Manufacturing Consent: Noam Chomsky and the media Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Chomsky, les médias et les illusions nécessaires (en anglais « Manufacturing Consent: Noam Chomsky and the media ») est un documentaire canadien de 1992[1] sur l'intellectuel américain Noam Chomsky, réalisé par Mark Achbar et Peter Wintonick. D'une durée de 167 minutes, le documentaire repose sur une « narration "composite" »[2] faite d'interviews, d'extraits de conférences, de documents d'archives, et d'interventions télévisées. L'édition DVD comporte en suppléments notables le débat intégral de 1969 avec le journaliste américain William F. Buckley Jr. et celui avec le philosophe français Michel Foucault de 1971. Description[modifier | modifier le code] Le documentaire a remporté 15 récompenses internationales, a été projeté dans plus de 300 villes au niveau mondial et diffusé à la télévision dans 15 pays. La réaction de Chomsky a été mitigée. Notes et références[modifier | modifier le code] Voir aussi[modifier | modifier le code]
Noam Chomsky : Armes silencieuses pour guerres tranquilles Noam Chomsky est un idéologue et philosophe américain, célèbre pour avoir travaillé sur la manipulation de(s) masse(s) à travers une violente critique de La fabrication du consentement. Depuis quelque temps, la paternité d’un texte qui circule sur Internet lui est attribuée à tort. Son contenu éveille néanmoins la curiosité face aux (prétendues) méthodes de persuasion de masse et aux moyens de s’en prémunir. Parce qu’elles sont indument attribuées à Noam Chomsky, ces Dix stratégies de la manipulation sont d’autant plus intéressantes à évoquer. 1/ La stratégie de la distraction Élément primordial du contrôle social, la stratégie de la diversion est d’inspiration romaine et antique : panem et circenses – du pain et des jeux. 2/ Créer des problèmes avant d’offrir les solutions Cette méthode est aussi appelée « problème-réaction-solution ». 3/ La stratégie de la dégradation Découlant du point précédant, la stratégie de la dégradation permet de faire accepter l’inacceptable.
Pierre Dortiguier sur la réélection d'Obama Le président américain n’est pas élu au suffrage universel. Du coup ce n’est pas un président qui gouverne, mais une famille politique. D’ailleurs le centre du pouvoir n’est pas à la Maison Blanche, mais au Congrès, une assemblée de lobbies en tous genres. La stratégie américaine est assez simple à comprendre. Ceux qui pensent que le système d’alternance français ressemble à s’y méprendre au système américain, n’ont pas tort. Savez-vous que la reine mère de la maison des Bourbon est la fille de Franco ?
Exclusif. Entretien intégral avec le Pr Noam Chomsky en 5 parties (audio+ traductions) Exclusif. Pour sa première intervention dans un média maghrébin, le grand intellectuel engagé américain Noam Chomsky* a choisi Algerie-Focus.Com. Dans un entretien téléphonique qui a duré 40 minutes, Noam Chomsky nous a livré ses analyses sur les révoltes populaires en Tunisie, en Égypte et dans d’autres pays et l’embarras des États-Unis, d’Israël et de l’Europe qui craignent de voir des régimes “amis” tomber et remplacés par des démocraties libres. Nous avons également abordé avec lui plusieurs autres points : la situation en Algérie, le positionnement militaire américain dans la région du sahel, la nature de l’AQMI, etc. Première partie Pr Noam Chomsky: ” Les évènements en Tunisie et en Egypte ne sont comparables nulle part ailleurs dans le monde” Algerie-Focus.Com : Quelle lecture faites-vous des révoltes populaires qui secouent actuellement la Tunisie et l’Egypte et plusieurs pays arabes ? Entretien réalisé par Fayçal Anseur Traduction au français par
La mauvaise réputation de Noam Chomsky, par Jean Bricmont Le New York Times, qui n’aime guère Noam Chomsky (c’est réciproque), admet néanmoins qu’il compte au nombre des plus grands intellectuels vivants. En dehors des départements de linguistique, et des colonnes du Monde diplomatique, il reste néanmoins ignoré en France. Quand son nom est évoqué, c’est trop souvent pour y associer ceux de Robert Faurisson ou de Pol Pot. Chomsky serait l’archétype de l’intellectuel passant son temps à minimiser ou à nier divers génocides dont l’évocation risquerait de servir l’impérialisme occidental. Pendant la guerre du Vietnam, les écrits de Chomsky jouissaient d’une certaine audience en France. Dénoncer l’idéologie de l’Occident Rigoureux, les écrits de Chomsky offraient aux opposants à la guerre du Vietnam des outils intellectuels précieux ; la différence d’optique entre lui et ses partisans en France pouvait alors passer pour secondaire. N’ayant jamais eu d’illusions à perdre, Noam Chomsky n’avait aucun combat à renier.
Opinions politiques de Noam Chomsky Noam Chomsky est un linguiste américain reconnu dans sa discipline, devenu mondialement célèbre pour son activisme politique et ses critiques de la politique étrangère des États-Unis et d'autres pays. Chomsky se décrit comme un anarchiste socialiste, sympathisant de l'anarcho-syndicalisme, et est considéré comme une figure intellectuelle majeure de la gauche américaine. Plus généralement, il est une référence pour bon nombre de courants de gauche et d'extrême-gauche dans tous les pays occidentaux. Positionnement politique[modifier | modifier le code] Chomsky se considère sioniste, bien qu'il admette que sa définition du sionisme est considérée de nos jours comme anti-sioniste, résultat de ce qu'il perçoit comme ayant été un bouleversement (depuis les années 1940) dans la signification du sionisme (Chomsky Reader). En général, Chomsky n'apprécie pas d'être catalogué dans une catégorie politique traditionnelle, et préfère laisser ses points de vue parler pour lui. Modèle de propagande
Postmodernisme ? (ZNet) par Noam CHOMSKY Il me semble que le débat avait commencé quand Mike et moi, avec peut-être d’autres personnes, avions été accusés de n’avoir point de théorie, et donc de ne pas pouvoir expliquer pourquoi les choses sont comme elles sont. Nous devions donc nous tourner vers la « théorie » et la « philosophie », ou « les constructions philosophiques », ou ce genre de choses, pour remédier à cette déficience et pouvoir comprendre ce qui se passe dans le monde, et pour agir. Ma réponse a toujours été de réitérer ce que j’avais écrit il y a trente-cinq ans*, longtemps avant l’éruption du « postmodernisme » dans la littérature : « S’il existe un corps de théorie, testé, vérifié, qui s’applique aux relations internationales ou à la résolution des conflits internationaux, voire même des conflits internes, son existence reste un secret bien gardé », malgré beaucoup de « prétentions pseudo-scientifiques ». A ma connaissance l’affirmation était juste il y a trente-cinq ans*, et le reste. Bien. Commentaire.
Blog sur Noam Chomsky (en français) | « Peut-être l’intellectuel vivant le plus important… » [New York Times] Noam Chomsky, pourfendeur d’une Amérique qui sape le rêve américain William Chomsky, le père de Noam, est arrivé aux Etats-Unis en 1913 «d’un village très pauvre d’Europe de l’Est». Il a trouvé un emploi dans un atelier à Baltimore, qui lui a donné les moyens de faire des études supérieures et d’aller jusqu’au doctorat. «Il a fini par partager le mode de vie de ce que l’on appelle la "classe moyenne", écrit Noam Chomsky dans sa note introductive à Requiem pour le rêve américain qui vient de paraître en France (Flammarion). Et beaucoup pouvaient en faire autant. Mais aujourd’hui, nous savons que ce n’est plus vrai. La mobilité sociale est en fait moins grande ici qu’elle n’est en Europe. A 88 ans, Noam Chomsky, prolifique intellectuel et activiste américain, l’un des pères de la linguistique moderne, livre ici son premier ouvrage sur les inégalités de richesse aux Etats-Unis. «Egoïsme de classe» L’histoire des Etats-Unis est faite d’une alternance d’ères de régression et de progrès. Consommateur pavlovien Isabelle Hanne Correspondante à New York
Pierre Pica & Daniel Mermet Arrêt sur images Chomsky NOAM CHOMSKY : « UN MOMENT CRITIQUE DE L'HISTOIRE HUMAINE » Ami abonné, Ça fait déjà un moment que je m’interroge sur mon engagement politique de fin de vie ; et je crois bien que ce coup-ci, je n’ai pas le choix. Je suis dans son collimateur au jeune Corola-virus, et ça sera lui ou moi. Et ne me dis pas que je suis parano. Pour un jeune virus chinois un peu ambitieux désireux de se faire un nom dans la bactériosphère, je suis carrément hyper-corona-compatible : 62 piges, fumeur invétéré depuis l’âge de 14 ans, 15 kilos de trop sans problème – et peut-être même un peu plus – et pour coronarer le tableau, le tout irrigué par ce bon vieux raisiné, comme aurait dit San-Antonio, du groupe A1 – le plus répandu, certes, mais aussi le préféré, d’après les médecins, des vampires de la nouvelle génération. Bref, c’est comme si sur le front, j’avais une cible fluorescente qui clignotait, avec marqué dessus : amis virus mortels et bactéries tueuses, bienvenue chez Didier Porte, ici, c’est open bar et happy hours 24 sur 24.
Noam Chomsky et la peste néolibérale | Textes à l'appui À 91 ans, Noam Chomsky continue son inlassable travail d’éducation populaire et à donner à tous le goût de l’« autodéfense intellectuelle ». La crise que nous traversons et les crises à venir rendent son regard plus tranchant et plus alarmant, au bout de quarante années de néolibéralisme qui nous laissent sans armes face au péril. Cette crise peut être une vraie prise de conscience, mais elle peut apporter aussi le pire. Srećko Horvat — Bienvenue dans un nouvel épisode de « World After Coronavirus ». Noam Chomsky — Je suis confiné à Tucson, en Arizona. Srećko Horvat — Vous êtes né en 1928 et vous avez écrit votre premier essai, je crois, quand vous aviez 10 ans, et cet essai portait sur la guerre d’Espagne, juste après la chute de Barcelone, en 1938, ce qui paraît très lointain à ma génération. Avant cela, vous avez été témoin de Tchernobyl, et ensuite, dans les années 1990, vous avez connu les événements qui ont mené au 11-Septembre, encore un événement global.