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Un transparent de Carmontelle

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Panorama de Carmontelle | Le Louvre Créateur de jardins, organisateur de fêtes et de spectacles, Louis Carrogis, dit Carmontelle, fut très lié aux princes d'Orléans dont il fut le protégé. Il se fit une spécialité de portraits de gens de qualité et de dames de la cour, exécutés à la pierre noire, la sanguine et l'aquarelle, constituant un témoignage fidèle de toute une société. On lui connaît aussi, plus rares, quelques grands panoramas représentant des paysages, faits pour être déroulés devant une source lumineuse.Lors de sa vente après-décès, 750 portraits et 11 boîtes de rouleaux transparents furent dispersés. Les premiers transparents connus de Carmontelle sont datés des dernières années du règne de Louis XVI (1783 et 1787), puis de la période révolutionnaire (1790, 1792, 1795, 1798) et les derniers du Consulat et de l'Empire (1800, 1801, 1803 et 1804). Leur sujet est identique : les campagnes d'Île de France et les jardins pittoresques. Les lieux ne devaient toutefois pas être nécessairement identifiables.

Les tableaux transparents de Carmontelle Carmontelle a réalisé ses premiers transparents sous l’Ancien Régime, lorsqu’il était chargé des divertissements du duc d’Orléans. À la mort de l’artiste en 1806, onze transparents sont répertoriés à son domicile de la rue Vivienne, à Paris. Les premiers sont datés des dernières années du règne de Louis XVI, entre 1783 et 1787. Un rare manuscrit, intitulé Mémoire sur les tableaux transparents, daté de 1794-1795 (« An III de la Liberté »), nous permet d’en connaître précisément le processus de fabrication. Dessin par Carmontelle sur la façon de présenter les transparents, au verso d’une page de son Mémoire sur les tableaux transparents, 1794-1795.

Ressources documentaires sur les transparents de Carmontelle - Arts plastiques - Éduscol À la rentrée 2018, les transparents de Carmontelle viendront remplacer les œuvres de Véronèse de la villa Barbaro dans le programme de l'option facultative d'arts plastiques des séries générales et technologiques. Peu connues du grand public, ces œuvres permettent d'aborder trois questions fondamentales en lien avec le programme de terminale : la théâtralisation de l'image, la relation du spectateur avec l'image et la sollicitation des sens et le caractère nomade et éphémère de la monstration de l'œuvre. La liste des ressources documentaires gratuites ci-dessous visent à éclairer les connaissances des enseignants pour préparer la rentrée prochaine : Texte de référence du programme limitatif pour l'année 2018-2019 (B.O.E.N., n° 10 du 8 mars 2018)

Carmontelle Louis Carrogis de Carmontelle, né le 15 août 1717 à Paris et mort dans la même ville le 26 décembre 1806, est un peintre, dessinateur, graveur, auteur dramatique et architecte-paysagiste français. « Cette place de lecteur était subalterne, écrit Madame de Genlis, puisqu'elle ne donnait pas le droit de manger avec les princes, même à la campagne. Ainsi que le docteur Tronchin, M. Carmontelle se fait cependant apprécier pour son esprit et pour son habileté à portraiturer les personnages, petits et grands, qui fréquentent la cour. L'art de Carmontelle est dans la reproduction de ce qu'il voit, souvent par le biais de la miniature, comme dans ses jardins. On connaît de lui plus de 750 portraits[3]. « M. de Carmontelle se fait depuis plusieurs années un recueil de portraits dessinés au crayon et lavés en couleurs de détrempe. Cent ans plus tard, cette analyse de Grimm se trouve en large partie confirmée par deux historiens de l'art : Environ une centaine de proverbes a été conservée.

Ressources documentaires sur les transparents de Carmontelle - Arts plastiques - Éduscol À la rentrée 2018, les transparents de Carmontelle viendront remplacer les œuvres de Véronèse de la villa Barbaro dans le programme de l'option facultative d'arts plastiques des séries générales et technologiques. Peu connues du grand public, ces œuvres permettent d'aborder trois questions fondamentales en lien avec le programme de terminale : la théâtralisation de l'image, la relation du spectateur avec l'image et la sollicitation des sens et le caractère nomade et éphémère de la monstration de l'œuvre. La liste des ressources documentaires gratuites ci-dessous visent à éclairer les connaissances des enseignants pour préparer la rentrée prochaine : Texte de référence du programme limitatif pour l'année 2018-2019 (B.O.E.N., n° 10 du 8 mars 2018)

Copier, citer, détourner... créer Depuis toujours, les artistes se confrontent de différentes manières à leurs prédécesseurs.Tout d'abord par la copie dans le cadre de la formation, de l'apprentissage... C'est surtout le cas chez les peintres qui ont été longtemps formés de cette manière.Mais les artistes peuvent être amener à citer, détourner une oeuvre pour d'autres raisons. Si parfois la citation est un support à leur création dont ils se servent pour mieux réinventer à leur propre manière, ils se sont aussi parfois amusés à les détourner, les parodier pour les critiquer ou leur rendre hommage. ( Voir articles 1 & 2) L'exemple 1000 X copié, la Joconde de Léonard de Vinci ! Autres exemples Copie / citation Photo de portrait hollandais de la Renaissance par la photographe Kertens. DétournementsClipGénérique de desperate housewifes Beaucoup d'ironie sur le savoir-faire de l'artiste qui n'est au XXème siècle plus au coeur du propos, la réflexion, le questionnement dominent.

Louis Carrogis, dit Carmontelle (Paris 1717-1806) | Ensemble de cinq transparents représentant des paysages des 'Campagnes de France' | 18e, Dessin et aquarelle Louis Carrogis est avant tout célèbre pour ses portraits dessinés et aquarellés, plus de six cents, représentant toutes les personnalités influentes de l’époque : militaires, littéraires, artistiques, à commencer par la famille d’Orléans dont il devient le premier gentilhomme en 1753 et le grand ordonnateur des fêtes du duc. Esprit curieux et inventif, créateur de jardins et brillant organisateur de fêtes et de spectacles, il se voit confier par le duc de Chartres, dans les années 1772-1773, l’agencement de l’actuel parc Monceau. C’est au même moment qu’il développe l’art du transparent dont les cinq aquarelles que nous présentons ici font partie. THE BIRTH OF THE MOVING IMAGE. This way of presenting images in movement still surprises and enchants today. Certain elements of the compositions come back in the different rolls, such as the boat in yellow and blue, festively decorated with its flags.

LES DESSINS ET PEINTURES DE CARMONTELLE (1717-1806) Il exécute parallèlement de grandes toiles (notamment une d'environ 15 mètres de long sur 3, 50 de haut) servant de décor à des scènes de petits théâtres ou à des fêtes en plein air, certaines étant là rétroéclairées par des flammes (fête de mariage du duc de Chartres en 1769). Il est à noter que pour ces grandes toiles, comme plus tard pour certains de ses transparents, Carmontelle fait appel à des assistants.Il utilise cependant la transparence pour d'autres créations. Pour le Pavillon principal du parc Monceau (années 1770), il réalise des puzzles peints formés de carreaux de toile fine entre deux verres qui sont placés sur les fenêtres afin de transformer le paysage perçu en vue estivale ou exotique. - CARMONTELLE (Louis Carrogis dit, 1717-1806), Mémoire sur les tableaux transparents du Citoyen Carmontelle, 1794-1795, essai de faire breveter ses transparents, "Pour voir ces planches, il faut les tenir de manière que la lumière puisse passer au travers",

Authentication CAS nécessaire ! Artiste particulièrement inventive, Sophie Taeuber-Arp est pleinement inscrite dans les avant-gardes du début du XXe siècle. Elle s’affranchit des catégories esthétiques communes pour produire une œuvre multiforme, fondatrice de la modernité.Nourri d’une iconographie abondante et de vidéos pédagogiques, ce dossier web, accessible gratuitement, explore la démarche de création et l’œuvre de l’artiste résolument située entre tradition, rupture et renouvellements.

Histoire de la lanterne magique : présentation La « lanterne magique » ou « lanterne de peur », appareil d'optique, apparaît en 1659 à La Haye, dans le laboratoire de l'astronome hollandais Christiaan Huygens. La lanterne magique permet la projection amplifiée, sur écran, d'images peintes sur verre. Ces images peuvent être fixes ou animées, grâce à des superpositions de verres mobiles. Tout, dans la lanterne, de même que les effets qu'elle produit, est « magique » : fumante et percée de lumière, en fer, en bois, surmontée d'une cheminée, pourvue d'un jeu de lentilles, d'un réflecteur parabolique et d'une lampe à pétrole ou à huile, elle sert d'abord à projeter tout un cortège d'images diaboliques, licencieuses, religieuses, politiques ou scientifiques, peintes à la main sur des plaques de verre. La grande vogue des projections lumineuses a permis au cinématographe en 1895 de s'implanter très rapidement non seulement dans les salles, mais aussi dans les foyers.

Les transparents de CARMONTELLE – Arts plastiques Deux sujets de lycée proposés par M. Sanner et 2 diaporamas sur CARMONTELLEplus un texte concernant l’entrée du programme d’Arts plastiques – Option facultative toutes séries : « Les transparents de CARMONTELLE : d’une mise en scène de l’image aux prémices de l’histoire de l’installation« . Ces œuvres et cette problématique visent à soutenir l’investigation de l’entrée du programme portant sur « l’aspect matériel de la présentation : le support, la nature, les matériaux et le format des œuvres ». Axes de travail :

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