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Dépasser la mesure du temps d’écran ?

Dépasser la mesure du temps d’écran ?
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Effets de l’exposition des enfants et des jeunes aux écrans Les écrans font aujourd’hui partie du quotidien. La littérature apporte des éléments contradictoires sur l’effet des écrans sur le développement cognitif de l’enfant, ses apprentissages, et sur les troubles de la santé mentale. Les effets sur le sommeil sont établis et sont plus importants si le temps d’utilisation augmente. Les comportements associés aux écrans sont responsables de l’augmentation du surpoids : prises alimentaires augmentées, temps de sommeil réduit et de qualité altérée. Les chercheurs font état d’un risque significatif lorsque les enfants et les adolescents ont accès à des contenus sexuels, pornographiques ou violents. Le HCSP recommande : Avant l’âge de 3 ans, les écrans sont à proscrire si les conditions d’une interaction parentale ne sont pas réunies. Le soutien à la « parentalité » et la formation des adultes doit intégrer la problématique des écrans. Les nombreuses incertitudes scientifiques soulignent le besoin de développer la recherche.

Désordres de l’information : la CPU poursuit sa mobilisation | CPU - Conférence des présidents d'université « Face aux désordres de l’information, comment apprendre à apprendre, du lycée à l’Université ?» : la CPU organise le 16 octobre prochain, à l’université de Lyon, un colloque rassemblant présidents d’université, enseignants-chercheurs, formateurs d’ESPE, recteurs, proviseurs, enseignants du secondaire et journalistes. A l’heure de la démocratie d’opinion, de ses dérives et du rôle des affects et des émotions dans le rapport aux médias, l’espace public de l’information doit être questionné. Et pour que la science reste la valeur de référence, les universitaires se mobilisent. Le programme sera construit autour de trois axes : l’importance de la formation des jeunes, la prééminence de la science sur l’ « opinion », et la frontière entre information et libre expression. Permettre aux lycéens et étudiants d’être acteurs de leur rapport à la connaissance La première table ronde « Le débat public s’arrête-t-il à la porte des salles de classe ?» Inscription obligatoire : cristina.joaquim@cpu.fr

Faut-il changer de mentalité pour changer les paramètres des logiciels de planification des horaires des employés ? Ecrans et troubles du langage : Ce que ne montre pas l’étude d’Ille-et-Villaine | Ramus méninges L’année dernière a été publié une rare étude française portant sur l’effet de l’exposition aux écrans sur les troubles du langage chez l’enfant (Collet et al. 2019). Un compte-rendu en français vient d’en être diffusé sur le site Santé publique France. Cette étude est intéressante et contribue au débat. Mais il y a fort à parier qu’elle va faire l’objet de commentaires allant bien au-delà de ce qu’autorisent les données. Mon propos n’est pas de faire un compte-rendu ni une critique complète de l’étude. En effet, cette étude a comparé pas moins de 21 variables d’exposition aux écrans entre les enfants ayant un trouble du langage et le groupe contrôle. La deuxième constatation intéressante, c’est justement que sur ces 21 variables, seules 2 ont montré une différence significative entre les deux groupes. Facteurs qui ont montré une différence statistiquement significative (et indépendante les unes des autres) entre enfants avec troubles du langage et enfants contrôles : Référence

Enfants et écrans : les parents tiraillés par leurs contradictions | Open Asso Les parents en ligne de mire : la dernière étude MEDIAMETRIE-OPEN et UNAF met en lumière toutes les contradictions de la parentalité numérique. Tiraillés de toutes parts, les parents sont pris au piège de nombreuses pressions sociales, mais ils peuvent mieux faire. Publiée lundi 10 février, l’enquête “La Parentalité à l’épreuve du numérique”, commandée par l’OPEN et l’UNAF, est riche d’enseignements. Elle réserve aussi quelques surprises… En bref : la vie n’est pas facile pour les parents à l’ère du tout-numérique, mais nous pouvons faire beaucoup mieux pour accompagner et protéger nos enfants. Les enseignements de l’enquête : 1. Haro sur le mythe de l’enfant qui passe son temps sur internet : ce sont les parents qui sont surconnectés. Les parents passent plus de temps sur internet que leurs enfants: 96% des parents utilisent internet au moins une fois par jour, contre seulement 35% des enfants. Lire aussi: Parents, arrêtez de poster des photos de vos enfants! 2. 3. 4. 5. Amandine, 46 ans 6.

drive En cette période de confinement, vous réfléchissez à la possibilité de mettre en place un service drive pour pouvoir prêter des documents à vos usagers. Vous êtes à la recherche d'exemples et ou de documentation sur le sujet. Notez bien que les informations contenues dans cette réponse ne sont valables qu'au moment où nous la publions. De nombreuses bibliothèques cherchent actuellement des solutions pour prêter de nouveau des documents à leurs usagers. A ce propos, nous avons répondu récemment à une question proche de la vôtre mais qui concernait le portage de livres à domicile : Portage à domicile et confinement. Nous avons cherché des exemples de bibliothèques françaises ayant mis en place des drives. Coronavirus. Coronavirus. Les médiathèques de Lorient ont elles aussi réfléchi à mettre en place ce type de dispositif, avant aussi de renoncer : Confinement. Nous avons trouvé toutefois deux exemples de drive, mais nous ne savons pas si cette expérience s'est poursuivie : COVID 19.

Le management, une modernité nazie Après 1945, des dignitaires nazis furent assez bien élevés pour ne plus parler d’extermination des Juifs, de colonisation de l’Est et d’asservissement massif des Slaves, mais ils ne changèrent pas une virgule à leur conception de l’État, des agences et du travail. Pendant que le général SS Werner Best collectionnait les jetons de conseils d’administration et travaillait, comme avocat, à blanchir ses anciens Kameraden lorsqu’ils étaient inquiétés par la Justice, le général SS Reinhard Höhn fondait, à la demande d’une puissante organisation patronale, la première, la plus grande et la plus prestigieuse école de commerce de la RFA. « Par cette union systématique de la science et de l’application, l’Occident réalise là où l’Orient demeure en retard » André Siegfried[1]

Effets de l’exposition des enfants et des jeunes aux écrans Les écrans font aujourd’hui partie du quotidien. La littérature apporte des éléments contradictoires sur l’effet des écrans sur le développement cognitif de l’enfant, ses apprentissages, et sur les troubles de la santé mentale. Les effets sur le sommeil sont établis et sont plus importants si le temps d’utilisation augmente. Le HCSP recommande : Avant l’âge de 3 ans, les écrans sont à proscrire si les conditions d’une interaction parentale ne sont pas réunies. Le soutien à la « parentalité » et la formation des adultes doit intégrer la problématique des écrans. Les nombreuses incertitudes scientifiques soulignent le besoin de développer la recherche.

Les écrans ne sont pas la cause d’une “épidémie” de troubles du développement... (Merci à Guillaume Gillet pour sa relecture) Dans une tribune publiée dans le journal Le Monde daté du 16 Janvier 2019, le CoSE ou Collectif de surexposition aux écrans s’inquiète de l’exposition des enfants aux écrans. Le paysage dessiné par le CoSE est très éloigné des données rapportées par la recherche depuis maintenant plusieurs décennies. Dans sa tribune publiée dans le journal Le Monde, CoSE fait état d’une “épidémie des troubles mentaux” chez les écoliers. Le collectif s’appuie sur des chiffres donnés par la DEPP (la Direction de l’évaluation, de la Prospective et de la Performance) pour affirmer une “hausse de 24% des troubles intellectuels et cognitifs, de 54% pour les troubles psychiques et de 94% pour les troubles de la parole et du langage” (CoSE, 2019) Dans le même temps, note le CoSE, les troubles physiques sont “constants”. A quoi est dûe cette hausse ? Une lecture partielle de la recherche Or, le CoSE fait un compte-rendu très partiel des études sur lequel il s’appuie.

Dominique Cardon : « Ce ne sont pas les réseaux sociaux qui ont créé des bulles informationnelles » La menace de la désinformation en ligne est largement médiatisée depuis l’élection de Donald Trump, en 2016. Le gouvernement porte même deux projets de loi controversés pour lutter contre ce phénomène, notamment en période électorale. Les fausses informations qui circulent en ligne sont-elles vraiment un risque de premier plan pour les démocraties ? Comment expliquez-vous le recul des sites de désinformation observé depuis plusieurs mois, selon les données analysées par Les Décodeurs du « Monde » ? Parmi les explications possibles, on peut faire l’hypothèse qu’il y a une forme d’apprentissage collectif qui se met progressivement en place. Selon vous, les médias ont-ils accordé trop d’importance à la menace des fausses informations ? Dans le débat sur les « fake news », on a surjoué un conflit d’interprétation sur qui sont les internautes. Par ailleurs, la circulation de l’information sur les réseaux sociaux est auto organisée, chaotique et parfois dérangeante. Cela, je ne le crois pas.

Why Today’s Shopping Sucks | Washington Monthly Nick Sirotich Shoppers hate waiting. If they’ve made the effort to go shop at a brick-and-mortar store, rather than stay home and order something online, they hate not finding what they’re looking for. They hate not finding assistance. They hate bad service. Unfortunately, bad service is often the norm. To understand why stores appear dysfunctional, look at how chaotic life is for their workers. Ugalde’s chaotic schedule is the product of the exploitative use of a sophisticated, “smart software” computer algorithm. Algorithmic scheduling has wreaked utter havoc in the lives, health, financial stability, and future prospects of millions of service workers. Scheduling software uses big data—previous sales trends, weather patterns, consumer preferences—to predict how many customers are likely to be in a store at a given time, and then assign staffing levels to match that expected demand. But it doesn’t have to be this way. These workers tend to be among the most invisible and powerless.

sans titre L’apprentissage de la lecture n’est pas toujours une mince affaire chez les enfants. Les parents se demandent toujours comment les aider au mieux pour accélérer le processus. Une nouvelle étude vient apporter un enseignement assez surprenant. Selon les chercheurs de l’Université Carnegie Mellon de Pittsburgh, les ebooks interactifs sont en effet bien plus efficaces pour apprendre à lire que les livres traditionnels. L’expérimentation portait sur 35 enfants âgés de trois à cinq ans. Ils ont tous pris part à une série de tests portant sur deux livres jeunesse. Alors comment expliquer cette réussite ? L’effet bénéfique de la lecture numérique serait d’autant plus fort que l’enfant a des difficultés à se concentrer. Une étude publiée en début d’année avait toutefois souligné que la lecture sur tablette générait souvent des tensions entre adultes et enfants.

Addiction aux jeux vidéo : le décryptage d'un spécialiste Manette de jeu © Pixabay Hardcore gamer, troll, nolife, cheater… Bienvenue dans la famille des « accros aux jeux vidéo », dans un monde virtuel où des ados scotchés à leurs écrans et cachés derrière des avatars aux pseudos douteux décrochent doucement mais sûrement de la « vraie vie », sous le nez de leurs parents désemparés et souvent impuissants. Sans doute la faute à la révolution numérique et à la place de plus en plus envahissante qu’occupent tablettes, smartphones, ordinateurs et autres consoles de jeux dans notre quotidien toujours plus saturé de digital ; à l’évolution impressionnante des technologies et à la multiplication des produits disponibles sur ce marché en constante progression; à cette génération de digital natives en mal de sensations fortes et à des parents dépassés ou trop permissifs… L’addiction au jeux vidéo : une maladie L’arbre qui cache la forêt « Au secours, mon ado est accro ! Les règles du jeu…

Distinction entre type dur et type mou Distinction entre type dur et type mou Pour toute sa morphologie, le russe distingue les consonnes dures et les consonnes molles. Les substantifs et adjectifs seront classes en types dur et mous, et ceci influera sur les formes grammaticales, en affectant les desinences grammaticales des substantifs et adjectifs, et imposeront certaines règles phonétiques et orthographiques, valables pour tous les mots. Consonne de couples ou appariées Consonnes hors couple Règles orthographiques La plupart des consonnes sont des consonnes appariées, qui peuvent être soit dures, soit molles, en fonction de leur environnement vocalique. -les mots de type dur ont leur radical terminé par une consonne dure, notee par une consonne devant а, о, у, ы ou en position finale : стол, карта, окно -les mots de type mou ont leur radical terminé par une consonne molle , c'est-a-dire une consonne placée devant e, ё, и, ю, я ou ь (signe mou) : учитель, Катя, здание Retour en haut de page

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