L'étude qui va vous dissuader d'exposer vos enfants aux écrans L'Académie américaine de pédiatrie (AAP) s'est penchée sur l'usage des appareils à écrans chez les plus jeunes, et ne cache pas son inquiétude. En résumé : "Les enfants d'aujourd'hui grandissent immergés dans un monde d'écrans, ce qui a des effets positifs et négatifs sur le développement." Le développement de la créativité Mensuel N° 164 - Octobre 2005 La créativité naît de la rencontre entre des capacités cognitives, certaines caractéristiques émotionnelles et des facteurs environnementaux. Son développement, fait de phases de croissance et de déclin, est inégal.
Les écrans détruisent-ils le cerveau de nos enfants ? Les smartphones, télévisions ou jeux vidéo sont devenus un bouc émissaire bien pratique pour expliquer les retards cognitifs, les difficultés sociales ou les problèmes d'apprentissage chez les enfants. Des milliers d'études relatent ainsi les méfaits des écrans sur le cerveau. Mais est-ce vraiment la faute aux écrans, ou faut-il chercher un peu plus loin ? Cela vous intéressera aussi [EN VIDÉO] « Le Cerveau des enfants, un potentiel infini ? » : le cerveau se développe lentement Le documentaire Le Cerveau des enfants, un potentiel infini ?
Temps d'écran et résultats scolaires enfin une étude allemande - CoSE - Collectif surexposition écrans Les grandes études sur les répercussions des écrans sont essentiellement d’origine nord américaines (USA et canada) mais d’autres pays commencent à émerger : Thaïlande (Chonchaiya) Chine (Wu) et depuis quelques mois seulement des études allemandes avec tout récemment des études sur les répercussions sur le sommeil (Genuneit J, Sleep Med. 2018 May), ou sur les corrélations avec les troubles du comportement . L’originalité de cette étude est d’avoir suivi (dans une cohorte appelée LIFE) 850 adolescents de niveau de collèges différents de Leipzig : en Allemagne les enfants sont répartis vers dix ans entre trois collèges de niveaux différents voir iconographie ; Les niveaux en mathématique, en allemand et en éducation physique étaient mesurés à l’entrée de l’étude et un an plus tard; Le temps d’activité physique, de « jeu »non organisé ou en activité physique spécifique était aussi mesuré, ainsi que le temps et le type d’écran. Poulain T, Peschel T, Vogel M, Jurkutat A, Kiess W.
« Demain est à nous » : l’incroyable combat de jeunes héros « Jamais ils ne se sont dit qu'ils étaient trop petits. » La phrase sonne comme un viatique dès les premières images de « Demain est à nous », film documentaire certes mais, au final, vrai film de cinéma, signé Gilles de Maistre (auteur de « Mia et le lion blanc ») qui sort aujourd'hui sur plus de 200 écrans. Elle évoque ces mômes qui, aux quatre coins du monde, n'attendent pas de grandir pour se retrousser les manches et, par leur imagination, leur énergie, leur puissance de conviction, tenter de fabriquer un monde meilleur. Le tout sans palabres superflues, sans « réunionnite » ni traits tirés sur la comète. La tête dans le guidon et les mains dans le moteur, ils investissent tous les secteurs : économique, humaniste, social, politique… À Conakry, en Guinée, Aissatou, 12 ans, et ses camarades, s'en vont enrayer les mariages précoces imposés à des adolescentes qui ont à peine trois ans de plus qu'elles. À Cambrai, Arthur a sensibilisé ses parents au sort des sans-abri.
Le livre numérique, planche de salut pour la lecture ? 1 « Quant aux étudiants de licence, ils ne savent plus utiliser de livres, ont désappris à en lire. L (...) 1Les pratiques de lecture chez les jeunes, en particulier chez les étudiants, sont régulièrement le sujet de considérations alarmistes et de propos empreints d’indignation morale. Enseignants de collège, de lycée, puis d’université dissertent sur le déclin de la lecture chez leurs élèves ou de l’illégitimité culturelle de certains de leurs livres de chevet. Des éditeurs, notamment ceux des secteurs scolaire, parascolaire ou universitaire1, dressent un constat similaire et appellent de leurs vœux, en grands marchands qu’ils sont (Mollier, 1988), le retour du livre au centre des apprentissages tout en fustigeant la lecture par chapitres et le « photocopillage ».
Etudes – Le bon usage des écrans Tel est le principal enseignement d’une étude publiée en novembre 2019 dans la revue médicale The Lancet Child & Adolescent Health. Les auteurs de cette étude ont compilé des données recueillies dans le cadre scolaire auprès de 1,6 million d’adolescents âgés de 11 à 17 ans issus de 146 pays. Ces derniers ont été interrogés sur leurs dépenses physiques (sport, déplacements actifs, tâches domestiques…). Il ressort que plus de 80 % des jeunes pratiquent moins d’une heure d’activité physique par jour. De nombreux facteurs peuvent expliquer cette progression de la sédentarité : manque d’informations sur les recommandations officielles, niveau d’équipements insuffisant, augmentation du temps consacré aux écrans… La France ne fait pas figure de bonne élève puisque 87 % des adolescents de 11 à 17 ans ne respecteraient pas les recommandations officielles.
Stimuler la créativité Être créatif a pour conséquence plusieurs avantages. Il est bénéfique pour tous de développer ce petit côté de notre personnalité et d’autant plus important chez les enfants. Être créatif ne veut pas seulement dire que nous sommes Pablo Picasso, un musicien hors pair ou que nous transformons tout sur notre passage en chef d’œuvre. Il est possible pour chacun de développer sa créativité sans être un artiste.
Ebook : Les jeunes préfèrent sentir le livre dans leurs mains Une étude menée par VoxBurner sur les relations entre lecture numérique et jeunes lecteurs montre que l'on peut avoir 16-24 ans, et ne pas s'emballer devant tout ce qui a un écran. L'enquête montre clairement que les livres physiques restent le format favori chez les jeunes. Mais attention : parce qu'ils trouvent les contenus numériques trop chers, et qu'ils ne possèdent pas encore tous une tablette...