Site - La Génération Y - Julien Pouget L’internet, c’est fini ! - Blogs InternetActu.net La lecture de la semaine, il s’agit d’un article paru cette semaine dans le quotidien britannique , article qui donne une interprétation tout à fait personnelle d’un événement qui a eu lieu aussi cette semaine à Austin, au Texas, la South By SouthWest Interactive Conference . On doit ce papier à Oliver Burkeman et il s’intitule : “The internet is over ” – “L’Internet, c’est fini”. “Si mes petits enfants me demandent un jour où j’ai compris que l’Internet, c’était terminé, écrit Oliver Burkeman, je serai en mesure de leur apporter une réponse assez précise : c’était dans un restaurant mexicain, en face du cimetière d’Austin, au Texas, alors que j’avais déjà avalé la moitié d’un Tacos. C’est là, selon le journaliste, l’obstacle fondamental qui empêche les néophytes de comprendre vers où regarde la culture technologique : de plus en plus, elle regarde dans toutes les directions. sxsw2011 Le Web 3.0. La “gamification”. Le dilemme du dictateur. Le biomimétisme arrive. Xavier de la Porte
Est-ce que les médias sociaux sont une discipline ? Olivier Blanchard, dans son livre Social Media ROI, pose la question, tout comme Jean Dubarnes, sur Interaction. Olivier Blanchard estime que le premier écueil à l’intégration des médias sociaux dans les organisations s’explique par la primauté de la fonction marketing sur ces nouveaux territoires d’expression. Cette conception du « tout marketing » appliquée aux médias sociaux est totalement erronée. Nous le voyons aujourd’hui, avec l’émergence de nouveaux espaces et blogs orientés « RH/Marque employeur » et « médias sociaux », à l’instar de celui de Franck La Pinta. Les médias sociaux bouleversent certes le marketing et la communication, mais pas seulement, nous dit Olivier Blanchard. Une étude Econsultancy a montré récemment que 35% des entreprises qui investissent le Web social le font via leur équipe marketing, contre 21% pour l’équipe de communication/RP. Every company is trying to do ‘something’ in social media to surf on the trend. Most companies still think in silos.
La génération Y existe-t-elle vraiment ? LE MONDE | • Mis à jour le | Par Nathalie Brafman Ils sont l'objet d'études, de colloques, des livres entiers leur sont consacrés. La blogosphère déborde de commentaires sur eux, ils font la "une" des magazines, sont invités à la télévision. Y parce qu'elle succède à la génération X des enfants de baby-boomers, Y en référence aux fils des écouteurs sur le torse, Y à prononcer à l'anglaise ("ouaille"), parce qu'elle serait la génération qui s'interroge tout le temps. Génération Y, concept marketing ou réalité sociologique ? Certes, ils sont ultra-connectés, manient les outils technologiques et surfent sur les réseaux sociaux avec une aisance déconcertante. Une autre caractéristique les rassemble, moins positive cette fois, la précarité au travail : 25 % des jeunes de moins de 25 ans sont au chômage. Conséquence : on les présente comme sans illusions, peu impliqués au travail, difficilement fidélisables, individualistes, réfractaires à l'autorité.
Génération Y : L’éducation comme enjeu Je reviens sur l’article que j’avais publié la semaine passée concernant la génération Y, issu de mes notes sur l’intervention de Benjamin Chaminade à Lorient lors de la journée Web et entreprises. En effet, suite à cette lecture, j’ai trouvé 3 articles traitant de cette génération dans ma veille Twitter et qui apportent un éclairage a priori contradictoire mais au final complémentaire autour de la notion de l’éducation sur cette génération. Le premier émane d’un enseignant Ne me dites plus que je suis un digital native de la génération Y . En laissant croire que Tous les Jeunes ont des facilités avec le web, on occulte que nombre d’entre eux ont un réel besoin d’être éduqués/formés à son utilisation (surtout dans les générations à venir). Le second, au titre provocateur Les enfants de demain seront des brêles du numérique évoque également ce hyatus entre la vision de cette génération et la réalité. (Il y a) « la confusion entre l’habitude culturelle et la compétence. A vos souris !
Génération Y, entre alibi et manipulation La génération Y continue à alimenter quelques sujets, réflexions et débats malgré une perte de puissance par rapport à l’année dernière et son déferlement d’avis de spécialistes consultants, psychologues ou experts. Alors DRH attention la fameuse génération Y est particulière, elle ne respecte pas la hiérarchie, veut du sens, une gestion de carrière en mode accélérée, moins de distinction entre vie privée et professionnelle… Ce que je trouve incroyable c’est que l’on puisse sur une simple appartenance à une tranche d’âge attribuer autant de qualités ou défauts comportementaux à toute une catégorie de la population sans soucis de sexe, origines, diplômes, histoire personnelles, pays d’appartenance et de résidence… Cette génération ainsi étiquetée cela devient presque rassurant pour nos dirigeants à gérer, ils sont différents mais on a compris en quoi et on va y répondre avec les conseils d’un consultant spécialisé.
Eurobaromètre sur l’information européenne : le fossé générationnel des médias sociaux Avec l’Eurobaromètre 74 sur « l’information sur les questions politiques européennes » réalisé en novembre 2010 et publié en février 2011, paraît la première enquête européenne qui permet de dresser un état des lieux de l’opinion européenne à l’égard des médias sociaux en ligne… La pratique des médias sociaux : certes minoritaire dans la population globale mais commune et solidement ancrée au sein de la jeunesse européenne Tandis que la pratique quotidienne d’Internet concerne 45% des Européens et son usage au moins hebdomadaire 63%, l’utilisation des médias sociaux en ligne ne concerne qu’une minorité d’Européens : 18% des Européens utilisent tous les jours les médias sociaux ; 33% des Européens utilisent au moins une fois par semaine les médias sociaux ; 56% des Européens restent totalement à l’écart de la pratique des médias sociaux. 66% des 15-24 ans disent utiliser ces médias au moins une fois par semaine ; 50% des 15-24 ans utilisent les médias sociaux quotidiennement.
Mythe et réalité de la génération Y - LES CLES DE LA REUSSITE - RESSOURCES HUMAINES D'éternels ados, adeptes des jeans, des geeks indisciplinés et insouciants... La génération Y fait l'objet d'une production livresque pléthorique. Ces jeunes sont-ils pour autant inadaptés au monde du travail? Pour Jean Pralong, professeur de gestion de ressources humaines et titulaire de la chaire en nouvelles carrières à Rouen Business School, « les préjugés doivent cesser, car la génération Y n'existe pas. Il faut sortir de cette approche simpliste de regroupement par tranches d'âge et ne pas occulter les questions de classes sociales, de diplômes et d'expériences. » Pour optimiser au mieux les compétences de ces jeunes, le chef d'entreprise doit donc prendre en compte l'ensemble de ces spécificités. Le premier jour de travail est une étape importante pour toutes les nouvelles recrues. Deuxième conseil : n'hésitez pas à lui donner des consignes et à lui imposer des lignes de conduite. Est-il possible d'utiliser Facebook au bureau ? Maurice Di Giusto, dirigeant de la SAS Di Giusto
Niveau informatique des digital natives : la fin d’un mythe La génération Y (ou digital native ) dispose d’une compétence incontestable aux yeux de beaucoup d’observateurs : la maîtrise complète des outils informatiques, du web et des smartphones. La presse est d’ailleurs l’un des relais importants de cette théorie. Pourtant une analyse sérieuse du phénomène amène le mythe à s’effondrer très rapidement. Le grand quiproquo La naissance d’un mythe des compétences informatiques de cette génération tient bien sûr à des observations bien réelles. Chacun de nous voit les adolescents branchés en permanence sur Facebook, des enfants de 3 ou 4 ans naviguer intuitivement sur un iPhone, des jeunes pirates mettre à mal la sécurité de firmes internationales… Cette génération apparaît donc comme des surdoués de l’informatique. Il y a cependant un grand malentendu dans ce raisonnement : la confusion entre l’habitude culturelle et la compétence. Pour éclairer mon propos, prenons l’exemple d’un produit nettement plus simple : la voiture.
La stabilité de la structure d'un réseau social tient aussi à sa taille Dans un réseau, certains membres sont parfois tentés d'avoir un comportement individualiste qui remet en cause la viabilité de la structure. Sauf si cette dernière comprend suffisamment d'individus, et qui interagissent. Les plates-formes de collaboration ont besoin d'atteindre une "masse critique" pour rester stables en cas d'attaque ou de manœuvre par un collaborateur malveillant. Théorie des jeux optimisée Les expériences réalisées par les chercheurs suggèrent que beaucoup d’individus sont égoïstes et ces derniers rationalisent par conséquent l’état de leur propre collaboration à celle de leurs pairs. Contagion sociale ? Une masse critique est donc essentielle pour que le réseau puisse supporter des comportements individualistes. * L’Ecole polytechnique de Turin, le Centre international d’Abdus Salam et l’université de Sienne
Espionnage et infiltration : quand les Anonymes découvrent le pot aux roses 01net le 25/03/11 à 14h00 L’affaire HBGary restera peut-être comme l’une des opérations les plus spectaculaires des Anonymes. En février 2011, ce collectif de hackers parvient à pénétrer le réseau interne de HBGary Federal, spécialiste de la sécurité informatique. L’action est menée en représailles contre le patron de cette société américaine qui menaçait de révéler l’identité de certains membres des Anonymes. Les hackers mettent la main sur près de 70 000 e-mails, pour la plupart confidentiels, échangés entre les dirigeants de HBGary et certains de leurs clients, parmi lesquels figurent plusieurs agences « à trois lettres » (FBI, NSA, etc.), du gouvernement fédéral américain, de l’armée, d'Interpol, ainsi que diverses sociétés privées. Les Anonymes finiront par mettre ces courriers en ligne. Espionnage chinois Ainsi, Greg Hoglund, PDG de HBGary, faisait circuler en interne, à la fin de l'année 2010 des informations troublantes sur du matériel importé de Chine.
REPÈRE RH - Génération Y et emploi des seniors : où sont les vraies questions ? Organisé par de jeunes étudiants, un débat resitue ces thématiques dans leur contexte et dans leurs perspectives.À quoi songent les jeunes gens qui s’apprêtent à embrasser à la fois les RH et le monde du travail ? Le 4 avril, à Malakoff, les étudiants du Master IRH de l’Université Paris Descartes organisaient une soirée-débat sur les thèmes qui leur semblaient le plus dans l’air du temps.« Nous nous sommes réunis, nous avons discuté », explique Fabien Calvin, l’un de ces étudiants, « et nous sommes vite tombés d’accord ». Du chapeau sont sortis, dans l’ordre, la génération Y et l’emploi des seniors.Consultants, DRH, coach, sociologue et psychosociologue se sont donc retrouvés pour débattre de ces deux thématiques, autour desquels la littérature RH tourne en rond, en reposant toujours les mêmes questions.Le résultat ? Les cahiers du DRH, N° 186 © Tous droits réservés
Ces trentenaires qui n'ont plus envie de se lever pour bosser Ils ont des diplômes, un job, un bon salaire... mais s’ennuient à mourir, découvrant sur le tard les affres de la quête de soi. Alexandre a un parcours plutôt classe : il est diplômé d’une grande école de commerce parisienne, après avoir effectué un parcours universitaire et scolaire à l’étranger. Son CV a de la gueule et c’est une mince consolation. Alors qu’il méprise la comptabilité, il a travaillé trois ans à la direction financière d’un groupe de luxe suisse. Alors que fin 2009, le taux de chômage des moins de 30 ans était de 17,3%, de nombreux trentenaires surdiplômés, qui ont décroché un contrat indéterminé, n’arrivent pas à s’en réjouir. « Je suis un forum américain depuis bientôt six ans, où les mecs balancent leurs videos Youtube. Des bandes de potes s’envoient au moins cent mails par jour, articles ou vidéos « lol » (cet article fera peut-être l’objet d’un mail). Le poids du diplôme, et les parents qui surinvestissent « En France, il y a un poids du diplôme très important.
Le rôle des amateurs (1/2) : Qu’est-ce qu’un amateur La prolifération des plateformes participatives sur Internet suscite une implication toujours plus grande des amateurs dans la production ou le « remixage » de contenus médiatiques qui circulent et s’échangent sur le Web, qu’il s’agisse de textes, de photos, de vidéos, de fichiers musicaux, de logiciels, etc. L’objet du colloque organisé par le Digital Life Lab de l’Institut Télécom le 18 mars 2011 (voir toutes les interventions vidéos de la journée) était justement de réfléchir aux enjeux sociaux, organisationnels et culturels suscités par la profusion des pratiques amateurs dans l’univers numérique. Qu’est-ce qu’un amateur ? Le sociologue Antoine Hennion (Wikipédia), directeur de recherches au Centre de sociologie de l’innovation de l’école des Mines de Paris, a consacré une grande partie de ces travaux au sujet des amateurs, notamment en décortiquant les pratiques amateurs dans le domaine de la musique et la façon dont se forme le goût musical. « L’amateur est un expert par en bas ».