Comment repérer la désinformation et ne plus jamais s'y laisser prendre. Internet est incroyable : pour garder le contact avec les autres, pour travailler et apprendre en toute sécurité au sein de nos foyers et ce, tout en gardant un œil sur ce qu’il se passe dans le monde.
Facile. C’est aussi une source magique et inépuisable de connaissances. Mais malheureusement, il existe un côté obscur. Des acteurs douteux se sont rendus compte à quel point nous dépendons du Web. Au point de tourner cette dépendance en leur faveur. La désinformation n’est pas un sujet nouveau en soi. Pouvons-nous lutter contre ? La fiabilité des médias. Untitled. Pas de fiabilité sans le droit d'informer. La fiabilité des articles scientifiques. La science : victime de la défiance envers le gouvernement ?
Circuit publication Magalie. Problem loading page. Science ouverte généralités.
Retraction Watch – Tracking retractions as a window into the scientific process. C'est quoi le plagiat ? Privés de savoir ? #DATAGUEULE 63. Psychologie des fausses nouvelles. Bulles de filtres et chambres d'écho. Hygiène Mentale. Navigating Digital Information. ArXiv vs. snarXiv. The Problem With Sugar-Daddy Science. The MIT Media Lab already had a reputation for this before Epstein.
Its One Laptop per Child project was a notorious failure. Like the food computer, it was based on a faulty premise (laptops aren’t known to actually make a difference in a child’s education), wildly oversold (the laptops were supposed to be powered by hand crank, but a working hand crank was never actually developed, and all models were powered by electrical cord), and built to fulfill donor dreams rather than a demonstrated real-world need. A project for futuristic, bio-inspired design took $125,000 from Epstein and made him a light-up orb as a gift—over objections from students working in the project lab. This lab’s work includes, among truly visionary work like biomanufactured chitin structures, showpiece clothing demos.
One set was purported to show how biodesign could help wearers survive harsh conditions on other planets. How do we stop sugar-daddy science? Fsa.ulaval. Science publishing: The trouble with retractions : Nature News. The visibility of scientific misconduct: A review of the literature on retracted journal articles. Notice de retractation. Gingras 2018 Les transformations de la production du savoir d. Who's downloading pirated papers? Everyone. Just as spring arrived last month in Iran, Meysam Rahimi sat down at his university computer and immediately ran into a problem: how to get the scientific papers he needed.
He had to write up a research proposal for his engineering Ph.D. at Amirkabir University of Technology in Tehran. His project straddles both operations management and behavioral economics, so Rahimi had a lot of ground to cover. But every time he found the abstract of a relevant paper, he hit a paywall. Although Amirkabir is one of the top research universities in Iran, international sanctions and economic woes have left it with poor access to journals. To read a 2011 paper in Applied Mathematics and Computation, Rahimi would have to pay the publisher, Elsevier, $28. Related content: He looked at his list of abstracts and did the math. Many academic publishers offer programs to help researchers in poor countries access papers, but only one, called Share Link, seemed relevant to the papers that Rahimi sought.
Hygiène Mentale & C’est une autre histoire. L’Histoire est-elle manipulée par les médias ? Face au réchauffement climatique, pour une science ouverte à tous. NoFeeScience est né de l’initiative de jeunes chercheu.r.se.s qui visent une profonde réforme culturelle en sciences, surtout en ce qui concerne les barrières économiques du modèle actuel de l’édition scientifique.
Son manifeste réunit maintenant des scientifiques de tous les domaines et de tous les niveaux travaillant ou ayant travaillé sur le terrain français ou francophone. Le 5 novembre, 11.000 scientifiques de 150 pays ont signé une tribune publiée dans la revue BioScience pour « lancer l’alerte sur l’urgence climatique ». Cette information, communiquée en même temps par Reporterre et par des centaines d’autres médias partout dans le monde, s’appuie sur l’urgence de notre situation planétaire actuelle afin de nous rappeler une énième fois et sans ambiguïté que « nous devons changer nos modes de vie », impliquant « des transformations majeures dans la manière dont fonctionne notre société mondiale et dont elle interagit avec les écosystèmes naturels ».
Démocratie.