Régimes totalitaires PPT. TERMINALE Les régimes totalitaires, à la recherche d'une nouvelle géopolitique européenne 1/2. (1) TERMINALE Les régimes totalitaires, à la recherche d'une nouvelle géopolitique européenne 2/2. Snyder Vingts leçons XX°s. Montée au pouvoir totalitarismes. Accession au pouvoir totalitarismes. Qui a fait la révolution en Russie en 1917 ? Dictature de Lénine et guerre civile. Staline accède au pouvoir après la Révolution d'Octobre 1917. 1922 : la marche sur Rome et le triomphe du fascisme en Italie. Gerd Krumeich - L'impensable défaite : l'Allemagne déchirée : 1918-1933. Arrivée hitler au pouvoir. Nuit des Longs Couteaux (30 juin 1934) La « Nuit des Longs Couteaux » a été le cadre d'une épuration sanglante effectuée au sein du parti nazi par le chancelier Adolf Hitler.
Le 30 Juin 1934 à Munich, les SA récupèrent d’une nuit d’excès qui les a vu défier la direction du parti nazi. Leur réveil est brutal, Hitler en personne s’en est venu de Berlin avec sa garde personnelle pour les mettre au pas. Les chemises brunes qui auront fait trembler l’Allemagne tout entière, vont connaitre une brutale répression. L’armée brune de Röhm Depuis leur création en 1921, les SA (Sturmabteilungen : Sections d’assaut) ont joué un rôle ambivalent au sein de la constellation d’organisations gravitant autour du parti National-Socialiste. Se réclamant de l’esprit socialisant de la camaraderie des anciens du front les SA ont pu se développer grâce à un afflux de chômeurs désœuvrés et de déçus des mouvements socialistes traditionnels. L’ultimatum de l’armée et le coup d’Hitler La nuit des longs couteaux. Idée reçue : la crise de 1929 a porté Hitler au pouvoir, par Lionel Richard (Le Monde diplomatique, septembre 2014)
A Wall Street, le 29 octobre 1929, 16 millions d’actions sont bradées sur le marché.
Le palais du Reichstag - Un bâtiment au coeur de l'histoire allemande. Lénine, l'inventeur du totalitarisme. La biographie la plus attendue du centenaire de 1917, fruit d'une vie de travail consacrée à l'étude du communisme.
A rebours de l'idée dominante qui dédouane Lénine pour mieux accabler Staline, Stéphane Courtois établit comment le jeune intellectuel radical – marqué au fer rouge par l'exécution de son frère aîné – a pensé, voulu puis instauré une dictature idéologique impitoyable, inventant les concepts (révolution mondiale, dictature du prolétariat, parti-État, centralisme démocratique, économie planifiée, terreur de masse) et les instruments (parti unique, police politique, Armée rouge, goulag...) du totalitarisme qui devait signer les horreurs du XXe siècle. D'emblée, Vladimir Ilitch Oulianov se distingue des autres opposants au tsarisme en s'opposant non seulement aux libéraux et aux démocrates, mais aussi à toutes les mouvances socialistes, qu'il vitupère à coups d'écrits et de discours incendiaires. Une prose limpide au service d'une démonstration implacable.
La politique de collectivisation de Staline. "Les cosaques du Kouban" - Propagande et Chansons ! (1949) Le fascisme. C’est à Milan, en 1919, que Mussolini, dirigeant socialiste extrémiste, exclu de ce parti cinq ans plus tôt, crée les Faisceaux italiens de combat, première incarnation du mouvement fasciste.
Le fascisme est un produit de la guerre, mais aussi des déceptions qui lui sont liées, celles de promesses territoriales non tenues faites par les Alliés à l’Italie pour qu’elle combatte à leurs côtés. Doctrine d’action née dans l’action, il exalte la patrie, la nation, l’obéissance, le culte du chef et celui des ancêtres. Il fait de la guerre et de la violence des idéaux.
Questions sur le fascisme italien. C’est sur un terreau propice, fruit des bouleversements en tout genre qui ont affecté l'Europe au début de ce siècle, que se sont développés, au lendemain du premier conflit mondial, des mouvements à la fois contestataires de l'ordre existant et farouchement hostiles à l'internationalisme « rouge ».
Le prototype en fut le Faisceau italien de combat* que Benito Mussolini fonda à Milan en mars 1919 et dont le nom allait fournir le terme générique de « fascisme ». Un courant tributaire à la fois d'un héritage proprement italien et des effets spécifiques qu'eurent, sur la société transalpine, la guerre et la contagion de la révolution bolchevique. Le national-socialisme (nazisme) Le nazisme rejette l’héritage des Lumières et de la Révolution française.
Il conteste radicalement le principe d’égalité juridique entre les Hommes, qui a notamment inspiré les rédacteurs de la Constitution de la République de Weimar (1919). Le racisme nazi est fondé sur un triple postulat : chaque homme appartient à une race ; les races sont inégales et hiérarchisables entre elles ; une lutte des races est à l’œuvre dont l’un des versants majeurs est l’affrontement de la « race germanique-nordique » et de la « race juive ». Johann Chapoutot : "Le nazisme, une multitude de centres de pouvoir qui sont autant de petites féodalités" Dans son livre Libres d'obéir : le management, du nazisme à la RFA, qui vient de paraître chez Gallimard, l'historien Johann Chapoutot souligne une continuité entre les techniques d’organisation du régime nazi et celles que l’on retrouve aujourd’hui au sein de l’entreprise.
Extraits de son entretien dans "la Grande table idées". Raphaël Bourgois : Associer nazisme et management est un mouvement de pensée assez contre-intuitif. Dans un premier temps, on ne voit pas très bien le rapport. Johann Chapoutot : En effet. Et même quand on le fait, on se dit que si les nazis se sont intéressés au management, cela devait forcément être sous un angle vertical, autoritaire et oppressif. A travers la figure de Reinhard Höhn notamment, sur laquelle vous avez particulièrement travaillé, vous montrez que de hauts fonctionnaires nazis ont réfléchi très tôt aux questions d’organisation du travail.
Encadrement et adhésion sociétés totalitaires. Devenir quelqu'un - Hitlerjugend. 1937 défilé militaire à Moscou. 1938 défilé fasciste à Rome. 1935 congrès de Nuremberg. Le charisme hitlérien. Education for Death (Éducation à la Mort) (1943) VOSTFR. Économies et sociétés totalitaires. Violence & terreur totalitarismes. La nuit de Cristal (9 novembre 1938) L'antisémitisme et la question du peuple allemand. Les camps du goulag dans les années 1930. La Grande Terreur. Grande Terreur 1937 (version longue) La Grande Terreur. Recensé : Nicolas Werth, L’Ivrogne et la Marchande de fleurs.
Autopsie d’un meurtre de masse, 1937-1938, Paris, Tallandier, 2009. La Grande Terreur est le plus grand massacre d’État jamais perpétré en Europe en temps de paix. Étroitement bornée dans le temps – seize longs mois, d’août 1937 à novembre 1938 –, elle s’interrompt comme elle a commencé : par un ordre secret élaboré par Staline et ses plus proches collaborateurs, dont le but explicite est de « déraciner » et d’anéantir les « ennemis » du pouvoir soviétique. En un peu plus d’un an, un million et demi de personnes sont arrêtées, 750 000 d’entre elles sont exécutées : un citoyen soviétique sur cent est incarcéré, un sur deux cents mis à mort. Moyens totalitarismes. Violences et terreur totalitaires. ARTE Regards - Histoire refoulée du Goulag. Montée des périls années 1930. À la Une - Hitler interviewé par Paris-Soir. Les années 1930 La guerre d'Espagne. Les accords de Munich 30 septembre 1938.
La conférence de Munich pour la résolution du problème germano-tchèque. Les APIs permettent de charger des scripts : géolocalisation, moteurs de recherche, traductions, ... Les APIs permettent de charger des scripts : géolocalisation, moteurs de recherche, traductions, ... Services visant à afficher du contenu web.
Services visant à afficher du contenu web. Les services de mesure d'audience permettent de générer des statistiques de fréquentation utiles à l'amélioration du site. Les services de mesure d'audience permettent de générer des statistiques de fréquentation utiles à l'amélioration du site. Comment un pays sombre dans la dictature ? (Guerre d'Espagne) History Catchers : Massacre de Nankin - Norman Alley, reporter de guerre - 1937.
Très beau texte qui provoque une réflexion saine. – jadotf
Et aujourd'hui ? La performance : modèle de nos sociétés ? LA NOVLANGUE dans 1984 de George Orwell - Langage et pensée. Méta-Media décrypte : les fake news.