Epicycles de Ptolémée Epicycles de Ptolémée Pour les grecs depuis Aristote (−385, −322) la Terre était le centre du Monde. Seul Aristarque de Samos (−310, −230) avait envisagé un système héliocentrique. La Terre est le centre du Monde et seuls sont possibles les mouvements rectilignes et circulaires uniformes étaient deux dogmes. Mais ces dogmes posaient aux observateurs du ciel un problème majeur : Comment expliquer les boucles des planètes ? Ptolémée a eu l'idée des épicycles. Utilisation : La partie gauche du schéma représente dans le système héliocentrique le mouvement de la Terre (en bleu) et d'une planète hypothétique (en jaune) qui mettrait exactement trois années terrestre pour parcourir son orbite. Le slider rouge permet de modifier le rapport des vitesses de rotation entre l'épicycle et le déférent. Le slider vert permet de modifier le rayon de l'épicycle. Le bouton [Départ] permet de lancer l'animation la pause et la reprise de l'animation..
Géométrie de l'univers ChronoMath, une chronologie des MATHÉMATIQUESà l'usage des professeurs de mathématiques, des étudiants et des élèves des lycées & collèges Justifiée de par le grand nombre de mathématiciens contemporains consacrant leurs recherches à la physique théorique et aux conjectures et modèles qu'elles proposent pour expliquer notre univers, voire son origine, cette page, consacrée à quelques éléments fondamentaux de la physique moderne, n'est en rien la spécialité de l'auteur de ces lignes. Raison pour laquelle aucun développement hasardeux n'y est introduit. Les liens Wikipédia vers les biographies de physiciens sont donnés à titre informatif sans contrôles croisés de leur pertinence. L'expérience de Michelson-Morley : Cette surprenante et déroutante théorie révolutionne la cosmologie et la physique théorique. Albert Abraham Michelson , Edward Morley sur WikipédiA réf. 1e/2 ou bien réf. 1h, p.2-3). réf. 1a, ch.15) et la nature à la fois corpusculaire (photons) et ondulatoire de la lumière. réf.8).
Boson de Higgs Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir BEH. Le boson de Higgs, aussi connu sous d'autres noms dont celui de boson BEH, est une particule élémentaire dont l'existence, postulée indépendamment en 1964 par Robert Brout, François Englert, Peter Higgs, Carl Richard Hagen, Gerald Guralnik et Thomas Kibble, permet d'expliquer la brisure de l'interaction unifiée électrofaible en deux interactions par l'intermédiaire du mécanisme de Brout-Englert-Higgs-Hagen-Guralnik-Kibble et d'expliquer ainsi pourquoi certaines particules ont une masse et d'autres n'en ont pas[3]. Son existence a été confirmée de manière expérimentale en 2012 grâce à l'utilisation du LHC et a conduit à l'attribution du prix Nobel de physique à François Englert et Peter Higgs en 2013. Description[modifier | modifier le code] Le modèle standard de la physique des particules ne prédit l'existence que d'un seul boson BEH : on parle de « boson de Higgs standard ». DØ et CDF.
La beauté de la multiplication Question : faut-il être fou pour parler d'arithmétique modulaire à un collégien ?Réponse : non ! On l'utilise même tous les jours en regardant l'heure... L'idée de base de l'arithmétique modulaire est de travailler non sur les nombres eux-mêmes, mais sur les restes de leur division par quelque chose.Par exemple, s’il est 16h52 et que j’attends 15 minutes, il sera 17h07, autrement dit 52+15=7 dans l’arithmétique (des minutes) de l’horloge. Ce que nous en écrivons, en mathématiques : 52 + 15 ≡ 7 (mod. 60) et que nous lisons : « 52 plus 15 est congru à 7 modulo 60 ». Pourquoi congru ? Pour lire la sublime biographie de Gauss, c'est dans un autre article : cliquer ici. Vous comprenez maintenant, je l’espère, les congruences suivantes : 5 ≡ 2 (mod. 3) ; 1985 ≡ 5 (mod. 10) ; 20 ≡ 8 (mod. 12). L’arithmétique modulaire est enseignée en Terminale Scientifique, pour ceux qui choisissent la spécialité mathématiques.Autant dire à des années de ce que pourrait comprendre un élève de collège…
Sans Einstein, pas de GPS ! [Quoique…] En ce moment où l’on parle beaucoup de valorisation de la recherche, le grand public peut parfois s’interroger sur les retombées technologiques de certaines recherches très fondamentales. Et pourtant les exemples ne manquent pas, à commencer par la mécanique quantique sans laquelle l’électronique et l’informatique n’existeraient pas ! Mais aujourd’hui, je voudrais évoquer le cas de la théorie de la relativité générale. Car cette théorie – qui nous permet de comprendre ce qu’est un trou noir ou comment s’est déroulé le big-bang – joue un rôle essentiel dans le fonctionnement du GPS. [Edit du 25/04/2013 : Suite à une discussion en commentaire, on m’a fait remarquer que la méthode actuelle de compensation des horloges GPS n’utilise en fait PAS les formules issues des théories d’Einstein. Si le fait que les effets relativistes ‘perturbent’ le GPS est incontestable, il est donc faux de dire que sans la relativité le GPS ne pourrait pas fonctionner. Le principe du GPS La triangulation Le vrai GPS
Peter Higgs Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Peter Higgs en 2009 Peter Ware Higgs (/ˈpiː.tə wɛə hɪɡz/[1]), né le 29 mai 1929 à Wallsend, dans la banlieue de Newcastle upon Tyne[2], est un physicien britannique titulaire d'une chaire de physique à l'université d'Édimbourg[3] jusqu'en 1996 où il est nommé professeur émérite[4]. Il est titulaire du prix Nobel de physique, qui lui a été attribué en 2013[5] pour la découverte au CERN du boson de Higgs, qui porte son nom. Biographie[modifier | modifier le code] Il est surtout connu pour avoir proposé, dans les années 1960 et simultanément à d'autres chercheurs, une rupture de symétrie dans la théorie des particules, concernant la force électrofaible, expliquant notamment l'origine de la masse des particules élémentaires, et plus particulièrement les bosons W et Z. Honneurs et distinctions[modifier | modifier le code] Références[modifier | modifier le code] Liens externes[modifier | modifier le code]
La Relativité (5) : c’est aussi E=mc² | CARB.ONE 7 décembre 2015 , par Christophe Delattre C’est la plus célèbre équation de la physique : « E=mc² », mais sa signification profonde demeure inconnue, mystérieuse, étrange pour la plupart des personnes. Ce qui sans doute contribue également à son aura. Nous allons essayer ici de la démystifier… ce qui, au final, ne la rendra pas moins belle. Bien au contraire. A ce stade du récit, nous sommes à la fin du mois de septembre 1905. Au tour de la masse et de l’énergie Nous sommes donc le 27 septembre 1905, date d’envoi du dernier article de l’année « miraculeuse ». Même si, dans l’article précédent, on vous a chatouillé les neurones avec le temps et l’espace, vous saviez de quoi il s’agissait. On associe souvent la masse à une grandeur en kg, représentant la quantité de matière que possède un corps (et pas uniquement votre corps de rêve). Quant à l’énergie, il a fallu attendre le XIXe siècle pour lui trouver son actuelle définition. L’équation Oui, ça fait un peu long sur un tee-shirt. Voilà.
La désintégration du boson de Higgs a enfin été observée La masse du boson de Higgs limite également les éventuelles désintégrations. Les quarks b étant 30 fois plus légers qu'un boson de Higgs, ce dernier peut aisément en produire une paire lors de sa décomposition. Selon le modèle standard, un boson de Higgs qui se désintègre se divisera en une paire quark-antiquark dans 58 % des cas. Cette prédiction a mis à l'épreuve le modèle standard : si les chercheurs n'avaient pas pu observer le boson de Higgs se désagréger en un quark b, les théories les mieux établies sur le fonctionnement de l'univers auraient été mises en péril. « Le modèle standard n'aurait pas du tout été adapté à cette situation », explique M. À l'aide des détecteurs ATLAS et CMS, les chercheurs ont assisté indépendamment à la désintégration du boson de Higgs en quarks b, démontrant ainsi que la réalité était conforme à la théorie. « Il s'agit d'un processus extrêmement compliqué. Quelles règles secrètes de l'univers risquons-nous de découvrir ?
relativité - une approche La relativité restreinte fut découverte indépendamment par Hendrik Lorentz, Henri Poincaré et Albert Einstein: L'espace et le temps ne sont pas des entités séparées. Ce sont des sous-espaces d'un espace temps à quatre dimensions. Historique Le statut ondulatoire de la lumière est acquis: Travaux de Fresnel et Young Théorie électromagnétique de Maxwell Il lui faut donc un milieu pour se propager: l'éther? Michelson et Morley veulent déterminer par interférométrie la vitesse combinée de la lumière et du mouvement de la Terre. Lumière et Terre Vitesse combinée dans le même sens: c, la vitesse de la lumière dans le sens opposé: c, la même vitesse! Oersted, Ampère et Faraday Ils avaient compris que l'électricité et le magnétisme étaient les manifestions d'un champ unique. Ampère Relations entre courant et aimants. Faraday Découvre l'induction: le courant crée un champ magnétique et réciproquement. Maxwell Construit la théorie complète du champ électromagnétique. Champ unique pour électricité et magnétisme.
La désintégration du Higgs en quarks b enfin observée - Institut Pluridisciplinaire Hubert CURIEN (IPHC) DRS | A la une au DRS » La désintégration du Higgs en quarks b enfin observée Dernière mise à jour : jeudi 30 août 2018, par Nicolas Busser Genève, le 28 août 2018. Six ans après la découverte du boson de Higgs, la désintégration de cette particule en d’autres particules fondamentales, les quarks b, a enfin été observée. D’après le Modèle standard de la physique des particules, dans 60 % des cas, le boson de Higgs se désintègre en une paire de quarks b, qui vient en deuxième position par sa masse sur l’ensemble des six quarks. Arriver à repérer ce mode de désintégration du Higgs, qui est commun, est loin d’être facile, comme l’ont montré les six années écoulées depuis la découverte de cette particule. Pour extraire le signal, les collaborations ATLAS et CMS ont toutes deux combiné des données issues de la première et de la deuxième périodes d’exploitation du LHC, correspondant à des collisions à des énergies de 7, 8 et 13 TeV. Pour en savoir plus :
Physique quantique La physique quantique est l'appellation générale d'un ensemble de théories physiques nées au XXe siècle. Avec la relativité, cette branche de la physique marque une rupture comparé à ce qu'on nomme désormais la physique classique, qui regroupe la totalité des théories et principes physiques admis au XIXe siècle, cette dernière ayant échoué dans la description de l'infiniment petit — atomes, particules — et dans celle de certaines propriétés du rayonnement électromagnétique. La physique quantique comprend :