Les rapports entre auteur et metteur en scène
Suggestions des colistiers : J’ai un vague souvenir d’un tel comportement de la part de Beckett, à propos de En attendant Godot. En fait, en vérifiant dans un livre (En attendant Godot, collection Ellipses, par Christine Vuillard.), il s’avère que Beckett a rencontré Roger Blin en 1950 à l’occasion de la première mise en scène de la pièce. Ils deviennent amis, et Beckett participe très activement aux répétitions, ce qu’il fera constamment par la suite (il fait une grande confiance à Blin, pour sa fidélité à ses textes, et lui confie toutes ses mises en scènes).
L’Ecole des femmes - Preface
Bien des gens ont frondé d’abord cette comédie ; mais les rieurs ont été pour elle, et tout le mal qu’on en a pu dire n’a pu faire qu’elle n’ait eu un succès dont je me contente. Je sais qu’on attend de moi dans cette impression quelque préface qui réponde aux censeurs et rende raison de mon ouvrage ; et sans doute que je suis assez redevable à toutes les personnes qui lui ont donné leur approbation, pour me croire obligé de défendre leur jugement contre celui des autres ; mais il se trouve qu’une grande partie des choses que j’aurais à dire sur ce sujet est déjà dans une dissertation que j’ai faite en dialogue [1] Cette « dissertation » deviendra La Critique de l’École des femmes. , et dont je ne sais encore ce que je ferai. L’idée de ce dialogue, ou, si l’on veut, de cette petite comédie, me vint après les deux ou trois premières représentations de ma pièce.
La Princesse de Clèves : individu, morale et société
La Princesse de Clèves, Comtesse de La Fayette, illustré par Serge de Solomko, F. Ferroud, Paris, 1925. Comprendre et s’approprier le roman On peut découvrir le roman dans l’édition recommandée par Gallica, mais aussi admirer la superbe édition illustrée par Serge de Solomko. L’essai Mme de La Fayette propose un résumé du roman.Histoire du roman moderne permet de replacer La Princesse de Clèves dans l’histoire du roman, et de comprendre l’évolution du genre vers le roman psychologique.
Le Malade imaginaire / Podcast France Culture (1)
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Pierre Beauchamp
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pierre Beauchamp Œuvres principales Appelé à tort Charles ou Charles-Louis, Pierre Beauchamp est un danseur et maître de ballet français né à Versailles le 30 octobre 1631, et mort à Paris en février 1705. Apparenté à une famille de maîtres de danse, Beauchamp débute à la cour de Louis XIV en 1648, dans le Ballet du dérèglement des passions. Il collabore ensuite avec Jean-Baptiste Lully, Marc-Antoine Charpentier et Molière et invente avec eux la « comédie-ballet » dont les meilleures illustrations sont Le Bourgeois gentilhomme (1670) et Le Malade Imaginaire (1673).
Le rapport entre auteur et metteur en scène
Réponses des colistiers ► Il y a dans les Annales Zéro un sujet sur Bérénice. On y trouve une interview du scénographe Gilles AILLAUD parue dans Théâtre aujourd’hui. ► Jean ANOUILH, La Répétition ou l’Amour puni : il y a quelques remarques assez incisives sur le sujet. Le thème de la pièce est la mise en scène par des aristocrates de La Double inconstance de Marivaux.
Tartuffe : Premier Placet
bookPremier placetMolièreCharpentier1910ParisMS2Molière - Édition Louandre, 1910, tome 2.djvuMolière - Édition Louandre, 1910, tome 2.djvu/9369-370 Sur la comédie du Tartuffe, qui n’avait pas encore été représenté en public[1]. Sire, Le devoir de la comédie étant de corriger les hommes en les divertissant, j’ai cru que, dans l’emploi où je me trouve[2], je n’avais rien de mieux à faire que d’attaquer par des peintures ridicules les vices de mon siècle ; et comme l’hypocrisie, sans doute, en est un des plus en usage, des plus incommodes et des plus dangereux, j’avais eu. Sire, la pensée que je ne rendrais pas un petit service à tous les honnêtes gens de votre royaume, si je faisais une comédie qui décriât les hypocrites, et mit en vue, comme il faut, toutes les grimaces étudiées de ces gens de bien à outrance, toutes les friponneries couvertes de ces faux-monnayeurs en dévotion, qui veulent attraper les hommes avec un zèle contrefait et une charité sophistiquée.
Quand l’imagination aide à penser le monde : les Fables de La Fontaine
Comprendre et s’approprier l’œuvre Recherches préliminaires L’édition des fables illustrée par Gustave Doré offre à la fois un réel confort de lecture et de superbes illustrations.
Molière / Série de podcasts France Culture
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Mascarades & ballets au grand siècle (1643-1715)
Issue d’une vieille tradition nationale fécondée à la Renaissance par des influences italiennes, la danse de fête dans la France du XVIIe siècle se déploie sous le règne du Roi Soleil. Elle prend alors les dimensions d’un prodigieux phénomène de société : c’est tout un pays, du peuple jusqu’aux palais, qui, pour oublier les rigueurs des temps ou pour célébrer la gloire des grands, est emporté par la danse. Apparenté au bal et à la mascarade de carnaval, le ballet envahit les fêtes des collèges, s’introduit dans les formes dramatiques, les métamorphose en comédies-ballets, en tragédies-ballets et même en opéras-ballets. De cet immense foisonnement, le ballet représenté à la cour n’est que la forme suprême.