http://www.youtube.com/watch?v=cJ1ihWeQT_0
Related: ECO 1.2 L'activité économique • Après le cours • Comment lutter contre le chômage? • CroissanceExpliquez-nous... la croissance Selon la définition de l'Insee, la croissance économique est l'évolution de la richesse produite sur le territoire français entre deux periodes données : années ou trimestres. Cette richesse est appelée le Produit intérieur brut. On a donc un pourcentage rapporté à ce PIB. La croissance est mesuré par l'évolution du PIB à prix constant. Le Produit interieur brut, c'est donc la somme de toutes les richesses produites dans un pays. Ce qui est produit par une entreprise française à l'etranger n'est pas pris en compte. Quelles sont les dépenses de l'État ? - Les dépenses de l'Etat Découverte des institutions <p class="video_texte"> L'utilisation de javascript est obligatoire sur cette page pour voir l'animation.</p> Les dépenses de l’État sont présentées par mission, ce qui permet de mieux appréhender à quelle politique publique (ou mission) sont affectées les ressources. Le budget général de l’État compte 32 missions dans le projet de loi de financesLoi de financesLoi qui détermine, pour un exercice (une année civile), la nature, le montant et l’affectation des ressources et des charges de l’État, ainsi que l’équilibre budgétaire et financier qui en résulte. (PLF) pour 2018 pour un total de 417,3 milliards d’euros (Md€) en autorisations d’engagements et 440,9 Md€ en crédits de paiements.
Etats-Unis : le plan Biden, succès politique et risque économique Joe Biden signera, vendredi 12 mars à la Maison Blanche, son plan de relance de 1 900 milliards de dollars (1 590 milliards d’euros) promis pendant la campagne électorale de 2020. La loi, qui prévoit de dépenser 8,5 % du produit intérieur brut (PIB) américain, a été adoptée définitivement par la Chambre des représentants, mercredi 10 mars. Seuls les démocrates ont voté ce texte, marquant l’incapacité de Joe Biden à obtenir, comme il l’espérait, un accord transpartisan avec les républicains. Dans la bataille parlementaire, le président a dû renoncer à augmenter le salaire minimal fédéral de 7,25 dollars de l’heure à 15 dollars de l’heure, faute de réunir la majorité qualifiée requise au Sénat.
Les subventions salariales pèsent lourd sur les dépenses publiques belges, selon une étude de la Banque Nationale Les rémunérations et les subventions aux entreprises sont les deux catégories qui contribuent le plus au niveau relativement haut de dépenses publiques en Belgique, ressort-il d'une étude de la Banque Nationale de Belgique (BNB). Les subventions salariales sont particulièrement visées. Newsletter info Recevez chaque matin l’essentiel de l'actualité.
L'inflexion de l'épargne face aux taux zéro A l’ère des taux bas, le marché de l’épargne est en ébullition. C’est contre-intuitif, mais la faiblesse des taux n’a pas détourné les ménages de l’épargne. Bien au contraire, l’effort des ménages a augmenté et le taux d’épargne se situe aujourd’hui 1 point au-dessus de la moyenne enregistrée entre 2013 et 2018. Le Liban annonce le premier défaut de paiement de son histoire Le Liban traverse le premier défaut de paiement de son histoire. Le premier ministre Hassan Diab a annoncé, samedi 7 mars, que le pays ne serait pas en mesure de rembourser 1,2 milliard de dollars (1 milliard d’euros) de sa dette qui arrive à échéance dans deux jours. Alors qu’il croule sous un endettement de 92 milliards de dollars (81 milliards d’euros) – soit environ 170 % de son produit intérieur brut (PIB) – le pays du Cèdre « va restructurer sa dette conformément à l’intérêt national », a ajouté le chef du gouvernement, désigné fin décembre 2019, plus de deux mois après le début d’un mouvement de contestation inédit contre la classe politique, accusée de corruption et d’incompétence. « Nos réserves en devises ont atteint un niveau inquiétant (…), poussant le gouvernement à suspendre [le paiement d’une dette arrivant] à échéance le 9 mars », a déclaré M. Lire aussi A bout de souffle, le Liban se dote d’un nouveau gouvernement
Le chômage : un équilibre involontaire - Ép. 2/3 - Les leçons de Keynes Auteur du célèbre ouvrage La Théorie générale de l'emploi, de l'intérêt et de la monnaie publié en anglais en 1936, John Maynard Keynes a marqué les esprits de ses contemporains et des générations de futures économistes en s’opposant à la théorie classique de l’économie. Peu convaincu par l’existence d’un chômage uniquement volontaire, Keynes va montrer dans ses travaux que le capitalisme engendre du chômage de manière chronique, alors même que la structure de l’économie est parfaitement concurrentielle, prenant ainsi à contre-pied l'idéologie dominante de son époque. Car à la fin du XIXème siècle, le regard que les hommes politiques et les économistes portent sur les questions sociales s'est transformé. À l’image du pauvre dépourvu de ressources s'est substituée celle du travailleur qui, pour des raisons économiques, se trouve provisoirement sans emploi. Or dans la théorie classique qui se développe à ce moment-là, le chômage involontaire n'existe pas dans un marché libre.
Vous connaissez l’empreinte carbone, connaissez-vous l’empreinte eau ? Facebook annonce qu’elle sera “water positive” d’ici à 2030 : l’entreprise veut arriver à restituer plus d’eau qu’elle n’en consomme (principalement pour refroidir ses datacenters). IKEA vient de se fixer un objectif similaire. Et La ville de Valence, en Espagne, "devient la première ville au monde à calculer l’empreinte hydrique de l’activité touristique" elle veut "devenir une destination à l’empreinte carbone et hydrique neutre". Newsletter info Recevez chaque matin l’essentiel de l'actualité.
La descente aux enfers de la consommation des ménages Le grand rush vers la consommation n’est pas pour demain. Les Français ne sont pas dans les starting-blocks pour se ruer dans les boutiques, les grands magasins, les grandes surfaces spécialisées, ni même dans les restaurants, salons de coiffure, instituts de beauté, parcs d’attractions, cinémas ou autres. Tout scénario de rattrapage euphorique, de comportements d’achats ou de divertissements compensatoires qui aurait pu effacer à brève échéance une partie du manque à gagner dans les services et la distribution est à exclure. D’abord, parce que le virus et la crainte de la contamination resteront un problème latent et durable : la population française est très loin de l’immunité collective alors qu’il n’est pas encore totalement certain que ce virus perde en virulence en fonction des saisons et que l’immunité après guérison soit totale. Sans la mise au point de traitements efficaces ou d’un vaccin, les contraintes de distanciation sociale resteront impératives. Lot de consolation
Plan de soutien à l’économie La pandémie de coronavirus incite les puissances publiques à adopter des mesures visant à soutenir l’économie. Les gouvernements et les banques centrales disposent de différents outils pour amortir les chocs économiques. Face à l’épidémie de coronavirus, les États sont en train d’adopter des plans pour soutenir leur économie. Lors de son allocution le 16 mars, Emmanuel Macron a déclaré qu’aucune entreprise ne serait « livrée au risque de faillite » et qu’aucun citoyen ne serait « laissé sans ressources ». Il a présenté plusieurs mesures pour les entreprises, dont le « report des charges fiscales et sociales » qu’elles doivent acquitter. Il a affirmé que l’État garantirait jusqu’à 300 milliards d’euros les prêts contractés par les entreprises auprès des banques.
Chômage : brève histoire d'un concept Luc Simula, professeur agrégé de Sciences économiques et sociales, aujourd'hui à la retraite, a enseigné en classes préparatoires (ECE, BL) et en préparation au CAPES de SES. Il est co-auteur de La Dissertation économique (La Découverte, Grands Repères Manuels, 2014). Résumé : Les concepts sont des constructions sociales et ils ont une histoire.