore moins abandonner sa responsabilité individuelle à un collectif en se cachant derrière un principe de démocratie participative, l’organisation a besoin de décideurs qui jouent leur rôle et assument leurs responsabilités. La transparence Une démarche de progrès Ne pas mentir
Les Français et le Travail - cFactuel Les Français et le Travail Attention scoop ! C’est la rentrée ! Ben quoi ? On reproche souvent aux Français de ne pas assez travailler, de ne pas aimer leur job… Un jour, ils pourraient décider de rester en vacances ! Mais… vacances permanentes ou revenu universel, nous en sommes encore loin. Pourquoi ? En clair, si les Français travaillent pour gagner leur croûte et subissent la précarité et les pressions, ils se sentent bien au boulot et estiment que c’est aussi par leur activité professionnelle qu’ils existent. A ce titre, les Français sont bien les héritiers des Lumières, qui ont mis en avant la nécessité pour chacun de prendre son destin en main et de se réaliser… de travailler au final. Et la société des loisirs me direz-vous ? Eh bien, je vous répondrai que les deux ne sont pas incompatibles. Pour autant, ils sont les travailleurs parmi les plus productifs du monde. C’est à se demander à quoi ils pensent quand ils sont à l’ouvrage… Le Point, Les Français sont-ils paresseux ?
Yoon-wi : regard sur ces jeunes africains qui réinventent leur continent Ayant constaté le manque de médiatisation dont souffrent les jeunes entrepreneurs dans certains pays d’Afrique, deux étudiants de Grenoble sont partis pendant cinq mois à leur rencontre, en Afrique de l’Ouest. Dans une société pleine de contraste, ils nous présentent une jeunesse soucieuse de son avenir, bien décidée à surmonter les difficultés pour améliorer leur vie, celle de leur famille et la société dans laquelle ils vivent, notamment par des projets professionnels à tendance écologique. Le projet Ricochets est porté par Maxime Delacourt et Simon Chaillou, deux étudiants en école d’ingénieur à Grenoble INP – Ense3 et réalisant une année de césure. Une série qui met en lumière des jeunes qui changent le monde À l’image de leur série inspirante, les deux jeunes se sont intéressés dans leur troisième vidéo au projet de Yaye Souadou, une jeune sénégalaise qui s’est lancée dans le recyclage de pneus. Des pays en plein bouleversement Propos recueillis par l’équipe de Mr Mondialisation
Peut-on licencier un employé par texto ? Je m’inscris gratuitement à la Newsletter Le texto en guise de confirmation écrite Il y a des rentrées plus joyeuses. Le 7 septembre dernier, un employé de 38 ans, embauché en janvier par la société de gardiennage DGSA International, basée à Soissons (Aisne), a reçu le SMS suivant de la part de son patron : « Nous vous confirmons votre mise à pied conservatoire à compter de ce jour, cordialement », a rapporté l’avocat du maître-chien, Me Emmanuel Ludot, à l’AFP. D’après François Paroche, dirigeant de cette entreprise de moins de 50 salariés, son employé n’effectuait pas assez de rondes et avait confié des clés à une personne extérieure à la société. Des fautes « lourdes » justifiant l’entretien préalable au licenciement pour lequel une convocation lui a été adressée trois jours après ce SMS. Une procédure moralement contestable… L’employé n’a pas attendu longtemps avant de saisir les prud’hommes, choqué par cette façon de faire.
Génération Z : pas encore dans l'entreprise, elle inquiète déjà - Mobilité interne - Fidelisation des salariés - Focus RH Elodie Gentina, professeure à Skema Business School, enquête depuis dix ans sur cette génération Z qu'elle a vue grandir. Elle livre ses observations dans "Marketing et génération Z, nouveaux modes de consommation et stratégies de marque"*. Ils ne sont pas encore dans l'entreprise, mais inquiètent déjà les managers. Quel est le portrait de la génération Z ? Pour la comprendre, il faut se repérer par rapport à la génération Y, qualifiée de « digital migrant ». Cette génération est-elle fondamentalement différente de la précédente ? Si la génération Y comptait ses amis par quantité sur les réseaux sociaux - bien souvent au détriment de la qualité - et partageait beaucoup de vidéos, la Z est plus sélective : elle recherche de l’intimité dans la relation aux autres, délaisse Facebook, trop « voyeur », au profit de SnapChat, où les photos s’effacent une fois vues. Comment va se développer la relation de ces jeunes à l’entreprise ? Que peut proposer l'entreprise ?