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Can@bae n°2 : Expérimenter la démarche prospective pour enseigner la géographie

Can@bae n°2 : Expérimenter la démarche prospective pour enseigner la géographie

http://canabae.enseigne.ac-lyon.fr/spip/spip.php?article1291

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La différenciation en histoire géographie La différenciation « La lutte contre les difficultés scolaires passe par la classe » S.Boimare Pour entrer dans la différenciation il faut accepter des pratiques qui favorisent les buts de maîtrises. Géographie et prospective : un dossier de l'Ifé - Site de enseigner-la-geographie ! L'Institut français de l'éducation (Ifé) propose, sur son site, un mini-site "Géographie et prospective", qui revient notamment sur la prospective territoriale comme démarche d'enseignement. La prospective est à la fois une démarche professionnelle pour le géographe (dans l'aménagement du territoire et la protection de l'espace), et une démarche d'enseignement (notamment dans les thèmes autour des questions de l'aménagement du territoire d'une part, et les risques d'autre part). Ce dossier permet ainsi de : comprendre la démarche scientifique de la géographie prospective et de bien maîtriser le vocabulaire adéquat, penser la place de la prospective dans l'enseignement de la géographie (tout particulièrement dans le secondaire, où cette démarche s'inscrit dans les programmes).

Histoire-géographie-EMC - Thème 3, Chapitre 2 : Le modèle britannique et son influence Auteurs : TEMIME Muriel, lycée Condorcet, Saint-Maur-des-Fossés et LE GRUIEC Yannick, lycée Mistral, Fresnes Niveau : Seconde Discipline : Histoire Vincent Lahondère : Des storymaps pour la classe "Les storymaps ça a un coté engagement". Professeur d'histoire-géographie au lycée Joffre de Montpellier, Vincent Lahondère voit dans les storymaps un bel outil pour améliorer l'attention et faire travailler les élèves sur les sources et aussi tout simplement pour se mettre au travail. Un usage qui a aussi ses limites : "en géographie on ne doit pas se contenter d'un récit". Un nouveau souffle Les story maps sont des "cartes narratives" qui permettent de réaliser des récits en s'appuyant sur une ou plusieurs carte(s) et des documents multimédia.

L'Histoire Juniors L’Histoire Juniors, qu’est-ce que c’est ? Pourquoi les enfants seraient-ils privés des apports de la recherche historique sur des sujets qui les concernent ? Avec la complicité de Laurence De Cock, professeure d’histoire-géographie et chercheuse en sciences de l’éducation, L’Histoire lance L’Histoire Juniors. Un numéro complet de 8 pages adapté d’un dossier publié dans le magazine avec les contributions des meilleurs spécialistes. Sur les sujets les plus variés, une présentation à jour accessible à de jeunes lecteurs. Horizons de politiques Canada (Texte à l’écran: PROSPECTIVE: CE QUE C’EST) Le fait d’envisager l’avenir est quelque chose que nous faisons tous naturellement. (Un adulte contemple le levé du soleil alors qu’il se promène dans un sentier façonné par l’usure dans un pré.) Lorsque nous imaginons des possibilités d’avenir, examinons des options, pesons le pour et le contre, et élaborons des plans, nous utilisons la prospective. (Trois adultes consultent un plan de ville et discutent des différentes directions qu’ils pourraient prendre, pointant vers la droite, la gauche et devant eux.) Lorsque nous créons des images mentales pour examiner des stratégies et des objectifs possibles, nous utilisons la prospective.

Image à la une : Migr’ART, ou comment associer résultats de terrain, support numérique et enjeux ludiques afin de rendre compte d’un savoir scientifique ? Bibliographie | citer cet article Figure 1. Plateforme de la mallette numérique Migr'ART Organiser un mapathon ou une séance de cartographie participative en classe Bibliographie | citer cet article Dans la construction des savoirs, la logique participative (en anglais : crowdsourcing) consiste à s’appuyer non seulement sur des experts ou des scientifiques patentés, mais également sur des amateurs plus ou moins avertis qui contribuent à la production de données. Les astronomes et naturalistes amateurs en sont les exemples canoniques : les premiers participent régulièrement à des programme de recherche officiels, les seconds avisent régulièrement les muséums d’histoire naturelle de la découverte d’une espèce animale ou végétale inconnue. La cartographie n’a pas échappé à cette tendance, dont le projet OpenStreetMap (OSM) est le plus emblématique.

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