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Related: Ch 2 - Les régimes totalitaires • Geopolitique • Histoire • Thème 1 : Démocraties, totalitarismes, 2e geurre mondialeNuit des Longs Couteaux (30 juin 1934) La « Nuit des Longs Couteaux » a été le cadre d'une épuration sanglante effectuée au sein du parti nazi par le chancelier Adolf Hitler. Le 30 Juin 1934 à Munich, les SA récupèrent d’une nuit d’excès qui les a vu défier la direction du parti nazi. Leur réveil est brutal, Hitler en personne s’en est venu de Berlin avec sa garde personnelle pour les mettre au pas. Les chemises brunes qui auront fait trembler l’Allemagne tout entière, vont connaitre une brutale répression. L’armée brune de Röhm Depuis leur création en 1921, les SA (Sturmabteilungen : Sections d’assaut) ont joué un rôle ambivalent au sein de la constellation d’organisations gravitant autour du parti National-Socialiste.
Thomas Piketty : « Pour comprendre ce qui s’est passé au Capitole, il est urgent de revenir à l’histoire » Chronique. Après l’invasion du Capitole, le monde éberlué se demande comment le pays qui s’est longtemps présenté comme le leader du monde « libre » a pu tomber aussi bas. Pour comprendre ce qui s’est passé, il est urgent de sortir des mythes et de l’idolâtrie, et de revenir à l’histoire.
La Grotte Chauvet-Pont d'Arc Aller au contenu Page d'accueil Menu du site Glossaire En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation des cookies. En savoir plus Fermer ce volet Musée d'Archéologie nationale Accéder au contenu Visite virtuelle Devenir quelqu'un - Hitlerjugend La Hitlerjugend voit le jour alors que l’Allemagne est encore en pleine crise économique. Le mouvement de jeunesse, qui réunit près de 5 millions de membres au milieu des années 30, gomme les différences sociales en distribuant à tous ses adhérents le même uniforme. « En tant qu'enfant d'ouvrier, on se sentait toujours désavantagés. À l'époque, j'étais donc fier de pouvoir porter cet uniforme. » « C'était important pour chaque garçon d'appartenir à un groupe, de ne pas être solitaire mais d'avoir des amis, des camarades. »
Lénine, l'inventeur du totalitarisme La biographie la plus attendue du centenaire de 1917, fruit d'une vie de travail consacrée à l'étude du communisme. A rebours de l'idée dominante qui dédouane Lénine pour mieux accabler Staline, Stéphane Courtois établit comment le jeune intellectuel radical – marqué au fer rouge par l'exécution de son frère aîné – a pensé, voulu puis instauré une dictature idéologique impitoyable, inventant les concepts (révolution mondiale, dictature du prolétariat, parti-État, centralisme démocratique, économie planifiée, terreur de masse) et les instruments (parti unique, police politique, Armée rouge, goulag...) du totalitarisme qui devait signer les horreurs du XXe siècle. D'emblée, Vladimir Ilitch Oulianov se distingue des autres opposants au tsarisme en s'opposant non seulement aux libéraux et aux démocrates, mais aussi à toutes les mouvances socialistes, qu'il vitupère à coups d'écrits et de discours incendiaires. Une prose limpide au service d'une démonstration implacable.
Définir la géopolitique par Yves Lacoste Par géopolitique, il faut entendre toute rivalité de pouvoirs sur ou pour du territoire. Toute rivalité de pouvoirs n’est pas nécessairement géopolitique. Pour qu’elle le soit, il faut que les protagonistes se disputent au premier chef l’influence ou la souveraineté d’un territoire. L’idée de territoire telle que l’entendent les géographes est indispensable au raisonnement géopolitique : non pas telle portion d’un espace abstrait, mais tel territoire avec ses frontières et ses limites, ses formes de relief, les contours de ses rivages, le tracé de ses cours d’eau, la répartition de ses peuplements, la localisation de ses villes, ses axes de circulation sans oublier bien sûr ses ressources géologiques et ses espaces maritimes. Depuis quelques années, le terme de géopolitique est souvent étendu aux nouvelles formes de territoires que sont le cyberespace et l’Internet et aux rivalités qui s’y expriment, notamment entre acteurs étatiques ou économiques.
Le national-socialisme (nazisme) Le nazisme rejette l’héritage des Lumières et de la Révolution française. Il conteste radicalement le principe d’égalité juridique entre les Hommes, qui a notamment inspiré les rédacteurs de la Constitution de la République de Weimar (1919). Le racisme nazi est fondé sur un triple postulat : chaque homme appartient à une race ; les races sont inégales et hiérarchisables entre elles ; une lutte des races est à l’œuvre dont l’un des versants majeurs est l’affrontement de la « race germanique-nordique » et de la « race juive ».
Johann Chapoutot : "Le nazisme, une multitude de centres de pouvoir qui sont autant de petites féodalités" Dans son livre Libres d'obéir : le management, du nazisme à la RFA, qui vient de paraître chez Gallimard, l'historien Johann Chapoutot souligne une continuité entre les techniques d’organisation du régime nazi et celles que l’on retrouve aujourd’hui au sein de l’entreprise. Extraits de son entretien dans "la Grande table idées". Raphaël Bourgois : Associer nazisme et management est un mouvement de pensée assez contre-intuitif.