Parrot dévoile Anafi, un drone roi des airs et un as de la vidéo. Ce petit quadricoptère de 320 grammes, présenté ce mercredi 6 juin, arbore un design qui n’est pas sans rappeler celui d’une abeille.
«Le bon drone est finalement le petit drone, estime Henri Seydoux, patron de la société française. Pour concevoir Anafi, nous avons étudié la structure des insectes, avec la tête où nous avons placé la caméra, le torax pour l’électronique et l’abdomen pour la batterie». En résulte un aéronef profilé pour occuper un minimum de place, l’objet intégrant un système malin permettant de replier les quatre pattes comportant les hélices. Ainsi, Anafi, qui a nécessité près de quatre années de R&D, peut être rangé dans un cocon rigide à peine plus gros qu’une trousse d’écolier. De la vidéo 4K HDR Une fois déployé, c’est dans les airs que cet appareil livre tout son potentiel avec une prestation vidéo presque sans équivalent sur ce marché hautement concurrentiel.
Anafi, Parrot, 699 euros, précommandes ouvertes pour une disponibilité dès le 1er juillet. Chaîne de parrotcorp. Parrot AR.Drone, un quadricoptère mixant réalité augmentée et Wi. PARROT : le Conseil d’administration recommande l'offre d'Henri Seydoux. Parrot confirme l’arrêt de la production de mini-drones grand public. Depuis sa création en 1994, Parrot n’a cessé de vouloir se diversifier.
Une technique bien connue qui porte souvent ses fruits dans le domaine de la high-tech. L’entreprise française s’est donc spécialisée dans la connectivité (kit mains libres, autoradio…) puis l’audio plutôt haut de gamme et enfin les drones. Elle propose encore actuellement des modèles de qualité, capable de rivaliser avec le géant chinois DJI. La firme vient pourtant d’annoncer à The Verge qu’elle allait mettre fin à la production de ses mini-drones. En effet, cela faisait plusieurs années qu’elle avait étendu sa gamme de machines afin de proposer des modèles à prix plancher, d’ailleurs plus comparable à de sympathiques gadgets qu’autre chose.
Cependant ces derniers permettaient de mettre un pied dans cet univers, et poussaient potentiellement les clients à passer sur des références plus onéreuses… Et bien plus capables. Drones, Minidrones, Audio, Objets connectés. Le français Parrot espère vendre ses drones à l’armée américaine. C’est une bonne nouvelle.
Et le numéro un européen des drones grand public n’en avait pas enregistré depuis longtemps. Parrot a annoncé, mardi 28 mai, avoir été retenu par l’armée américaine dans le cadre d’un projet destiné à mettre au point une nouvelle génération de drones de reconnaissance de courte portée. La société française, qui a enregistré une perte d’exploitation de 111 millions d’euros en 2018, égale à son chiffre d’affaires, fait partie d’un groupe de six entreprises retenues dans le cadre d’un appel d’offres lancé en novembre 2018. Les cinq autres sociétés (Altavian, Skydio, Teal Drones, Vantage Robotics et Lumenier) sont américaines. On a testé… L’Anafi FPV, le drone de Parrot pour voler « en immersion » Le concept de vol « en immersion » ou à la première personne (First Person View ou FPV, en anglais) a incontestablement apporté un supplément d’âme à la pratique du drone de loisir.
Spectaculaire, ce mode de pilotage adopté par les adeptes des courses de vitesse offre l’illusion de se trouver embarqué à bord du drone que l’on fait évoluer grâce à des lunettes à écran. Parrot, qui n’en est pas à son coup d’essai (son aile volante Disco et certains de ses drones-jouets, dont la production vient de cesser, peuvent être maniés en FPV), a lancé début septembre une déclinaison de son drone Anafi avec un système de vol immersif. Cette nouveauté a pour ambition de redonner un peu de tonus aux ventes de ce quadricoptère aux performances unanimement louées, mais qui eut le tort d’apparaître à l’été 2018, au moment précis ou s’effondrait le marché mondial du drone de loisir. 310 grammes Voler en immersion impose de prendre quelques précautions.
Après l’échec de son dernier modèle, Parrot navigue à vue. Malgré la cuisante désillusion qu’aura représenté l’échec de son dernier modèle destiné au grand public, Parrot continue de croire aux drones.
La société fondée par Henri Seydoux, qui a connu l’an passé des pertes (111 millions d’euros) égales au montant de son chiffre d’affaires (109 millions), a présenté le 15 avril une offre tout-en-un destinée aux usages professionnels, une activité encore en devenir mais génératrice de marges importantes. Basée sur l’Anafi – qui, lancé il y a neuf mois s’est vendu trois fois moins que prévu compte tenu de l’effondrement du marché des drones de loisir – cette solution destinée à l’imagerie thermique doit contribuer à faire redécoller la pépite de la French Tech. Conçu pour réaliser des relevés photographiques et infrarouges, Anafi Thermal est léger et facile à utiliser. Lire aussi Le fondateur de Parrot prend le contrôle du fabricant de drones de loisirs en crise. Le fondateur de Parrot prend le contrôle du fabricant de drones de loisirs en crise. « Il fallait faire quelque chose. » Chez Parrot, la rapidité de la décision du président-fondateur, Henri Seydoux, de monter au capital de la société en pleine déroute après l’annonce d’un troisième trimestre catastrophique n’a pas apaisé les inquiétudes qui règnent autour de l’avenir de cette pépite de la Tech.
Au moins, l’offre publique d’achat lancée par son dirigeant patron historique aura-t-elle eu le mérite de signifier que ses dirigeants ne restent pas inertes. Réuni vendredi 30 novembre, le conseil d’adminstration du numéro un européen des drones de loisir a pris acte de cette opération déclenchée au lendemain d’un spectaculaire plongeon de l’action. Il a décidé à l’unanimité de constituer un comité ad-hoc constitué de quatre membres indépendants du conseil d’administration, parmi lesquels Geoffroy Roux de Bézieux, par ailleurs président du Medef. Article réservé à nos abonnés Lire aussi Dans la tourmente, les drones du français Parrot dévissent.
Parrot sélectionné par l'US Army pour ses nouveaux drones. Parrot : Activités du 1er trimestre 2019. Activités du 1er trimestre 2019 Le Conseil d’administration de Parrot s’est réuni le 15 mai 2019, il a souhaité synthétiser la communication financière trimestrielle de Parrot, seul acteur coté d’importance dans le marché des drones.
Dans ce cadre, les résultats détaillés seront désormais présentés aux échéances du semestre et de l’année. Les données financières du 1er trimestre ne sont pas auditées. Événements significatifs L’AMF a rendu sa décision de conformité sur l’Offre le 5 mars 2019 et l’Offre a été ouverte une première fois du 7 mars au 10 avril puis une seconde fois du 23 avril au 7 mai. 18 866 332 actions PARROT représentant autant de droits de vote2, soit 62,52% du capital et des droits de vote3, 14 942 157 BSA 1 représentant 85,02% des BSA 1 existants,15 095 319 BSA 2 représentant 85,89% des BSA 2 existants. Évolution et répartition des activités du Groupe Parrot Activités Drones et solutions professionnels Activités Drones prosumer Perspectives 2019 4 et 5. « Parrot n'abandonnera pas les drones », assure son patron. Parrot : Activités et résultats 2018. Activités et résultats 2018 Les comptes ont été arrêtés par le Conseil d’administration du 13 mars 2019.
Les procédures d’audit ont été effectuées et l’émission du rapport sur les comptes consolidés sans réserve, est prévue à une échéance plus lointaine. Le rapport de certification sera émis après vérification du rapport de gestion. La norme IFRS 15 « Produits des activités ordinaires tirés des contrats conclus avec des clients » est entrée en vigueur et a été appliquée au 1er janvier 2018 en utilisant la méthode rétrospective simplifiée.