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Classics in the History of Psychology

Classics in the History of Psychology

Common Causes of Very Bad Decisions · Collaborative Fund Italian psychologist Massimo Piattelli-Palmarini was once asked why people keep making the same mistakes. He said: Inattention, distraction, lack of interest, poor preparation, genuine stupidity, timidity, braggadocio, emotional imbalance, ideological, racial, social or chauvinistic prejudices, and aggressive or prevaricatory instincts. Let me add some more: Incentives can tempt good people to push the boundaries farther than they’d ever imagine. Tribal instincts reduce the ability to challenge bad ideas because no one wants to get kicked out of the tribe. Ignoring or underestimating the full range of potential consequences, especially tail events that seem rare but have catastrophic effects. Lots of little errors compound into something huge. An innocent denial of your own flaws, caused by the ability to justify your mistakes in your own head in a way you can’t do for others. Probability is hard. Underestimating the need for room for error, not just financially but mentally.

Why You Need To Say 'No' At Work (Hint: Your Work Will Get Better) Here’s a familiar scenario: You’re up to your ears in projects. Despite this, your boss comes up with a new initiative and is asking you to spearhead it, knowing full well you’re already overloaded. You somehow ignore the internal screaming inside your head and, to your own disbelief, you hear yourself saying yes to this request. You may be a people pleaser, but there are a few psychological reasons why you always agree to help out a coworker, or rather, avoid turning down their requests—even when you already have a stacked to-do list. Seeking Approval Is Scientifically Proven Despite it looking like blatant self-sabotage, you are actually hardwired to say “yes” to requests, even if you don’t want to. This is because evolutionarily, it was beneficial for humans to live, hunt, and work together in large groups. As a result, humans (even as far back as hominids) learned to adopt behaviors that were agreeable to a group dynamic. Image source You Underestimate Your Own Workload D. O. C.

Obvious Things That Are Easy To Ignore · Collaborative Fund “The world is full of obvious things which nobody ever observes,” says Sherlock Holmes. In a different scene he tells a friend while thinking about a crime: “It seems, from what I gather, to be one of those simple cases which are so extremely difficult.” Lots of things work like that. Learning from something has two parts: whether it’s important and whether it captures your attention. The number of things that check the first box but not the second are higher than any of us want. It’s not that the simple things are hidden. Two examples of obvious things that are easy to overlook in finance: 1. Former Goldman Sachs CEO Lloyd Blankfein is worth a billion dollars. Let’s assume there’s more than false modesty here. Blankfein is not even among the 10 richest people in his own apartment building. Spare Lloyd your tears, but pay attention to two things that affect all of us: People gauge their wellbeing relative to those around them. It’s been like that forever and for everyone. 2.

(3) des ressources aux résonances ... ou encore : 'de la soif de ressources à l'accueil des résonances'. (avec l'éclairage de Mon sieur Hartmut Rosa, que je remercie...) Deux temps -> deux rapports au monde et à soi (petit rappel de Mes sieurs Carl Jung et Thierry Tournebise, que je remercie...) Voici le processus d'Individuation d'un être humain : Depuis notre premier cri jusqu'à notre dernier souffle, notre structure psychique va devoir satisfaire deux types indispensables d’écoulements de flux : flux d’énergie, ici représenté en rouge, et flux de vie, représenté en bleu. Le flux d’énergie est caractérisé par le 'faire'. Le flux de vie est caractérisé par l’ 'être'. Le Soi est un archétype de Jung. Suivant les périodes de notre vie, différents challenges, ou crises, se présentent. Je vous invite maintenant à passer de la croissance d'un être humain à celle d'une société humaine, celle où nous évoluons depuis une petite poignée de centaines d'années... La soif de ressources Dommage... L'accueil des résonances à tout bien tôt .....

Le goût de la psychanalyse - Certes l'expérience d'une psychanalyse n'est pas de tout repos, pour l'analysant et pour l'analyste, mais tous deux peuvent aussi y trouver beaucoup de plaisir et de joie devant la découverte toujours renouvelée de toute la fi Locus de contrôle En psychologie de la santé, le lieu de maîtrise, parfois désigné par l'anglicisme lieu de contrôle (de l'anglais locus of control), est un concept proposé par Julian Rotter en 1954[1], qui décrit le fait que les individus diffèrent dans leurs appréciations et leurs croyances sur ce qui détermine leur réussite dans une activité particulière, ce qui leur arrive dans un contexte donné ou, plus généralement, ce qui influence le cours de leur vie. Le lieu de maîtrise se définit plus précisément comme « la tendance que les individus ont à considérer que les événements qui les affectent sont le résultat de leurs actions ou, au contraire, qu’ils sont le fait de facteurs externes sur lesquels ils n’ont que peu d’influence, par exemple la chance, le hasard, les autres, les institutions ou l’État »[2]. Il est aujourd'hui admis que le lieu de maîtrise est une dimension importante de la personnalité, relativement stable dans le temps[3]. Définition[modifier | modifier le code]

Psychothérapie des traumatismes complexes (2017) de Olivier Piedfort-Marin, Luise Reddemann « Humanae » le Pantone® couleur peau ! – Blog Shane Shane20 juillet 2012688 vues Le nuancier pantone donne permet aux graphistes créatifs de définir une couleur pour leur création graphique. Voici un (faux) nuancier Pantone® qui s’inspire des différentes couleurs de peaux. Espaces Mentaux et Intégration Conceptuelle : Retour sur la Constitution de Théories Soeurs 1Au sein du conglomérat théorique qu’il est convenu d’appeler linguistique cognitive, les espaces mentaux et l’intégration conceptuelle ont une position originale. A l’instar de la grammaire cognitive de Langacker, ils prennent leur origine dans le contexte générativiste. Mais comme la théorie des métaphores conceptuelles, ils s’émancipent d’applications étroitement linguistiques, ou plutôt renégocient la frontière du linguistique. 2Le protagoniste de notre histoire, Gilles Fauconnier, appartient à la génération des fondateurs de la linguistique cognitive, Lakoff, Langacker et Talmy. Comme eux, il a travaillé d’abord dans le cadre générativiste, et comme eux a rompu avec ce cadre. Sa collaboration avec Mark Turner, qui vient des études littéraires, débouche sur la notion d’intégration conceptuelle, théorie très ambitieuse qui absorbe des travaux de provenances diverses. 1.1. 1.2. 1.3. 14Réflexivisation : (1) Max is playing with himself again. 15Effacement (“Equi-NP deletion”) : 1.4. 1.5.

De quoi nos souvenirs sont-ils faits ? Avec Lionel Naccache Pourquoi on se souvient ? Pourquoi on oublie ? Pourquoi un souvenir ne revient-il pas à la mémoire plus tôt ? L'intro-fiction de Charles Pépin : "Pourquoi un jour sur un trajet qu'il effectue tous les jours, un homme soudain se souvient levant la tête vers le haut d'un immeuble, qu'il a vécu ici au troisième étage, il y a près de quarante ans. Convoquer ses souvenirs, c'est le pouvoir de rappeler le passé. Voilà maintenant notre homme replongé dans son passé Cette fenêtre fut celle de sa chambre. Notre inconscient nous domine-t-il ? Extrait de l'émission Lionel Naccache : "La mémoire humaine est d'une complexité incroyable et ne peut être réduite à de petites historiettes. On ne se replonge jamais deux fois dans le même souvenir. On a cette dynamique vivante des souvenirs. La suite est à écouter... Et à lire : Lionel Naccache, Le Cinéma intérieur, projection privée au coeur de la conscience (ed. Karine et Lionel Naccache, Parlez-vous cerveau (éd.

Penser à ses propres pensées ou comment le cerveau s’observe En 1884, alors qu’ils tentaient de définir les limites de la perception humaine, Charles Pierce et Joseph Jastrow ont découvert autre chose : les limites de notre introspection. Les participants à leurs expériences sous-évaluaient systématiquement leur capacité à juger correctement leurs propres sensations, ce que Pierce et Jastrow ont proposé comme explication de « l’intuition des femmes ainsi que de certains phénomènes télépathiques ». Ces implications pratiques particulières ont heureusement été laissées de côté (ainsi que la relation conceptuelle entre la télépathie et l’intuition féminine). À la fin des années 1970, cette approche consistant à demander aux participants d’évaluer leurs propres performances est devenue un domaine de recherche à part entière : l’étude de la « métacognition ». Nous ne sommes pas toujours doués pour la métacognition. Il est donc nécessaire de concevoir des outils pédagogiques et des traitements pour améliorer la métacognition. Juger ses propres émotions

La psychanalyse à l’épreuve de l’Histoire: la fin du désamour? Publié le : 01/10/2021 - 09:04 Pourquoi l’Histoire a-t-elle longtemps boudé l’inconscient, et pourquoi la psychanalyse continue-t-elle parfois de croire que les structures psychiques ne sont guère affectées par les changements d’époque et de civilisation ? Tel est le point de départ du dernier ouvrage de l’historien Mazurel, qui plaide pour une approche décloisonnée des sciences humaines. À 43 ans, Hervé Mazurel témoigne d’un parcours aussi impressionnant que protéiforme. Son nouveau livre L’insconscient ou l’oubli de l’histoire forme une sorte de diptyque avec Kaspar l’obscur ou l’enfant trouvé, paru en 2020, biographie de Kaspar Hauser, « l’orphelin de l’Europe », probable prince héritier qui grandit séquestré, coupé de tout contact humain et défraya la chronique avant que d’être assassiné. Les invariants de la psychanalyse contre le poids de l’Histoire Les rapports se sont heureusement affinés. Le « dédoublement du moi » des génocidaires L’inconscient au fil des siècles

La dépersonnalisation/déréalisation Les expériences dissociatives de détachement et d’irréalité sont fréquentes (jusqu’à 50% de la population sur une vie). Elles peuvent s’associer à des troubles psychiatriques (ex. troubles anxieux), des troubles neurologiques (ex. épilepsie) ou encore des consommations de substances (ex. cannabis). Parfois, ces expériences se répètent au point d’entrainer une détresse significative de de devenir un trouble à part entière. Simeon, Daphne et al. (2008). WordPress: J’aime chargement… Articles similaires

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