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Internet et e-mails : limiter les impacts

Mis à jour le 26/03/2019 L’usage d’Internet est devenu incontournable dans les activités de bureau. Il semble immatériel, mais c’est une illusion. Internet génère des impacts environnementaux bien réels. Mails : optimiser la réception et les envois L’envoi des courriels, leur stockage, le fonctionnement des serveurs : toutes ces opérations consomment de l’électricité. Requêtes web : faire court et simple Simplifiez vos recherches sur le web :allez directement sur le site recherché, en utilisant l’historique de vos consultations, en créant des favoris dans votre navigateur pour les adresses que vous consultez régulièrement ou en tapant directement l’adresse URL d’un site lors d’une recherche ; faites une recherche précise en utilisant des mots-clés pertinents et en affinant votre recherche ; utilisez les flèches au niveau de la barre d’adresse (« reculer » ou « avancer » d’une page). Le stockage de données À télécharger Related:  elgiorgio08Green ITNumérique et écologie

Un email, une recherche internet, c'est combien de CO2 ? Ordinateur, tablette, smartphone : aujourd’hui presque tout le monde peut facilement se connecter sur internet pour travailler, rester en contact avec sa tribu, organiser ses loisirs, faire des achats… Mais qui a une idée de l’impact écologique de ces pratiques devenues tellement courantes, comme l’envoi d’un email ou l’utilisation d’un moteur de recherche ? Rédigé par Aurore, le 2 Aug 2017, à 7 h 05 min Nous devenons de plus en plus éco-responsables et n’hésitons pas à changer peu à peu nos comportements du quotidien : tri des déchets, achat de produits biodégradables, ou aménagement de la maison pour faire des économies d’énergie… Au travail aussi, nous avons réduit le nombre de pages imprimées et privilégions l’email comme outil de communication et de recherche ou de diffusion d’information principal. La recherche d’information en ligne de mire Chaque requête correspond à 7 grammes équivalent CO2 émis, soit 9,9 kg de CO2 par an et par utilisateur © silvabom Rédigé par Aurore

Impacts environnementaux du numérique : de quoi parle-t-on ? Les activités humaines sont pour une très grande part responsables du dérèglement climatique auquel nous faisons déjà face. L’émergence du numérique, ce choc culturel auquel nous nous intéressons dans Binaire, peut également être interprétée comme un choc environnemental pour la planète : en quelques décennies, nos smartphones, nos ordinateurs ou encore le web ont déjà consommé beaucoup d’énergie et de ressources. Beaucoup certes, mais combien ? Pour un secteur dont l’impact à la fois social et environnemental est de plus en plus grand, l’informatique utilise un vocabulaire très éthéré : virtualisation, dématérialisation, cloud, intelligence artificielle, avatar… Dès lors, rien d’étonnant à ce que le numérique ne figure pas parmi les secteurs à fort impact sur les émissions de Gaz à Effet de Serre (GES). Voilà qui paraît confirmer les idées reçues. Impacts environnementaux du numérique : de quoi parle-t-on ? Alors, le numérique pose-t-il problème pour l’environnement ?

Impact environnemental du numérique | Portail Ordi3.0 Un constat alarmant : Internet et l'ensemble des nouvelles technologies consomment chaque année environ 7% de la production mondiale d'électricité. Selon le rapport Clicking Clean publié le 10 janvier 2017 par Greenpeace, le secteur informatique représente aujourd’hui environ 7 % de la consommation mondiale d’électricité. La pollution générée par l’industrie du net et son impact sur le climat sont équivalents à ceux du secteur de l’aviation. Selon Green IT, les émissions de gaz à effet de serre produites par internet varient de la façon suivante : les utilisateurs qui contribuent à 47 % des émissions ;le réseau à 28 % ;le centre de données (data center) à 25 %. L'empreinte écologique du numérique est loin d'être négligeable même si elle paraître anodine comparé à la consommation en CO2 de notre voiture et si est difficile de croire que l'on puisse "polluer" en en surfant sur Internet, en restant tranquillement installé dans son canapé. Pourquoi pollue-t'on sur Internet Voir aussi :

Bien utiliser le matériel Mis à jour le 20/11/2018 Les activités de bureau nécessitent l’utilisation d’ordinateurs, de téléphones ou d’imprimantes. Ces équipements ont des impacts environnementaux pendant toute leur durée de vie : consommation d’électricité, production de déchets, etc. Réduire les consommations des ordinateurs, tablettes, téléphones portables Des économies d’énergie sont facilement réalisables. S’équiper d’un matériel sobre Certains équipements consomment moins que d’autres : un ordinateur portable consomme 50 à 80 % de moins qu’un ordinateur fixe et une tablette encore moins. Sources : ADEME et GreenIt Il existe des labels environnementaux qui indiquent les matériels performants et économes en énergie : Écolabel européen, EPEAT, Écolabel nordique, Ange bleu et TCO. Bien utiliser l’imprimante et le photocopieur Il est plus économe de s’équiper d’un appareil multifonction (imprimante, scanner et photocopieur) qui peut consommer jusqu’à 50 % de moins que les trois appareils qu’il remplace. À télécharger

Le coût écologique d'Internet est astronomique et personne ne le voit Osons le dire, Internet engendre une pollution astronomique d’autant plus inquiétante qu’elle est invisible. L’utilisation d’internet nous est devenue indispensable, elle s’est totalement fondue dans notre mode de vie moderne. Nombre de gens y travaillent aujourd’hui et imaginent mal pouvoir vivre sans. Un coût énergétique insoupçonné à chaque clic de souris Pour aborder la question de la pollution d’Internet, il faut avant tout désamorcer les jugements hâtifs et les critiques stériles. Savez-vous quelle quantité d’énergie consomme l’envoi d’un simple e-mail ? Chaque minute, c’est 400 heures de vidéos qui sont ajoutées sur Youtube (chiffre de mars 2017), soit 600 000 heures chaque jour, une vie ne suffirait pas pour regarder le nouveau contenu ajouté en un seul jour sur la plus célèbre plate-forme de vidéos ! D’indispensables Data-center énergivores Internet, le troisième consommateur mondiale d’énergie (après la Chine et les États-Unis) La solution dans les énergies renouvelables ? S.

La tragédie électronique, en VOD, DVD Réalisateurs : Cosima DannoritzerProducteurs : YUZU PRODUCTIONS, MEDIA 3.14 Pourquoi les trois quarts des déchets électroniques européens échappent-ils au recyclage pour finir dans des décharges en toute illégalité ? Une enquête limpide et efficace de Cosima Dannoritzer (Prêt à jeter). Le précédent documentaire de Cosima Dannoritzer, Prêt à jeter, diffusé par ARTE en 2011, se terminait près d'une décharge sauvage et tristement célèbre, à Agbogbloshie, dans la banlieue d’Accra, la capitale du Ghana. Ordures sonnantes et trébuchantesLa convention de Bâle, ratifiée par tous les pays du monde à l'exception des États-Unis et d'Haïti, interdit depuis 1989 l'exportation des déchets électroniques.

The Social and Environmental Impact of Mobile Phones | Green Living Take a bus only a few stops in any city in Europe and you'll witness the profound impact of mobile phones on society. Consistently, most passengers sit glued to their smartphones; eyes are cast downward and fingers are scrolling or typing through communication platforms from Whatsapp to Facebook. When in public, at times it seems that nearly everybody has a smartphone. Amidst this profound diffusion of technology, extraordinary innovations in sustainability: in particular in the fields of health, agriculture, and development. Fortunately, there are ways to correct the vicious cycle of consumption, waste, and injustice perpetuated by the use of smartphones in a global society. The Human Cost In most cases, the cycle of smartphone production begins in a remote mine in the Democratic Republic of the Congo (DRC). The Environmental Cost: A Story of Planned Obsolescence The environmental implications of this are enormous. So what can the average person do to combat this problem?

Vers la sobriété numérique Focus26/11/2019 Pour limiter l'impact des terminaux, on peut commencer par prolonger leur durée de vie (crédit Thomas Hawk via Flickr, CC BY-NC 20) « Un homme est riche de tout ce dont il peut se passer », écrivait Thoreau. Face à l’empreinte énergétique du secteur numérique, certaines voix appellent désormais à faire un usage plus raisonné de nos outils, pour aller vers une forme de sobriété numérique. Frédéric Bordage est une de ces voix. Ancien développeur, consultant et journaliste, il connaît en profondeur le sujet de l’informatique durable et a créé le site GreenIT , qui lui est dédié. Le rôle crucial des terminaux dans la pollution Comme nous le rappelions récemment , la pollution numérique est multifactorielle. En effet, si la consommation électrique du numérique est importante (environ 6,4 % de la consommation électrique mondiale en 2018), l’empreinte énergétique du numérique est largement liée aux terminaux : ordinateurs, smartphones, tablettes etc. (Re)passer aux low-tech

La pollution invisible du numérique Regarder un film en streaming, stocker un document sur le Cloud ou écouter une musique sur Internet… tant de gestes qui paraissent anodins mais qui, à l’échelle mondiale, ont un impact environnemental conséquent. Explications avec Frédéric Bordage, fondateur et directeur du site d’actualités du numérique responsable GreenIT. Le numérique, bien qu’il ne produise pas de déchets a quand même un impact environnemental ? Le numérique a un impact environnemental conséquent. Le plus gros c’est ce qu’on appelle le hardware, le matériel nécessaire pour naviguer, avoir accès à Internet etc… Le gros de l’empreinte environnementale d’Internet se trouve effectivement dans les terminaux des utilisateurs, donc dans les équipements. On entend souvent dire : « Le Cloud a un impact environnemental » très fort, est-ce vrai ? Envoyer un mail paraît être beaucoup plus durable que d’envoyer un courrier. Mieux vaut supprimer des images de 20 mégaoctets chacune que de supprimer 2000 e-mails de 100 kilos-octets.

Greenpeace #ClickClean agissez Depuis 2010, Greenpeace pousse les géants du Net à alimenter leurs centres de données aux énergies renouvelables. Facebook et Google se sont déjà engagés. Qui seront les suivants ? Télécharger le Rapport Complet (disponible en anglais uniquement) Énergie propre: 67% Gaz naturel: 7% Charbon: 15% Nucléaire: 9% Transparence énergétique Engagement dans les énergies renouvelables Approvisionnement en énergies renouvelables Plaidoyer Efficacité énergétique Énergie propre: 56% Gaz naturel: 14% Charbon: 15% Nucléaire: 10% Énergie propre: 83% Gaz naturel: 4% Charbon: 5% Nucléaire: 5% Énergie propre: 32% Gaz naturel: 23% Charbon: 31% Nucléaire: 10% Énergie propre: 17% Gaz naturel: 24% Charbon: 30% Nucléaire: 26% Énergie propre: 2% Gaz naturel: 19% Charbon: 39% Nucléaire: 31% Énergie propre: 47% Gaz naturel: 13% Charbon: 20% Nucléaire: 19% Énergie propre: 22% Gaz naturel: 20% Charbon: 25% Nucléaire: 25%

The real problem with your Netflix addiction? The carbon emissions | Arwa Mahdawi Binge-watching Netflix doesn’t just fry your brain; it may also be frying the planet. The streaming service’s global energy consumption increased by 84% in 2019 to a total of 451,000 megawatt hours – enough to power 40,000 average US homes for a year. Netflix disclosed these figures in its inaugural environmental, social and governance report, noting it matched 100% of its 2019 non-renewable power use “with renewable energy certificates and carbon offsets”. While these may help the brand, they don’t address the inconvenient fact that our love of streaming has unfortunate side-effects – most of which we are only starting to comprehend. Digital technology has ushered in an age of inconspicuous consumption. Being a conscientious consumer does not mean you have to turn off your wifi or chill with the Netflix. •Arwa Mahdawi is a Guardian columnist

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