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La fiabilité des articles scientifiques

La fiabilité des articles scientifiques
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The visibility of scientific misconduct: A review of the literature on retracted journal articles Ne pas déclarer ses conflits d’intérêts : une fraude Les conflits d’intérêts en recherche sont, pour la plupart, constitués de liens financiers. Mais il existe bien d’autres circonstances où les intérêts d’un chercheur sont susceptibles d’influencer la manière dont il exerce ses fonctions ou rend compte de ses résultats. Ces conflits sont dits « non-financiers » lorsqu’ils possèdent une dimension idéologique, politique ou religieuse, ou sont la simple conséquence de relations interpersonnelles, qu’elles soient conflictuelles ou amicales. La déclaration des liens d’intérêts lors de la publication des résultats d’une recherche est indispensable afin que le lecteur puisse affiner son interprétation. Le New York Times tire la sonnette d’alarme Si ce débat est permanent dans les revues biomédicales, les grands médias s’en emparent dès lors que des cas extrêmes sont mis au jour. En décembre 2018, c’est à nouveau The New York Times qui révéla de nouveaux cas impliquant des chercheurs spécialistes dans ce même domaine. Un combat perdu d’avance ?

Ateliers Déclic' Critique - CLEMI Des ateliers filmés en classe par des formateurs du CLEMI Le CLEMI intervient dans les classes et propose des ateliers Déclic’Critique dans le premier et le second degrés. Objectif? Apprendre aux élèves à décoder les médias et l’information. Chaque atelier dure environ 1h et sensibilise les élèves aux problématiques du numérique. Info-intox, sources, fact-checking, protection des données : comment et quand les élèves sont-ils confrontés à ces sujets ? Modules vidéo et kit pédagogique Ces ateliers sont filmés et font ensuite l’objet d’un montage vidéo d’environ 5 minutes illustrant des cas concrets d’éducation aux médias et à l’information et destinés aux enseignants. Données personnelles et réseaux sociaux - Vidéo - Je suis Laurent Bignolas, je présente "Télématin" sur France 2. - Et je suis Aude GG, comédienne et créatrice du programme “Virago” sur Youtube. - Voilà, ça ce sont nos identités réelles. Mais nous avons, et vous aussi, une identité numérique, composée des traces que nous laissons sur Internet. Par exemple ce que nous diffusons, comme les partages de photos et de vidéos. - Ce que nous pensons, à travers les tweets, les retweets, les commentaires. - Ce que nous aimons : nos loisirs, nos goûts, nos likes. - Ce que nous disons de notre identité réelle : nom, localisation, âge, profession, situation familiale, situation amoureuse, c’est compliqué, tout ça... - Ce que nous montrons comme nos avatars. - Ce que nous écrivons en statut. - Ce que nous achetons. - Ce que… je n’ai plus d’idée. - Et là, vous vous dites : Et alors ? - Vous savez, toute la journée vous utilisez des applis et vous passez votre temps sur des sites parfaitement gratuits comme Youtube, Google, Facebook, etc... - Fortnite.

The End of Theory: The Data Deluge Makes the Scientific Method Obsolete The big target here isn't advertising, though. It's science. The scientific method is built around testable hypotheses. These models, for the most part, are systems visualized in the minds of scientists. The models are then tested, and experiments confirm or falsify theoretical models of how the world works. Scientists are trained to recognize that correlation is not causation, that no conclusions should be drawn simply on the basis of correlation between X and Y (it could just be a coincidence). But faced with massive data, this approach to science — hypothesize, model, test — is becoming obsolete. Now biology is heading in the same direction. In short, the more we learn about biology, the further we find ourselves from a model that can explain it. There is now a better way. The best practical example of this is the shotgun gene sequencing by J. If the words "discover a new species" call to mind Darwin and drawings of finches, you may be stuck in the old way of doing science.

Pirouette cacahuète : quand des résultats ne conviennent pas Rédaction médicale et scientifique Retrouvez plus d’informations sur le thème de l’intégrité scientifique sur le blog : redactionmedicale.fr Dans le numéro précédent de Science et pseudo-sciences, nous avions évoqué les pratiques consistant à « positiver » les résultats négatifs d’essais cliniques (essais n’ayant pas montré les résultats attendus) [1]. Fuyant la critique, Pere Borrell del Caso (1835-1910) Une autre stratégie consiste à utiliser des spins. Des chercheurs ont étudié le niveau et la prévalence de ces pirouettes langagières dans les articles rapportant des essais cliniques randomisés sur des patients atteints de maladies cardiovasculaires [2]. Une publication rendant compte d’essais cliniques respecte une structure de présentation très codifiée : un titre, un résumé, une description, une présentation des résultats, des conclusions, etc. Différentes formes de spins ont été décrites dans la littérature scientifique [3]. Références

Six techniques pour vérifier une information sur un réseau social Les réseaux sociaux nous poussent à partager des contenus parce qu’ils nous émeuvent, nous amusent ou nous indignent, même si on n’a pas toujours cherché (ou réussi) à les vérifier. De fait, il est bien souvent difficile de distinguer le vrai du faux, spécialement lorsqu’il s’agit d’une image ou d’une vidéo. Il existe pourtant des techniques simples pour ne plus se faire avoir, croire, ou pire, relayer une intox sans le savoir. 1. Lorsqu’on est face à un contenu qui ne présente ni source claire, ni élément probant – par exemple une affirmation dont on n’a pas la provenance, ou une citation attribuée à une personnalité sans précision sur le contexte dans lequel elle l’aurait prononcée, il vaut mieux considérer par défaut que c’est faux, plutôt que l’inverse – « dans le doute, j’ai partagé », une réflexion hélas trop souvent entendue. 2. Il est rare qu’une information émane directement d’un réseau social, elle a en général une origine externe : un média d’information, par exemple. 3. 4.

Dangers Facebook et risques des réseaux sociaux 1- Apprenez à mieux connaitre les réseaux sociaux Facebook Création : 2004 Le réseau social le plus connu. Facebook en quelques chiffres: 48% des enfants entre 8 et 17 ans sont connectés sur Facebook. Lien : Lien : Controle parental pour Facebook Twitter Création : 2006 Plateforme de microblogging. Twitter en quelques chiffres : Nombre d’utilisateurs actifs mensuels : 313 millions Nombre d’utilisateurs actifs mensuels sur mobile : environ 82% Nombre d’utilisateurs actifs quotidiens : environ 100 millions 500 millions de tweets sont envoyés chaque jour 300 milliards de tweets ont été envoyés depuis le 21 mars 2006 Lien : Lien : Nouveau centre de sécurité Twitter YouTube Création : 2005 Plateforme de partage de vidéos appartenant à Google. Lien : Lien : Controle parental pour Youtube Snapchat Snapchat en quelques chiffres : 350 millions de snap sont échangés chaque jour dans le monde. Instagram Instagram en quelques chiffres :

Face au réchauffement climatique, pour une science ouverte à tous NoFeeScience est né de l’initiative de jeunes chercheu.r.se.s qui visent une profonde réforme culturelle en sciences, surtout en ce qui concerne les barrières économiques du modèle actuel de l’édition scientifique. Son manifeste réunit maintenant des scientifiques de tous les domaines et de tous les niveaux travaillant ou ayant travaillé sur le terrain français ou francophone. Le 5 novembre, 11.000 scientifiques de 150 pays ont signé une tribune publiée dans la revue BioScience pour « lancer l’alerte sur l’urgence climatique ». Cette information, communiquée en même temps par Reporterre et par des centaines d’autres médias partout dans le monde, s’appuie sur l’urgence de notre situation planétaire actuelle afin de nous rappeler une énième fois et sans ambiguïté que « nous devons changer nos modes de vie », impliquant « des transformations majeures dans la manière dont fonctionne notre société mondiale et dont elle interagit avec les écosystèmes naturels ».

PubPeer, le site par qui le scandale de « l’inconduite scientifique » arrive « Site de merde ! », voilà comment est souvent décrit, dans les couloirs des labos français, le site PubPeer. Créé en 2012, ce « journal-club en ligne », comme il se décrit lui-même, se veut un forum de commentaires scientifiques sur des articles déjà publiés. Ce qui lui vaut ce qualificatif peu amène, c’est qu’il a acquis une certaine notoriété en France pour avoir déclenché au moins trois des dernières affaires d’inconduites scientifiques ayant secoué jusqu’aux plus hauts sommets de la hiérarchie le système de recherche français. Article réservé à nos abonnés Lire aussi La biologie française minée par des manquements à l’intégrité scientifique En septembre 2014, c’est par lui que passe la campagne contre ­Olivier Voinnet, relayée par des mails anonymes en décembre 2014 et surtout en janvier 2015. Quelques semaines plus tard, en novembre 2017, c’est la présidente par intérim du CNRS, Anne Peyroche, qui devient la cible.

Ressources pédagogiques vie privée Affiche : les 10 conseils pour rester net sur le web MODE D’EMPLOI : A afficher à proximité des postes informatiques, des lieux de wifi public, des centres de jeunes, pour sensibiliser les jeunes aux problèmes de sécurité internet. Atelier : les bonnes utilisations des réseaux sociaux MODE D’EMPLOI : 4 présentations d’ateliers de 30 minutes à 2 heures pour des groupes d’une dizaine d’élèves avec des conseils, exercices et débats. Webdoc : Les aventures de Prince Chip MODE D’EMPLOI: Webdocumentaire pédagogique, ludique et humoristique à faire visionner aux plus jeunes pour sensibiliser aux risques sur internet. Visionner le webdocumentaire Ta vie privée, c'est secret Jeu pédagogique en ligne pour les jeunes afin de tester les connaissances avec les incollables. En savoir plus

The Problem With Sugar-Daddy Science The MIT Media Lab already had a reputation for this before Epstein. Its One Laptop per Child project was a notorious failure. Like the food computer, it was based on a faulty premise (laptops aren’t known to actually make a difference in a child’s education), wildly oversold (the laptops were supposed to be powered by hand crank, but a working hand crank was never actually developed, and all models were powered by electrical cord), and built to fulfill donor dreams rather than a demonstrated real-world need. A project for futuristic, bio-inspired design took $125,000 from Epstein and made him a light-up orb as a gift—over objections from students working in the project lab. How do we stop sugar-daddy science? So what can research institutions do to ensure the integrity of their work? Next, research and philanthropy should recognize that improving people’s lives usually involves a series of adjustments to complex systems, not a single revolutionary invention.

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