CNV
La CNV est aujourd’hui diffusée et enseignée partout dans le monde, en fort développement en France où elle est transmise depuis les années 90. Elle est utilisée par des particuliers, dans le secteur de l’éducation, de la santé et dans des organisations très diverses. Si vous souhaitez utiliser la CNV ou la transmettre, merci de prendre connaissance des demandes du CNVC.
[Tribune] De la nécessité d'inscrire le savoir être dans la formation
Je m'abonne Les soft skills, ces compétences de nature relationnelle, permettant une interaction efficace et productive avec autrui, sont de plus en plus demandées en entreprise. Il ne s'agit donc plus simplement d'embaucher pour des compétences techniques : toutes les connaissances qui dépendent du niveau d'instruction et de l'expérience professionnelle antérieure , les "hard skills".
Cabinets de conseil en management : comment gagner la bataille du recrutement des jeunes diplômés
Une intense concurrence fait rage pour attirer et fidéliser les meilleurs profils dans les cabinets de conseil en management. Avec une croissance à deux chiffres amplifiée par la digitalisation, l’industrie embauche chaque année un contingent de plus de 10 000 personnes. Parmi ces nouveaux consultants, pas moins de 4 000 étudiants de grandes écoles et d’universités, ce qui place le secteur au rang de premier recruteur de jeunes diplômés en France ! Les chiffres sont impressionnants mais ne rendent pas compte de la complexité des enjeux liés au recrutement des jeunes diplômés dans le secteur. Au-delà des volumes, se pose aussi la question vitale de la sélectivité, et donc de l’attractivité des cabinets de conseil…
Soft skills: les plus valorisées dans les entreprises, selon les cadres
Leur impact sur la performance de l'entreprise est mis en avant par plus de 9 cadres sur 10 - 91% des carres interrogés par Lavazza indiquent en effet que les "soft skills" contribuent à la compétitivité des entreprises, dont 41% pour qui elles y contribuent "beaucoup". Après l'alimentation au travail des salariés français, Lavazza s'est penchée sur la perception par les cadres des dix "soft skills" les plus répandues*. Plus des 2/3 des cadres (67%) du secteur public ou privé estiment que les "soft skills" sont encouragées dans leur entreprise. 1 cadre sur 5 (21%) affirme même qu'elles le sont "beaucoup" alors qu'à l'inverse, seuls 7% déclarent qu'elles ne le sont "pas du tout". Si ce sentiment de mise en avant est relativement homogène selon les différentes catégories de cadres, il s'avère toutefois plus conséquent auprès des moins de 35 ans, près des 3/4 d'entre eux (72%) partageant ce sentiment.
La "slow economy" : apprendre à ralentir pour durer
Dans une société où les nouveaux héros sont de jeunes créateurs de startups capables de lever des millions d'euros avant de passer leur permis de conduire, où Google n'a que 20 ans et Airbnb 10 ans, dans un monde où le numérique nous pousse à consommer l'information à toute allure, où l'obsolescence des produits et des hommes (à 45 ans, on est déjà un senior) s'accélère, la lenteur est une valeur qui revient à la mode. Et si la solution pour un monde durable était de ralentir ? Première manifestation de cette tendance, la "slow food" a été popularisée en Italie en 1986 par Carlo Petrini, critique gastronomique italien, qui voulait trouver une alternative aux fast-foods. Son concept : revenir à une agriculture moins intensive, dans le respect des sols et des cycles naturels, des écosystèmes et de la biodiversité locale. [Lancé en Italie en 1986 par Carlo Petrini, le mouvement Slow Food compte aujourd'hui 100.000 adhérents et un million de supporteurs dans 160 pays.]
Manager agile
Les organisations agiles, ont le vent en poupe. On parle aussi de méthodes agiles, de fonctionnements agiles, d’entreprise libérée. Qu’en est-il du métier de manager ?
Quand Les Soft Skills Prennent Le Pas Sur les Hard Skills
Selon une étude Monster, 85 % des entreprises délaissent les hard skills au profit des soft skills, c’est à dire les compétences comportementales lors d’un recrutement. Autrement dit, la personnalité d’un candidat est devenue ces dernières années un critère décisif d’embauche, surpassant les hard skills, les compétences techniques. Ces dernières ont un fort risque d’obsolescence dans un nouvel écosystème numérisé. Si bien qu’en 2030, 85 % des métiers n’existeraient pas encore selon le rapport Dell publié en 2017.
Témoignage : test d’une solution d’IA dans le processus de recrutement
Cet article a été rédigé sur la base d’une mission de conseil junior réalisée par une équipe d’étudiants de l’Université Paris-Dauphine (Anne-Sophie Allanic, Camille Sauvage, Fernanda Wanderley, et Lisa Vivoni), encadrée par Delphine Demay (Chargée de projet Développement RH chez Vinci Energies), Véronique Matignon Ménard (DRH de la Division International & Systems chez Vinci Energies), et Serge Perrot (Professeur de Management, Université Paris-Dauphine). Le projet faisant l’objet de cet article part d’une rencontre entre une directrice des ressources humaines et un professeur des Universités. Enseigner le management à l’université nécessite en effet non seulement de transmettre des connaissances liées à la recherche (cadres d’analyses, concepts, théories, etc.), mais également de permettre à l’étudiant de les mettre en œuvre en situations concrètes par le design d’une expérience d’apprentissage.
Quelles sont les 5 soft skills attendues par les recruteurs
Au-delà des compétences techniques (aussi appelées « hard skills »), quelles sont les compétences « douces » ou « soft skills » attendues par les recruteurs européens ? Un site emploi a dressé la liste de celles les plus mentionnées ces 12 derniers mois dans plus de 30 millions d’offres d’emploi en France en Allemagne, au Royaume-Uni et aux Pays-Bas. Entre comportements en entreprise, compétences individuelles et interpersonnelles, les exigences varient d’un pays à l’autre. La France attend surtout des candidats des compétences individuelles et notamment qu’ils soient avant tout autonomes (22%) et rigoureux (19%). Un bon relationnel (15%), du dynamisme (12%) et l’esprit d’équipe font également partie des attentes des recruteurs français si l’on en croit l’analyse des annonces emploi du méta moteur. Les entreprises françaises misent sur la capacité à convaincre et créer du lien.
David Graeber: «De plus en plus de personnes estiment que leur boulot ne devr...
Etre payé à ne rien faire, est-ce bien sérieux dans un monde capitaliste en quête infinie de profits ? Oui, répond contre toute attente l’économiste et anthropologue américain David Græber. Anarchiste, prof à la London School of Economics, il fut une grande figure d’Occupy Wall Street après la crise économique de 2008, autour du slogan «Nous sommes les 99 %». Dix ans plus tard, il poursuit le combat intellectuel contre le capitalisme. On le savait inégalitaire, aliénant, anti-écologie. Græber ajoute qu’il est aussi inefficace.
La situation ci-dessus vous semble familière ? Vous êtes-vous déjà surpris à fuir une discussion par crainte de vous emporter ? Vous arrachez-vous les cheveux en ce moment même pour trouver le moyen d’exprimer à quelqu’un ce que vous ressentez sans exploser ? C’est au travers de la lecture de « Cessez d’être gentil, soyez vrai » de Thomas D’Ansembourg que j’ai découvert la Communication Non Violente. Véritable outil de développement personnel, elle permet de (re)découvrir avec humilité la communication et de ne plus se laisser dominer par nos émotions mais les appréhender avec à-propos et sérénité.
Soft skills: les plus valorisées dans les entreprises, selon les cadres
Leur impact sur la performance de l'entreprise est mis en avant par plus de 9 cadres sur 10 - 91% des carres interrogés par Lavazza indiquent en effet que les "soft skills" contribuent à la compétitivité des entreprises, dont 41% pour qui elles y contribuent "beaucoup". Après l'alimentation au travail des salariés français, Lavazza s'est penchée sur la perception par les cadres des dix "soft skills" les plus répandues*. Plus des 2/3 des cadres (67%) du secteur public ou privé estiment que les "soft skills" sont encouragées dans leur entreprise. 1 cadre sur 5 (21%) affirme même qu'elles le sont "beaucoup" alors qu'à l'inverse, seuls 7% déclarent qu'elles ne le sont "pas du tout". Si ce sentiment de mise en avant est relativement homogène selon les différentes catégories de cadres, il s'avère toutefois plus conséquent auprès des moins de 35 ans, près des 3/4 d'entre eux (72%) partageant ce sentiment. Les soft skills infusent la culture d'entreprise