Le drone de combat embarqué turc MIUS sera équipé d'un moteur fourni par l'ukrainien Ivchenko Progress. Exclue par l’administration Trump du programme F-35 pour avoir mis en service le système de défense aérienne russe S-400 « Triumph », la Turquie a dû revoir ses plans pour son navire d’assaut amphibie TCG Anadolu, qu’elle envisageait de convertir en porte-aéronefs en se dotant de la version dite STOVL [décollage vertical/atterrissage court] du chasseur-bombardier de 5e génération développé par Lockheed-Martin.
Finalement, en février dernier, Ismael Demir, le responsable de industries turques de l’armement, a indiqué que le TCG Anadolu serait modifié afin qu’il puisse mettre en oeuvre des drones aériens embarqué. Ce qui n’a jamais été fait jusqu’à présent. Puis, l’entreprise Baykar fit savoir qu’elle allait développer une version navale de son drone Bayraktar TB2, lequel venait de s’illustrer au Haut-Karabakh, en Libye et en Syrie. L'armée de Terre va recevoir un premier lot de 77 systèmes de micro-drones "Gylfie" En janvier, la Direction générale de l’armement [DGA] avait annoncé la commande de 300 micro-drones Anafi auprès du groupe français Parrot, au titre d’une procédure qui, lancée en février 2020, prévoyait alors l’acquisition de 2’000 appareils de ce type via un contrat-cadre de cinq ans.
Implanté au quartier « général d’Aboville », qui abrite aussi le 61e Régiment d’Artillerie [RA] à Chaumont [52], le centre de formation des drones de l’armée de Terre [CFD-AT], va recevoir les 77 premiers systèmes de micro-drones Anafi commandés dix mois plus tôt [soit 144 appareils au total, un système se composant de deux drones, nldr]. La presse a d’ailleurs conviée à assister à la remise de ces équipements le 23 novembre prochain. Mais ce micro-drone Anafi USA, développé initialement pour répondre à une sollicitation de l’US Army, aura un autre nom pour l’armée de Terre. Les premiers systèmes Anafi seront déployés en opération dès le début de l’année 2022. Pour le chef d'état-major des armées, le drone est aussi une "excellente arme de guerre informationnelle" Durant la dernière du Haut-Karabakh, les forces azerbaïdjanaises ont fait un usage intensif de munitions « rôdeuses » et de drones tactiques acquis auprès de la Turquie et d’Israël contre leurs adversaires.
Ainsi, ces moyens, associés à des capacités de guerre électronique, ont permis de neutraliser des batteries de défenses aérienne ainsi que des chars mis en oeuvre par les troupes arméniennes. Aussi, pour de nombreux observateurs, les modes opératoires éprouvés par l’Azerbaïdjan durant ce conflit préfigureraient les guerres de demain.
D’ailleurs, plusieurs pays, dont la Pologne, ont depuis annoncé leur intention de se procurer des drones turcs Bayraktar TB-2. Et l’Ukraine en a récemment engagé un, avec succès, dans une mission de combat dans le Donbass. Cela étant, aussi efficaces soient-ils, les drones ne sont pas suffisants pour faire la différence, les forces azerbaïdjanaises ayant par exemple aussi fait un large usage de l’artillerie. Ce drone peut être ravitaillé et attrapé en plein vol. Faire voler un drone éternellement c'est possible en le ravitaillant en l'air.
C'est l'expérience qu'a menée la Darpa avec son programme Gremlins. Le français Naval Group dévoile le démonstrateur d'un drone sous-marin autonome océanique. Cité par le capitaine de frégate François-Olivier Corman dans son passionnant livre intitulé « Innovation et stratégie navale« , l’amiral Raoul Castex affirmait que « de nombreux inventeurs cherchent à nous écouler les produits de leur imagination sans se soucier de l’emploi qu’on en peut faire.
C’est à nous d’en tirer parti comme nous pourrons. Nous parlons ici non seulement des armes mais de tous les mécanismes qui gravitent autour d’elles ». Aux États-Unis, Kratos teste un drone lanceur de drones kamikazes. Tel que le décrit The Drive, c'est une version aéronautique, guerrière et meurtrière d'une poupée russe.
Kratos, firme en pointe dans le secteur de la défense est surtout connue pour son impressionnant «ailier robotique» XQ-58A Valkyrie. Elle a annoncé avoir testé un drone plus modeste en taille et en performances que ce dernier, mais qui serait capable de lancer lui-même ce que les Anglo-Saxons nomment des «loitering munitions», soit des drones suicides ou kamikazes. Envoyé dans les airs grâce à une catapulte, le lanceur en question est un petit drone nommé Air Wolf.
Celui-ci est directement dérivé d'un autre petit appareil qui fonctionnait sans être humain, le MQM-178 Firejet, conçu comme une cible mouvante pour les pilotes ou les personnels au sol, à des fins d'entraînement. Il a la même enveloppe et plus ou moins les mêmes capacités de vol que son aîné (subsonique, plafond de 35.000 pieds, etc.), mais ses visées s'avèrent bien différentes. L'essaim de feu. Tests pour le remplaçant du RQ-7B. Northrop Grumman et Martin UAV viennent de conclure leurs essais du mini-drone V-BAT, conçu pour remplacer le RQ-7B Tests Northrop Grumman et Martin UAV viennent de terminer les tests en vol du drone V-BAT.
Avec leurs prochains drones low cost et jetables, les États-Unis embrassent la «guerre d'attrition» Celles et ceux portant un regard plus ou moins attentif sur la chose guerrière connaissent Kratos Defense.
La firme est notamment connue pour son drone armé et furtif XQ-58A Valkyrie, qui a effectué son premier vol en 2019, dont l'US Air Force pourrait réceptionner un premier exemplaire opérationnel dans les prochains mois, et sur lequel elle fonde de très profonds espoirs. Kratos ne compte pas s'arrêter là –et le gouvernement américain, qui voit la «guerre low cost» et les engins ad hoc prendre une importance stratégique majeure, non plus.
Lors d'un rapport financier, le président de la firme, Eric DeMarco, a ainsi annoncé qu'elle commençait à plancher, comme d'autres fournisseurs habituels du Pentagone, sur un projet encore très secret et nommé «Off-Board Sensing Station» (OBSS). Comme l'explique The Drive, les détails sur l'OBSS sont, par nature, très limités. «Oui, il y a très peu de détails publiquement disponibles sur cette opportunité, a bredouillé DeMarco. La nouvelle super-arme de l’armée israélienne pour se débarrasser des drones. Les drones sont de plus en plus intégrés dans les stratégies militaires à travers le monde.
Utilisés notamment pour repérer très précisément des cibles ennemies, ils peuvent s'avérer plus difficiles à intercepter. Toutefois, en Israël, l'armée devrait bientôt pouvoir intégrer à son système de défense un dispositif au sol afin de pouvoir abattre certes des roquettes, mais également des drones, rapporte la chaîne i24 news, lundi 21 juin. Lors d'une série de tests, l'armée israélienne a ainsi utilisé un laser aéroporté qui a permis de se débarrasser de plusieurs drones. Une "avancée technologique" de taille selon les militaires, sur laquelle ils comptent pour pouvoir renforcer leur défense et qui devrait être utilisée d'ici la fin de l'année 2024.
Guerre des drones : la menace des essaims. C’est un phénomène nouveau, un symptôme des conflits hybrides, qui a pris de court et inquiète nombre d’armées dans le monde.
Les spécialistes le désignent sous l’appellation de « salve » de drones, ou d’« essaim ». On pourrait parler de « nuée ». Il s’agit en réalité du détournement d’engins sans pilote, de toute taille, jusque-là surtout utilisés pour des missions de renseignement ou des frappes ciblées, à des fins d’assauts groupés, armés, voire kamikazes. Un drone ravitaille pour la première fois un avion de chasse. La Marine américaine a pour la première fois utilisé un appareil sans pilote de Boeing, le MQ-25 T1, pour ravitailler en vol un avion de combat, a annoncé lundi le constructeur américain. Lors d'un vol test le 4 juin, le drone a transféré du carburant à un F/A-18 Super Hornet, "démontrant la capacité du MQ-25 Stingray à effectuer sa mission principale de ravitaillement en vol", détaille le groupe dans un communiqué.
Le T1 avait déjà effectué 25 vols test évaluant à la fois l'aérodynamique de l'avion et du système de ravitaillement en vol. Il doit être envoyé d'ici la fin de l'année sur un porte-avion à Norfolk, en Virginie, pour y effectuer d'autres essais. À lire aussi — Un drone tueur a 'attaqué' une cible humaine sans en avoir reçu l'ordre, selon l'ONU.
Un drone armé aurait abattu un soldat sans instructions en mars 2020 - Le Point. L'US Army et le C-UAS du futur. L'US Army serait sur le point de bénéficier d'une véritable solution C-UAS utilisable sur le champ de bataille. Mais si Leonidas tient ses promesses, il pourrait aussi équiper de nombreuses forces de police Leonidas L’US Army vient de sélectionner le système C-UAS (Counter-Unmanned Aircraft System) Leonidas des sociétés Northrop Grumman et Epirus.
Il s’agira de fournir un système intermédiaire de lutte contre les petits UAS au profit des unités débarquées. Su-57/S-70: La Russie accélére son programme de cinquiéme génération. Alors que les européens polémiquent autour du programme SCAF, la Russie qui dispose déjà d'un avantage stratégique grâce à ses armements hypersoniques cherche à creuser l'écart avec son programme de drone de combat furtif. Nouveaux prototypes. En Turquie, le drone, nouveau héros national. Quelque part au-dessus d’une ligne de front dans le sud du Caucase, cet automne, un drone filme des soldats arméniens en train de décharger un camion. Soudain, un éclair frappe le centre de l’écran. Des corps sont projetés dans les airs. La fumée retombe, révélant en gros plan des dizaines de cadavres. La vidéo, diffusée sans filtre par les médias turcs, n’est qu’une parmi des dizaines se déroulant en Irak, en Syrie, dans le Caucase ou en Libye.
Ces images sont diffusées massivement par la propagande à chaque opération militaire turque. Politique de plus en plus militariste Le président Erdogan n’a jamais caché son intention de faire de son pays une puissance mondiale et de redonner aux Turcs leur fierté (sapée par les puissances impérialistes, selon lui). A lire aussiSanctions de l'UE contre la Turquie : «On va serrer progressivement la vis» Le nouveau drone furtif américain RQ-180 "Great White Bat" dévoilé?
En 2009, un drone ayant la forme d’une aile volante fit sa première apparition publique en Afghanistan. Surnommé, dans un premier temps, la « bête de Kandahar », il s’avéra par la suite qu’il s’agissait du RQ-170 « Sentinel », développé en toute confidentialité par Lockheed-Martin. Depuis, un exemplaire fut perdu au-dessus de l’Iran et une copie fut présentée plus tard à Téhéran. Quatre ans plus tard, le magazine Aviation Week révéla que Northrop Grumman était en train de mettre au point le « RQ-180 », un nouveau drone furtif dédié aux missions ISR [renseignement, surveillance, reconnaissance] dans les environnements contestés, dans le cadre d’un contrat d’une valeur de deux milliards de dollars octroyé en 2008 par le Pentagone.
Cependant, et a priori, les travaux relatif à ce drone avaient commencé quelques années plus tôt, quand l’US Navy et l’US Air Force envisageaient de se doter d’un drone furtif commun, via le projet J-UCAS. La Chine vend des drones tueurs autonomes et lourdement armés au Moyen-Orient. Au cours des dernières années, le développement des drones en tout genre a rencontré un succès considérable. A la base construits pour des fins militaires, ils sont devenus de plus en plus communs. Mais les drones deviennent de véritables armes autonomes et tueuses commercialisées par la Chine. Mais les entreprises de construction de drones ne se sont jamais arrêtées de faire progresser leurs drones a des fins militaires. Salon du Bourget - Le ministère des Armées dévoile CORVUS, un mini-drone réparable sur le terrain.
Des drones Blackjack pour les Emirats Arabes Unis. Drones : l'histoire d'un incroyable fiasco français. Slaughterbots. Une vidéo fiction imagine la mise en service de drones tueurs. D’une durée de 7 minutes, la vidéo Slaughterbots met en scène le créateur des drones tueurs en train de présenter une keynote de lancement branchée. Puis, la suite laisse voir un futur incontrôlable et glaçant. En aout déjà, plusieurs entrepreneurs chargés de faire évoluer l’intelligence artificielle et la robotique alertaient l’ONU dans une lettre ouverte portant sur les armes autonomes. S’il ne fallait mentionner qu’un seul des signataires, cela serait certainement l’entrepreneur américain et patron de quelques entreprises, Elon Musk. Ce dernier a largement exprimé ses inquiétudes quant au futur de l’intelligence artificielle, qui doit selon lui être régulée pour ne pas être amené à régner comme une « menace existentielle ».
Il n’a d’ailleurs pas l’air d’être le seul inquiet car de nombreux entrepreneurs ont aussi signé cette missive envoyée directement à l’ONU. Les ressources pour mettre en service ce genre de drones sont déjà à portée de main. Etats-Unis. Guerre des drones : les révélations-chocs d'un nouveau Snowden. Hercules 5 UF - DRONE VOLT - FR. La France arme ses drones acquis aux Etats-Unis. La lutte contre les groupes djihadistes en Afrique et le fait que des alliés européens aient déjà pris la même décision ont motivé la décision française.
Un drone Taser pour équiper la police. Depuis de nombreuses années, la police ou d’autres forces de l’ordre ont décidé de recourir à une arme non létale, mais immobilisante pour gérer certaines interventions difficiles : le Taser (ou pistolet à impulsions électriques). A l’avenir, il n’est pas impossible qu’un drone Taser voit le jour, comme on peut le voir sur ces images. DARPA Falcon Project. Illustration of Hypersonic Test Vehicle (HTV) 2 reentry phase The DARPA Falcon Project (Force Application and Launch from CONtinental United States) is a two-part joint project between the Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA) and the United States Air Force (USAF) and is part of Prompt Global Strike.[1] One part of the program aims to develop a reusable, rapid-strike Hypersonic Weapon System (HWS), now retitled the Hypersonic Cruise Vehicle (HCV), and the other is for the development of a launch system capable of accelerating an HCV to cruise speeds, as well as launching small satellites into earth orbit.
Cloud Shadow (AVIC/CAC - Chine) Predator C Avenger (General Atomics) Drones Tueurs et Guerres Secrètes Documentaires FR. Camcopter S-100 VTOL. Une entreprise collaborant avec l'US ARMY veut faire "pousser des drones" en laboratoire. Faire pousser des drones en laboratoire, quelle idée saugrenue ! Cependant, il s’agit d’un projet tout à fait sérieux mené par un sous traitant de l’armée américaine, la société britannique BAE Systems spécialisée dans les secteurs de la défense et de l’aérospatiale. Il s’agit ici de cultiver chimiquement des drones en laboratoire, et ces derniers seront équipés d’ordinateurs chimiques.
RQ-4 Global Hawk. MQ-9 Reaper (General Atomics) MQ-25 tanker (Lockheed Martin) ENQUETE FRANCETV INFO. Comment la France se prépare à armer ses drones. Le 27 octobre dernier, devant la commission de la Défense de l’Assemblée nationale, le député du Cher Yves Fromion interpelle Jean-Yves Le Drian. Les futurs drones européens pour soutenir nos armées. Plus furtifs, plus endurants et trois fois moins chers que nos Rafale, les drones militaires sont particulièrement adaptés pour surveiller des terroristes.
Patroller (Sagem) MALE 2020 (Eurodrone) Neuron (Dassault) La France et le Royaume-Uni vont investir 2 milliards dans des drones de nouvelle génération. La France achète pour 500 millions de dollars de drones à Israël. Un drone européen en développement. `bodycard 0992.