Retour sur terre pour les drones Acceptation sociale problématique, concentration accélérée du secteur et concentration des usages sur quelques domaines d'activité spécifiques... La déferlante que certains entrevoyaient ne s'est pas produite. Pour les drones, l'atterrissage est un peu rude, même si la plupart des experts considèrent que cette phase était inévitable et que ces appareils vont s'inscrire dans le cours de l'histoire. L'avènement du drone de loisirs, dont certains entrevoyaient qu'il rencontrerait la même popularité que les action cameras de GoPro, a fait long feu. Performant mais encore complexe à utiliser par le grand public, trop masculin dans son approche de la technologie, en butte à une législation plus contraignante et encore loin d'être accessible à tous (le prix d'un drone de qualité commence aux alentours de 400 euros), le quadricoptère du dimanche ne s'est pas imposé comme un équipement indispensable aux loisirs familiaux. ...
PARROT : le Conseil d’administration recommande l'offre d'Henri Seydoux (AOF) - Le Conseil d’administration de Parrot a considéré que le projet d’offre de rachat de son fondateur et actionnaire de contrôle, Henri Seydoux, est conforme aux intérêts de la société, de ses actionnaires, et de ses salariés. Il a donc décidé d’émettre un avis favorable. Henri Seydoux et sa famille proposent 3,20 euros par titre du spécialiste des drones. « Compte-tenu de l’opportunité qu’elle présente et du caractère équitable des prix proposés », le Conseil d’administration a recommandé aux actionnaires et porteurs de bons de souscription d’action d’apporter leurs titres à l’offre. Au titre du 4ème trimestre 2018, Parrot estime avoir réalisé un chiffre d'affaires de 31 millions d'euros, comparé à un objectif de 35 millions d'euros, dans un contexte de baisse prononcée du marché des drones grand public. Le chiffre d'affaires annuel ressortirait ainsi à 109 millions d'euros en baisse de 28%. Equipementiers télécoms Electronique
Parrot : Activit s du 1er trimestre 2019 Activités du 1er trimestre 2019 Le Conseil d’administration de Parrot s’est réuni le 15 mai 2019, il a souhaité synthétiser la communication financière trimestrielle de Parrot, seul acteur coté d’importance dans le marché des drones. Dans ce cadre, les résultats détaillés seront désormais présentés aux échéances du semestre et de l’année. Les données financières du 1er trimestre ne sont pas auditées. Événements significatifs L’AMF a rendu sa décision de conformité sur l’Offre le 5 mars 2019 et l’Offre a été ouverte une première fois du 7 mars au 10 avril puis une seconde fois du 23 avril au 7 mai. 18 866 332 actions PARROT représentant autant de droits de vote2, soit 62,52% du capital et des droits de vote3, 14 942 157 BSA 1 représentant 85,02% des BSA 1 existants,15 095 319 BSA 2 représentant 85,89% des BSA 2 existants. Évolution et répartition des activités du Groupe Parrot Activités Drones et solutions professionnels Activités Drones prosumer Perspectives 2019
Parrot confirme l’arrêt de la production de mini-drones grand public Depuis sa création en 1994, Parrot n’a cessé de vouloir se diversifier. Une technique bien connue qui porte souvent ses fruits dans le domaine de la high-tech. L’entreprise française s’est donc spécialisée dans la connectivité (kit mains libres, autoradio…) puis l’audio plutôt haut de gamme et enfin les drones. Elle propose encore actuellement des modèles de qualité, capable de rivaliser avec le géant chinois DJI. La firme vient pourtant d’annoncer à The Verge qu’elle allait mettre fin à la production de ses mini-drones. En effet, cela faisait plusieurs années qu’elle avait étendu sa gamme de machines afin de proposer des modèles à prix plancher, d’ailleurs plus comparable à de sympathiques gadgets qu’autre chose. Cependant ces derniers permettaient de mettre un pied dans cet univers, et poussaient potentiellement les clients à passer sur des références plus onéreuses… Et bien plus capables. Depuis sa création en 1994, Parrot n’a cessé de vouloir se diversifier.
ANAFI FPV : Immersion totale dans le cockpit du drone r volutionnaire de Parrot Communiqué de presseLundi 2 septembre 2019 ANAFI FPV : Immersion totale dans le cockpit du drone révolutionnaire de Parrot Une immersion totale à travers les lunettes « Cockpitglasses 3» grâce à la vidéo en direct de la caméra 180° d'ANAFI ;Un mode unique FPV pour les photographes aériens pour un niveau de contrôle sans précédent ;Un nouveau mode de vol et deux presets inédits qui permettent des effets visuels à couper le souffle, une liberté de création et un plaisir infini. Paris, le 2 septembre 2019 – Prêt pour atteindre de nouveaux sommets ? ANAFI FPV est le drone quadricoptère qui ravira tous les pilotes grâce à ses nombreuses fonctionnalités : Innovation + Immersion : une nouvelle vision du monde Pour vivre l’expérience immersive ultime, il suffit d’appairer le drone ANAFI FPV à un smartphone via l’application FreeFlight 6.6 et de le placer dans les «Cockpitglasses 3» pour pouvoir commencer à voler ! ANAFI FPV va au-delà du divertissement. ANAFI FPV, le parfait compagnon de voyage
Le français Parrot espère vendre ses drones à l’armée américaine C’est une bonne nouvelle. Et le numéro un européen des drones grand public n’en avait pas enregistré depuis longtemps. Parrot a annoncé, mardi 28 mai, avoir été retenu par l’armée américaine dans le cadre d’un projet destiné à mettre au point une nouvelle génération de drones de reconnaissance de courte portée. La société française, qui a enregistré une perte d’exploitation de 111 millions d’euros en 2018, égale à son chiffre d’affaires, fait partie d’un groupe de six entreprises retenues dans le cadre d’un appel d’offres lancé en novembre 2018. Le futur drone, d’une portée de trois kilomètres, disposera d’une autonomie de trente minutes. Article réservé à nos abonnés Lire aussi Dans la tourmente, les drones du français Parrot dévissent En franchissant cette première étape, Parrot peut envisager d’autres contrats, alors que les autorités américaines ont décidé de bannir les drones chinois des appels d’offres publics. Lire aussi On a testé… le drone Parrot Anafi Jean-Michel Normand
amp.lefigaro On a testé… L’Anafi FPV, le drone de Parrot pour voler « en immersion » Le concept de vol « en immersion » ou à la première personne (First Person View ou FPV, en anglais) a incontestablement apporté un supplément d’âme à la pratique du drone de loisir. Spectaculaire, ce mode de pilotage adopté par les adeptes des courses de vitesse offre l’illusion de se trouver embarqué à bord du drone que l’on fait évoluer grâce à des lunettes à écran. Parrot, qui n’en est pas à son coup d’essai (son aile volante Disco et certains de ses drones-jouets, dont la production vient de cesser, peuvent être maniés en FPV), a lancé début septembre une déclinaison de son drone Anafi avec un système de vol immersif. Cette nouveauté a pour ambition de redonner un peu de tonus aux ventes de ce quadricoptère aux performances unanimement louées, mais qui eut le tort d’apparaître à l’été 2018, au moment précis ou s’effondrait le marché mondial du drone de loisir. 310 grammes Voler en immersion impose de prendre quelques précautions. En bref On a aimé : On a moins aimé : C’est pour vous si…
Retour sur terre pour les drones Acceptation sociale problématique, concentration accélérée du secteur et concentration des usages sur quelques domaines d’activité spécifiques… La déferlante que certains entrevoyaient ne s’est pas produite. Pour les drones, l’atterrissage est un peu rude, même si la plupart des experts considèrent que cette phase était inévitable et que ces appareils vont s’inscrire dans le cours de l’histoire. L’avènement du drone de loisirs, dont certains entrevoyaient qu’il rencontrerait la même popularité que les action cameras de GoPro, a fait long feu. Le marché a brutalement cessé sa croissance mi-2018, au grand préjudice du français Parrot, mais aussi du numéro un chinois DJI, contraint de recentrer ses activités, notamment vers la fabrication de caméras portables stabilisées. Faillites en série Le drone continue de souffrir d’une image brouillée. Vingt-cinq start-up ont mis la clé sous la porte après avoir brûlé 183 millions de dollars Des usages professionnels avant tout Jean-Michel Normand
Après l’échec de son dernier modèle, Parrot navigue à vue Malgré la cuisante désillusion qu’aura représenté l’échec de son dernier modèle destiné au grand public, Parrot continue de croire aux drones. La société fondée par Henri Seydoux, qui a connu l’an passé des pertes (111 millions d’euros) égales au montant de son chiffre d’affaires (109 millions), a présenté le 15 avril une offre tout-en-un destinée aux usages professionnels, une activité encore en devenir mais génératrice de marges importantes. Basée sur l’Anafi – qui, lancé il y a neuf mois s’est vendu trois fois moins que prévu compte tenu de l’effondrement du marché des drones de loisir – cette solution destinée à l’imagerie thermique doit contribuer à faire redécoller la pépite de la French Tech. Conçu pour réaliser des relevés photographiques et infrarouges, Anafi Thermal est léger et facile à utiliser. Lire aussi Le fondateur de Parrot prend le contrôle du fabricant de drones de loisirs en crise Lire aussi Le crash commercial des drones de loisir Jean-Michel Normand