Pentagon Papers (France 2) : l'histoire vraie derrière ce thriller captivant de Steven Spielberg
Le thriller de Steven Spielberg Pentagon Papers, diffusé pour la première fois en clair sur France 2, est tiré d'une histoire vraie. La voici. Porté par la maestria de Steven Spielberg, Pentagon Papers est un thriller captivant. Un film historico-politique qui s’inspire de faits ayant eu lieu en 1971 aux États-Unis.
Nos conseils pour identifier les discours complotistes et ne pas tomber dans leurs pièges
« Un plan pour pucer l’humanité », « une stratégie pour nous museler », « un génocide planifié de nos anciens »… Depuis le début de l’année, les théories conspirationnistes prolifèrent, à l’image de celles présentées par le documentaire à succès Hold-up en novembre, ou par son ersatz sorti en décembre, Mal traités. Leur point commun ? Dénoncer une prétendue machination secrète expliquant la pandémie et désigner des responsables : le plus souvent Big Pharma, George Soros, Bill Gates, ou encore, en France, le gouvernement. Malgré leur simplisme, ces discours manipulateurs parviennent à séduire.
Les institutions éducatives à l’épreuve de l’hybridation ?
Jean-François Cerisier, directeur de l’unité de recherche Techné de l’université de Poitiers : Dans le champ de l’éducation l’hybridation était une notion plutôt confidentielle et réservée à une petite communauté de chercheurs il y a encore très peu. Aujourd’hui, elle est au cœur de toutes les réflexions sur l’adaptation des institutions éducatives aux contraintes imposées par la pandémie. Nécessité fait loi !
Qu'est-ce que la post-vérité et quel est son impact sur l'école ?
Certains élèves, certaines familles ont contesté et contestent l’enseignement de la Shoah, du darwinisme, ou de certaines doctrines économiques. Le mouvement s’est aujourd’hui amplifié. L’antisémitisme prospère à nouveau sur fond de haine et de contre-vérités, les théories du complot se propagent dans une atmosphère de suspicion généralisée. Post-vérité : le mot est assurément nouveau, même si le phénomène qu’il décrit est au travail dans nos sociétés depuis quelque temps déjà. Il y a toujours un décalage temporel entre l’apparition d’un phénomène et le moment où on lui donne un nom. Car nommer, c’est déjà comprendre.
Apprendre les bonnes pratiques numériques: L école des réseaux sociaux
Pour ouvrir un compte sur des réseaux sociaux comme Facebook, Instagram, Snapchat ou encore Tiktok il faut avoir atteint l’âge minimal requis de 13 ans. Or c’est un fait avéré que bon nombre d’enfants n’attendent pas cet âge là pour créer leur compte. Une petite erreur sur la date de naissance au moment des paramétrages et l’affaire est dans le sac, le compte est créé. Si certains parents contrôlent ou essaient de suivre les activités numériques de leurs enfants, il est assez difficile de suivre tous les nouveaux réseaux sociaux, les nombreuses connections quotidiennes des enfants sur ces réseaux ainsi que tous les messages échangés et reçus. Fort de ce constat, EduPad et European Schoolnet ont développé l école des réseaux sociaux (SOSN-The School of Social Networks), une initiative européenne d’intérêt général.
Un photographe prend des photos de personnes en public sous 2 angles et montre à quel point les médias peuvent facilement manipuler la réalité
Tout le monde sait que la réalité est subjective. Notre perception peut changer en un instant selon les informations que nous avons au sujet d’une situation donnée. Mais deux photographes danois ont porté l’idée à un tout autre niveau. En période de crise actuelle, il est essentiel de garder une distance sécuritaire. Même si les pays commencent à assouplir les restrictions de confinement, cela ne signifie pas que c’est fini. Mais comment savoir, à partir d’images seulement, que les gens font réellement ce qui est bien ?
TEMOIGNAGES. "J'ai perdu ma mère" : ils racontent comment les thèses complotistes autour du Covid-19 ont contaminé leurs relations avec leurs proches
"Il faut que je fasse le deuil de ma mère. Je n'y arrive pas. Ce n'est pas facile." Delphine, 43 ans, a vu Christine, sa maman de 70 ans, "basculer dans le complotisme" au cours de l'épidémie de Covid-19. Comme des centaines d'autres personnes, cette fonctionnaire territoriale à Bordeaux a répondu à l'appel à témoignages lancé par franceinfo. Elle confie son désarroi.
Les jeunes à l'école, en chair et en os ! - La Presse+
Il est certain que plusieurs collègues enseignants appréhendent ce retour, positivement ou négativement. Je suis un de ceux que l’on qualifie d’immunosupprimés. Je souffre d’une maladie auto-immune. Mais je suis de ceux qui voient le retour en classe comme essentiel pour nos jeunes et peut-être, un peu égoïstement, pour moi aussi.
Partager l'information et lutter contre la désinformation
La liberté d'expression, l'accès à l'information - notamment sur la santé publique - et une couverture médiatique de qualité sont essentiels pour faire face à la crise inédite provoquée par la pandémie de coronavirus. Plus que jamais, le monde a besoin d’un journalisme de qualité et d’informations fiables afin d’adapter sa réponse à la propagation de COVID-19, de s’organiser, d’apprendre des expériences d’autres pays et contrer l’augmentation des rumeurs et de la désinformation. En particulier, l'UNESCO promeut les ressources éducatives libres (REL), les réseaux de vérificateurs des faits(link is external), l'éducation aux médias et à l'information (MIL) pour lutter contre la propagation de la désinformation, l'utilisation de technologies numériques telles que l'intelligence artificielle afin de répondre à cette crise, tout en soulignant l'importance du patrimoine documentaire dans les efforts passés de lutte contre les pandémies.