GENERATION X : une génération sandwich qui se révolte ! - BE-ABA Souvent qualifiée de génération sacrifiée, « sandwich » ou de transition, la génération X succède à la génération des Baby boomers et précède celle des Xennials. Plongée très tôt dans les difficultés économiques et une transition sociétale, elle a développé un regard pessimiste, sceptique et ironique sur la société et un rapport sans illusions à l’entreprise. Qu’est-ce que la génération X ? Appelée aussi « baby bust » (faible taux de natalité), elle correspond à la cohorte de personnes nées entre 1965 et 1979. Qu’est ce qui la caractérise ? Ayant vécu deux chocs pétroliers, elle a connu la crise, le chômage de masse, la chute du mur de Berlin et le sida. Ne disposant pas des mêmes richesses que la génération précédente, ils en conçoivent une certaine rancœur. Nés avec le minitel, ils ont vu les mutations technologiques se mettre en place et s’accélérer, démontrant une bonne flexibilité. Ils aspirent à plus d’indépendance, d’épanouissement et de responsabilités. Aller plus loin : WordPress:
Créer un service client, l'améliorer et le développer Qu'est-ce qu'un service client ? Positionné au cœur de l'expérience client , il s'agit de l'ensemble des actions qui accompagne la vente d'un produit ou d'un service pendant l'acte d'achat, mais également en amont et en aval. Cette expression est utilisée aussi bien pour le service rendu que pour nommer l'équipe en charge de la relation client . Toutefois, le service client ne se limite pas à l'équipe dédiée. Toute l'entreprise est concernée par le sujet et doit œuvrer quotidiennement afin d'offrir en permanence le meilleur service possible. Dans la suite de cette publication, nous évoquerons les caractéristiques et missions de l'entité responsable du service client. Différences entre service client et support client Il n'existe pas toujours de différence claire dans les organisations. Qu'est qu'un bon service client ? En effet, un excellent service client apporte une valeur ajoutée inestimable et peut même compenser des points plus faibles. Quelles sont ses missions ? Avant la vente
Les Bonus de CoachOmnium : études sectorielles diverses La Collection Coach Omnium : des articles, des analyses et des études publiques, que vous ne trouverez nulle part ailleurs BONUS ! Voici quelques études récentes, analyses de marché, articles ou ouvrages réalisés par Coach Omnium, généralement financés à compte d’auteur. Nous investissons près de 9 % de notre chiffre d’affaires pour cela. Porteurs de projets, investisseurs, professionnels, étudiants, institutionnels, banquiers… ces dossiers exclusifs sont là pour vous : vous informer, vous aider, vous éclairer. La totalité, pour ainsi dire, vous est rendue accessible gracieusement, parce que nous sommes très partageurs et que nous aimons aider avec générosité. A noter que toutes nos enquêtes sont réalisées en face-à-face ou au téléphone auprès de personnes ciblées et avec un fichier qualifié. • Nous ne sommes pas opposés à recevoir un petit mail de remerciement. Dossiers « vedettes »
L'évolution des plus célèbres logos - Graphiste Webdesigner Montpellier 09 Oct L’évolution des plus célèbres logos La création du logo est généralement la première étape dans la communication visuelle d’une entreprise. Primordial car représentant à lui seul la marque et ses produits, le logo peut être constitué d’un dessin, d’une typographie ou des deux associés, et il est souvent tributaire des tendances design de l’époque. Les grandes marques l’ont bien compris et ont par conséquent fait évoluer régulièrement leur logo pour qu’il soit toujours perçu comme moderne voire même novateur. Pour cet article je souhaitais donc retracer l’histoire visuelle de ces logos les plus célèbres en présentant leurs différentes versions dans l’échelle du temps. (cliquez sur les images pour les voir en plus grand) Apple Windows Microsoft Hewlett Packard Dell Samsung Nokia Vodafone Canon Kodak Firefox Google Twitter Amazon Visa Total Shell Audi Fiat Ford Mazda Mercedes Peugeot Renault Volkswagen Chevrolet Opel Nike Adidas Umbro Coca-Cola Pepsi Starbucks McDonald’s Nestlé Lego
Les consommateurs en quête de sens Pour 8 Français sur 10, « consommer mieux, c’est consommer moins ». C’est l’un des enseignements d’une étude réalisée par l’Ipsos auprès d’un panel représentatif de 2 000 personnes pour l’Observatoire E.Leclerc des Nouvelles Consommations. Le sociologue de la consommation Patrice Duchemin résume en une formule, dans Influencia, le sentiment des Français : « La consommation ne rime plus avec accumulation. » Cette prise de distance avec la fièvre acheteuse commence à trouver une traduction concrète dans les chiffres de vente, notamment dans la grande distribution. « La France devient une société de déconsommation », titrait en septembre 2018 le journal Les Échos, qui résume ainsi la situation : « Les études montrent que les Français mettent de moins en moins de produits dans leur panier. « Une véritable révolution dans les arbitrages de consommation » Que deviennent les marques dans ce nouveau paysage ? Cette proportion de Français qui se fient aux marques semble vraiment faible.
Les attentes des consommateurs européens Source : Rawpixel - Fotolia Les consommateurs européens sont de plus en plus exigeants quant à leur expérience d'achat en magasin. Ils sont en attente d'une expérience simple, efficace, auquel cas ils n'hésiteront pas à abandonner leurs achats, si le temps d'attente en caisse est trop long ou si leur moyen de paiement préféré n'est pas proposé. Un consommateur impatient et exigeant L'étude révèle que 41% des acheteurs européens ont d'ailleurs privilégié un autre canal d'achat que la boutique car le temps d'attente en caisse était trop long. 38% d'entre eux déclarent qu'un temps d'attente supérieur à 5 minutes est trop long. 65% d'entre eux seraient prêts à acheter ailleurs pour éviter les longues files d'attente.Les retailers doivent aussi prendre en considération que le paiement constitue un facteur essentiel de l'expérience client. La personnalisation de l'expérience d'achat L'omnicanal, un atout indispensable Méthodologie :
Comment Fnac-Darty veut résister à Amazon Ensemble, ils pèsent 7,4 milliards d’euros. Ce n’est pas de trop pour espérer contrer l’ogre américain. Avec son gilet noir et jaune, Rémy Guyard détonne parmi les vendeurs en polo rouge du Darty de République, à Paris. Des espaces Fnac chez Darty, des corners Darty dans les Fnac… Il va falloir s’y habituer ! A lui maintenant de mener à bien la fusion. >> A lire aussi - Fnac-Darty : comment résister à Amazon et Alibaba ? Le premier chantier de la nouvelle direction a été de marier deux maisons sexagénaires aux ADN fort différents. En 2016, la Fnac réalisait 40% de son chiffre d’affaires grâce aux produits éditoriaux, 37% sur le "gris" (l’informatique) et 19% sur le "brun" (télévision, hi-fi…). Et pourtant, le chantier a très vite avancé ! >> A lire aussi - Les 6 innovations bluffantes qu'Amazon nous prépare C’est avant tout sur le vaste chantier de l’amélioration des services que les efforts ont été les plus importants. L’après-vente n’est pas en reste. Et le numérique dans tout ça ?
Restaurants gastronomiques : la difficile équation de la rentabilité Pas moins de 450 000 €. Cette somme rondelette correspond au loyer annuel des murs du Lucas Carton (Paris 8e). Ce chiffre pourrait paraître anecdotique, mais il est pourtant révélateur des montants qui pèsent sur la restauration gastronomique aujourd'hui. Et qui lui interdisent d'être rentable en soi. Diversification, consulting, départ à l'étranger sont autant de recettes utilisées par les chefs étoilés pour maintenir une rentabilité globale sur un segment où le prime-cost se situe aux alentours de 90% et la marge nette espérée ne dépasse jamais 3 ou 4%. Mais revenons-en au Lucas Carton, qui symbolise parfaitement la complexité du modèle économique de la haute gastronomie. Un modèle économique à trouver En effet, une variation de 3 à 5% du chiffre d'affaires peut déboucher sur un écart de résultat de 40%. Diversification et enracinement Il apporte ce plus que le client vient chercher quand il est prêt à payer une addition à 250 €. Le filon des bistrots et du snacking Les prix justement.
Formation des Prix : Calculs Commerciaux : Méthode et Choix d'Exercices - capte-les-maths capte-les-maths.com capte-les-maths.com → Applications › La Formation des Prix › Calculs Commerciaux : Méthode et Choix d'Exercices (page 4 ⁄ 4) Même si ce n'est évidemment pas votre préoccupation essentielle en abordant ces exercices sur les calculs commerciaux, vous ne devez pas oublier que si nous avons «le droit» d'effectuer tous ces calculs, c'est parce que nous manipulons des grandeurs proportionnelles. Dans la Formation des Prix nous sommes dans une situation de proportionnalité ! Sommaire de la page Rappel des formules fondamentales de la formation des prix Prix de Vente H.T. = Coût d'Achat + Marge Brute Taux de Marque = Marge BrutePrix de Vente H.T. × 100 Le Taux de Marque représente la Marge Brute en pourcentage du Prix de Vente Hors Taxes. Parlons clair, avec ces formules on n'est pas toujours très sûr de soi. Et comptez aussi sur la super technique de calcul que vous aurez acquise avec capte-les-maths.com ! Formules en valeur et formules en pourcentage Donc de là,
sans titre Créé en 1989, le groupe Lidl se développe. D’ici à 2030 plus de 300 nouveaux magasins vont ouvrir et 800 autres seront réhabilités. Outre cette expansion structurelle, le président du septième groupe de distribution en France, Friedrich Fuchs, compte faire de l’enseigne, un acteur de référence dans les produits frais. Quel est le poids de Lidl en France ? FRIEDRICH FUCHS. 15 millions de ménages font leurs courses régulièrement chez nous chaque année. Nos 1500 points de vente, desservis par 25 bases logistiques à travers la France, proposent au maximum 1 600 références. Que représente la part du made in France parmi vos produits ? 73 % de nos produits sont made in France. Vous dites ne plus être « hard discounter », or vous proposez des prix très bas et peu de marques nationales… Exactement la définition du hard discount. Quelle gamme de produits développez-vous ? Quelle est la part du frais dans vos revenus ? Vous croyez au bio ? Oui, 5 % de nos références sont bio.