Y'a le feu au lac » 11 épisode(s) Nous et nos partenaires stockons et utilisons des informations non sensibles sur votre appareil, comme des cookies ou l'identifiant unique de votre appareil, afin de traiter vos données à caractère personnel telles que votre adresse IP, pour les finalités suivantes : l’amélioration de votre expérience utilisateur, la mesure d’audience du site, la promotion de nos contenus, produits et services, les fonctionnalités de partage sociaux, l'affichage de publicités personnalisées, l'affichage de contenu personnalisé, la mesure de performance des publicités et du contenu, les données d’audience et le développement de produit. Vous pouvez donner votre consentement spécifique pour l’utilisation de la géolocalisation précise et/ou des informations sur les caractéristiques de votre appareil. En cliquant sur "Accepter et fermer", vous consentez aux finalités ci-dessus conformément à nos politiques Cookies et Données personnelles.
Turia, le roman-fleuve de Valence Le ciel est bas, et pleure, en ce 14 octobre 1957. Des pluies diluviennes tombent sur Valence, Espagne, depuis plusieurs jours. Le fleuve Turia, qui enserre la vieille ville et se jette dans la Méditerranée, sort de son lit et inonde la cité. Le jeu sérieux Urbalog Une partie d'Urbalog Icebreaker Urbalog est donc un jeu qui repose sur la collaboration entre joueurs, pour construire la meilleure ville possible, tout en intégrant une compétition entre eux puisque chacun doit satisfaire ses propres aspirations : le transporteur souhaite une ville avec une bonne desserte routière quand l’habitant privilégie au contraire une ville apaisée. Il s’agit alors de parvenir à concilier les objectifs individuels et l’objectif collectif. Tous les aménagements proposés ont un impact sur les conditions de desserte par les véhicules de livraisons et par extension sur la qualité de vie en ville. Les joueurs découvrent ainsi la nécessité d'intégrer la logistique dans les projets urbains. Urbalog se décline en deux versions
Le sombre avenir climatique du Canada «Le réchauffement passé et futur au Canada est, en moyenne, le double de l’ampleur du réchauffement mondial.» Ce constat inquiétant est le résultat d’une étude commandée par le gouvernement d’Ottawa et présentée en début de semaine. Depuis 1948, la température du globe a augmenté de 0,8 degré en moyenne, contre 1,7 degré au Canada. Dans le nord du pays, près du cercle polaire, les températures ont même grimpé de 2,3 degrés. Création d’un musée virtuel sur le thème de la biodiversité Magali Tacchi est enseignante en SVT au collège des seize fontaines à Saint Zacharie dans le Var. Elle est venue présenter sur le colloque écriTech’10, le projet de ses élèves à savoir la création d’un musée virtuel sur le thème de la biodiversité. Leurs recherches sur la biodiversité se sont orientées autour de la montagne de la St Baume qui est juste à côté du collège. Étant principalement des « naturalistes » en classe de SVT, les élèves de Magali ont cherché des “experts“ en numérique : l’occasion de créer un échange inter-établissement avec une classe de technologie au collège de Barcelonnette. Le partenariat a mené les deux groupes classe à la réalisation d’un musée virtuel, uniquement visible grâce à un casque (en carton !) de réalité virtuelle.
Ça suffit le gâchis - ADEME Mis à jour le 12/10/2020 Dans le monde, le tiers des aliments destinés à la consommation humaine est gaspillé. En France, on estime que près de 10 millions de tonnes de nourriture consommable sont jetées chaque année. Les causes du gaspillage alimentaire sont nombreuses et liées notamment à la perte de valeur monétaire et symbolique de l’alimentation par rapport aux autres dépenses et activités, à l’évolution de la société et de l’organisation familiale, aux nouvelles façons de s’alimenter, au changement de rythme de vie… Et les conséquences sont lourdes tant sur le plan environnemental, qu’économique ou social. L’objectif 2025 des pouvoirs publics est de réduire de 50 % le gaspillage sur l’ensemble de la chaîne alimentaire.
Lycée : De l’éco-pâturage au lycée de Montgeron Comment améliorer le cadre de vie des lycéens par un projet de développement durable ? Annaig Anquetil, enseignante de SVT au lycée Roza Parks de Montgeron (91) encadre le club "Lycée Vert" qui rassemble des élèves porteurs de projets. Avec la présence de 2 vaches, 4 brebis et de 4 chèvres au sein de l’établissement, la mise en place de l’éco-pâturage a permis de réhabiliter le parc du lycée. A l’aide d’une association locale, le projet implique toutes les forces vives de l’établissement. « Les élèves peuvent s'installer de façon prolongée dans le parc et même travailler à proximité des enclos », souligne l’enseignante. Avec ses 11 années d’existence, le club s’adapte au gré des réformes qui obligent « à repenser l'organisation disciplinaire du projet ». Quels sont les projets du club Lycée Vert ?
Et si vous pouviez agir pour améliorer la qualité de l'air? - Geco air Développée par IFP Energies nouvelles (IFPEN), avec le soutien de l’ADEME, GECO air est disponible gratuitement sur les stores iOS et Android. Téléchargez GECO air et réduisez votre impact pour respirer un air plus pur ! Pollution atmosphérique, émissions de CO2… Chacun d’entre nous, à son échelle, peut réduire les émissions polluantes (oxydes d’azote, particules fines, etc.) liées à ses déplacements : en adaptant au quotidien son style de conduite (plus souple) et en privilégiant les modes de transport « doux » (vélo, transports en commun). GECO air nous accompagne dans cette démarche. Pourquoi GECO air ? La finance s’intéresse aux risques climatiques : doit-on s’en féliciter ? Dès la fin des années 1990, l’apparition de projections issues de modèles climatiques a permis aux scientifiques de calculer l’impact des variations de température et des précipitations futures sur de nombreuses variables géophysiques – comme les débits des rivières ou les rendements agricoles. Les efforts constants de la recherche en ce domaine, et les progrès informatiques, ont également permis d’affiner les méthodologies et d’étendre progressivement la connaissance des impacts futurs à des secteurs plus diversifiés, ainsi qu’à estimer par différentes méthodes l’impact potentiel sur l’économie. Si le sujet est hautement débattu et les méthodologies varient, des résultats robustes ressortent tout de même. Ainsi le dernier rapport du GIEC estime qu’il y a plus de 60 % de chance que la limitation du réchauffement global à +1,5 °C au lieu de +2 °C engendre une économie à l’échelle du globe de plus de 20 000 milliards de dollars. Des risques climatiques de plus en plus présents
Prolongation des inscriptions « Aires éducatives » Les inscriptions pour rejoindre la démarche « Aire marine éducative » ou « Aire terrestre éducative » pour l'année scolaire 2020/2021 sont prolongées. Les écoles peuvent déposer leur candidature jusqu'au 15 octobre 2020 auprès de l'Office français de la biodiversité (OFB). Les Aires marines et terrestres éducatives permettent à des élèves de cycle 3 (CM1, CM2 et 6ème) et 4 (5ème, 4ème et 3ème) de s’approprier et de gérer de manière participative une portion de littoral, de zone humide, de forêt, de rivière, de parc urbain… avec leur enseignant et un acteur de la sphère de l’éducation à l’environnement. Les labels "Aire marine Éducative" (AME) et « Aire terrestre éducative (ATE) » reconnaissent la mise en place d’une démarche éco-citoyenne qui met les élèves au cœur d'une réflexion collective sur la gestion et la protection du patrimoine naturel et culturel. Les aires éducatives : connaître, vivre, transmettre
Jouer pour mieux comprendre les changements climatiques Au fur et à mesure que les informations paraissent sur le phénomène des changements climatiques, il est facile de tomber dans le fatalisme quand on aborde la question. Heureusement, les jeunes générations exigent davantage de comptes auprès des instances publiques. Pour eux, il semble incompréhensible que des actions fortes ne soient que peu mises en place. Les camions roulant au gaz polluent jusqu’à cinq fois plus que les diesels Article réservé aux abonnés Présenté par le gouvernement français comme un « carburant alternatif » à l’essence et au diesel, le gaz naturel liquéfié (GNL) a le vent en poupe. L’Union européenne (UE) subventionne la construction de terminaux. Les gouvernements octroient des avantages fiscaux aux transporteurs qui troquent leurs vieux camions diesel contre des poids lourds flambant neuf roulant au GNL. En France, le plan énergie climat, censé permettre au pays d’atteindre ses objectifs de réduction des gaz à effet de serre (GES), prévoit de multiplier par dix le nombre de stations-service au GNL entre 2018 (82) et 2028 (840). Mais une étude, publiée jeudi 19 septembre, écorne sérieusement l’image du GNL « propre ».