INFO/INTOX °6 : Vidéos manipulées graphiquement, comment les repérer ?
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De la vérification à la discussion : les nombreuses méthodes de fact-checking
Le fact-checking ne date pas d’hier. Dès son lancement, en 1923, le magazine Time avait déjà recruté une équipe de fact-checkers. Leur rôle à l’époque : vérifier scrupuleusement toutes les informations avant qu’elles ne soient publiées. Mais à l’ère du numérique, l’essor des réseaux sociaux a entraîné un bouleversement du fonctionnement de l’espace public traditionnel. Comme l’explique Dominique Cardon dans son livre La Démocratie Internet, la pertinence attribuée à une information ne résulte plus d’une évaluation normative de son contenu par des experts mais émane plutôt d’une « agrégation numérique ».
C'est quoi des fake news ?
Avec l’élection récente aux Etats-Unis de Donald Trump, vous avez peut-être entendu parler de fake news sans forcément comprendre ce que ça veut dire… Les fake news qu’est-ce-que c’est ? Si on traduit mot à mot, ce sont les fausses informations. C’est très facile de trouver des informations fausses sur internet, tout le monde peut se tromper et un article plein d’erreurs non voulues, même s’il est partagé des milliers de fois sur les réseaux sociaux, n’est pas une fake news. La vrai fake news, elle est différente. C’est une information qui a été écrite pour tromper la personne qui la lit.
Arrestation dans l’affaire Dupont de Ligonnès : retour sur l’emballement policier et médiatique
L’information selon laquelle Xavier Dupont de Ligonnès avait été arrêté, vendredi 11 octobre, par la police écossaise, a été démentie dans la matinée de samedi 12 octobre par des sources policières. Des tests ADN, effectués sur la personne suspectée par la police française d’être Xavier Dupont de Ligonnès, interpellée par la police écossaise à la descente de son avion à Glasgow, ont exclu formellement qu’il s’agisse de l’homme suspecté depuis 2011 de l’assassinat de sa femme et de ses quatre enfants. L’homme arrêté a été libéré par la police écossaise samedi en fin de journée. Entre-temps, la grande majorité des médias français, dont Le Monde, avait donné cette information sur la foi de plusieurs recoupements auprès de sources policières. Comment ce qui s’est avéré une information erronée a pu être repris aussi largement par les médias pendant plusieurs heures ?
Les fausses nouvelles. Une exposition pédagogique pour aborder fake news et autres infox
Article mis à jour le 15 juin 2020 par Fidel Navamuel Histoires de fausses nouvelles, c’est le titre d’une salutaire exposition pédagogique proposée par le service de l’éducation artistique et culturelle de la BNF en partenariat avec le CLEMI. Excellente initiative qui a le mérite de remettre dans un contexte historique ce phénomène de fake news dont on parle tant. À travers des documents historiques, l’exposition de la BNF offre des pistes de réflexion utiles pour permettre la discussion et cultiver le doute nécessaire face aux sources de l’information à l’ère du numérique. 11 affiches à télécharger pour aborder les fake news avec les jeunes Les documentalistes de la BNF ont réalisé un travail formidable sous la forme d’affiches mises à disposition gratuitement sur le site de la bibliothèque.
Les « deepfakes », ces fausses vidéos créées pour nous influencer
Entre l’affaire Cambridge Analytica, les tentatives d’ingérence dans les élections françaises et les opérations d’influence en Ukraine, les méthodes visant à influencer les populations sont maintenant perçues comme une réalité par les opinions publiques occidentales. Or, un nouveau phénomène émerge depuis quelques années avec le développement de l’intelligence artificielle (IA) et ses potentialités de création et d’apprentissage : les deepfakes, ou hypertrucages en français. Quelle est la nature de ces contenus de synthèse ? Comment leur utilisation pourrait influencer les opinions publiques ? Qu’est-ce qu’un deepfake ? Les hypertrucages sont des matériaux de synthèse, qui « truquent » avec beaucoup de réalisme des vidéos ou fichiers audio.
Dix Intox qui ont marqué l’histoire des Observateurs de France 24
La vérification des images qui circulent sur les réseaux sociaux est au cœur du travail de la rédaction des Observateurs de France 24. Depuis dix ans, nous décryptons des cas de désinformation, souvent signalés par nos lecteurs et téléspectateurs. Retour sur dix intox décryptées avec l’aide de nos Observateurs. Depuis dix ans, les réseaux sociaux ont été un outil indispensable à notre rédaction. Mais sur ces réseaux circulent également de nombreuses tentatives de désinformation. Grâce à nos Observateurs, notre équipe de journalistes en repère chaque semaine et les décrypte, à travers des articles sur notre site Internet et dans notre émission hebdomadaire.
Quels moyens pour s’informer sans être désinformé?
Vérifier l’information, déjouer les fakes, repérer les théories du complot… S’informer devient un véritable travail d’enquêteur chevronné. Cette séquence réalisée à plusieurs mains dans le cadre du MOOCmédiaS vise à proposer aux élèves d’acquérir les compétences informationnelles leur permettant de décrypter le flux d’information auquel ils sont confrontés. Descripteurs : Désinformation / Éducation à l’information / MédiaDate de la création de la ressource :07/03/2016Date de péremption de la ressource : 07/03/2020Nom des professeurs-documentalistes : Elina Coutenot, Marjorie Decriem, Céline Montet et Marie-Pierre Muneret.E-mail : elina.coutenot@ac-besancon.fr*protected email* / cel.montet@gmail.com*protected email* / marjalax@gmail.com*protected email* / marie-pierre.muneret@ac-besancon.fr*protected email*
Info ou intox : comment vérifier ? by baccadoc on Genially
Transcription Vérifier une info Vérifier une vidéo Cliquez sur l'icône à droite pour visionner la vidéo mode-d'emploi : A vous de jouer ! cliquez à droite et vérifiez l'information associée à chaque image :
Coronavirus : un nouvel outil pour lutter contre les fausses nouvelles
Fausses nouvelles, rumeurs infondées et publicités mensongères se multiplient ces derniers jours à mesure que la crise du coronavirus prend de l’ampleur. Nous vous expliquions notamment comment des personnes mal intentionnées profitent de la panique pour essayer de vendre des traitements miracles. La désinformation prend aussi la forme d’articles fantaisistes qui expliquent par exemple que le virus est une arme biologique volée par des espions chinois au Canada ou présentent l’eau de javel comme un remède efficace contre la maladie.
Comment vérifier l'authenticité d'une vidéo publiée sur les réseaux sociaux - CLEMI
Collège Français Cycle 4 - Classe de 4e "Informer, s’informer, déformer ?
Coronavirus : stop aux fausses infos !
Partager Parce que beaucoup de fausses infos sur le coronavirus circulent sur Internet. Depuis le début de l’épidémie de coronavirus, apparue en Chine en décembre 2019, de nombreuses rumeurs et fake news circulent sur le Web. 1jour1actu t’aide à démêler le vrai du faux. Dans la ville de Pékin, en Chine, le 26 février dernier. (© Koki Kataoka / Yomiuri / The Yomiuri Shimbun / AFP) Le coronavirus ne s'est pas échappé d'un laboratoire.
Fact-checking : notre kit de survie en 5 gestes qui sauvent (partenariat avec le CFJ)
A jours trois du premier tour de l’élection présidentielle, Méta-Media et France Télévisions lance une batterie d’initiatives pour lutter contre la désinformation. Il n’aura fallu que quelques mois au petit monde de l’info pour adopter une novlangue désormais incontournable : pas un jour ne passe sans que l’on ne parle de fake news, de post-vérité, de hoax, de bulles de filtre, ou même de debunking… Si cette taxinomie a l’inconvénient de composer avec des contours flous, elle n’en reste pas moins révélatrice des dangers auxquels s’exposent aujourd’hui nos démocraties en ligne. En pleine année électorale, la France et l’Allemagne sont sans surprise les nouvelles cibles des propagateurs de fake news. D’autant que chez nous, l’élection présidentielle sera suivie de près par les échéances législatives... Comme c’est le cas tout au long de l’année, le service public réaffirme sa mission clé : fournir une information vérifiée. L'affiche est à télécharger au lien suivant.
Doit-on craindre les "deepfakes" ?
Il n’y a pas que le coronavirus qui se propage comme une épidémie : les fausses informations aussi se répandent sur le web à vitesse grand V, et avec l’aide des réseaux de neurones artificiels, le niveau de manipulation monte encore d’un cran. Dernières en date : les deepfakes, ces vidéos truquées qui circulent sur les réseaux sociaux. On a appris cette semaine qu’après Facebook et Youtube, Twitter allait à son tour étiqueter ces images falsifiées.