The real problem with your Netflix addiction? The carbon emissions. Binge-watching Netflix doesn’t just fry your brain; it may also be frying the planet.
The streaming service’s global energy consumption increased by 84% in 2019 to a total of 451,000 megawatt hours – enough to power 40,000 average US homes for a year. Netflix disclosed these figures in its inaugural environmental, social and governance report, noting it matched 100% of its 2019 non-renewable power use “with renewable energy certificates and carbon offsets”.
While these may help the brand, they don’t address the inconvenient fact that our love of streaming has unfortunate side-effects – most of which we are only starting to comprehend. Digital technology has ushered in an age of inconspicuous consumption. It is easy to understand the environmental impact of buying “stuff” or flying across the Atlantic. Being a conscientious consumer does not mean you have to turn off your wifi or chill with the Netflix. •Arwa Mahdawi is a Guardian columnist. The environmental impact of smartphones. The Social and Environmental Impact of Mobile Phones. Take a bus only a few stops in any city in Europe and you'll witness the profound impact of mobile phones on society.
Consistently, most passengers sit glued to their smartphones; eyes are cast downward and fingers are scrolling or typing through communication platforms from Whatsapp to Facebook. When in public, at times it seems that nearly everybody has a smartphone. It’s no wonder why: since their 2007 release, more than 7 billion smartphones have been manufactured. Today, the global rate of smartphone ownership among people aged 18-35 is 2 in 3. Guide pratique impacts smartphone. Impact environnemental du numérique. Un constat alarmant : Internet et l'ensemble des nouvelles technologies consomment chaque année environ 7% de la production mondiale d'électricité.
Selon le rapport Clicking Clean publié le 10 janvier 2017 par Greenpeace, le secteur informatique représente aujourd’hui environ 7 % de la consommation mondiale d’électricité. La pollution générée par l’industrie du net et son impact sur le climat sont équivalents à ceux du secteur de l’aviation. Selon Green IT, les émissions de gaz à effet de serre produites par internet varient de la façon suivante : les utilisateurs qui contribuent à 47 % des émissions ;le réseau à 28 % ;le centre de données (data center) à 25 %.
L'empreinte écologique du numérique est loin d'être négligeable même si elle paraître anodine comparé à la consommation en CO2 de notre voiture et si est difficile de croire que l'on puisse "polluer" en en surfant sur Internet, en restant tranquillement installé dans son canapé. Internet et e-mails : limiter les impacts. Mis à jour le 26/03/2019 L’usage d’Internet est devenu incontournable dans les activités de bureau. Il semble immatériel, mais c’est une illusion. Internet génère des impacts environnementaux bien réels.
Mails : optimiser la réception et les envois L’envoi des courriels, leur stockage, le fonctionnement des serveurs : toutes ces opérations consomment de l’électricité. Requêtes web : faire court et simple Simplifiez vos recherches sur le web :allez directement sur le site recherché, en utilisant l’historique de vos consultations, en créant des favoris dans votre navigateur pour les adresses que vous consultez régulièrement ou en tapant directement l’adresse URL d’un site lors d’une recherche ; faites une recherche précise en utilisant des mots-clés pertinents et en affinant votre recherche ; utilisez les flèches au niveau de la barre d’adresse (« reculer » ou « avancer » d’une page).
Le stockage de données À télécharger. Numérique : le grand gâchis énergétique. Ordinateurs, data centers, réseaux… engloutissent près de 10 % de la consommation mondiale d’électricité. Et ce chiffre ne cesse d’augmenter. S’il n’est évidemment pas question de se passer des progrès apportés par le numérique, les scientifiques pointent un mode de fonctionnement peu optimisé et très énergivore. Cet article fait partie du Top 10 des contenus les plus lus sur notre site cette année. Nous vivons dans un monde de plus en plus dématérialisé. Nous payons nos impôts en ligne, regardons nos séries préférées en streaming, stockons nos milliers de photos dans le cloud… Dématérialisé, vraiment ?
Des équipements surdimensionnés "Ferme de serveurs" de Facebook, aux Etats-Unis. Les infrastructures sont dimensionnées pour absorber les afflux de données liés aux pics d’utilisation, soit quelques heures par jour à peine, et demeurent sous-utilisées le reste du temps. Des « obésiciels » trop gourmands 35 "applis" tournent en moyenne sur un smartphone, qu’elles soient utilisées ou pas.
Guide pratique face cachee numerique.