L’avenir de la programmation (6/6) : programmer le multivers Par Rémi Sussan le 21/10/14 | 6 commentaires | 1,472 lectures | Impression Dans ce dossier au long cours sur la programmation, nous sommes progressivement descendus à des niveaux de plus en plus primitifs, de plus en plus fondamentaux du réel. On s’est d’abord intéressé à l’être humain et à son langage. Puis avec la complexité, nous sommes descendus à l’échelle des collectifs, humains certes, mais aussi sociétés d’insectes ou phénomènes naturels et écologiques. Ensuite, nous avons encore grossi notre focale pour aborder la programmation des cellules et de l’ADN. Un peu de théorie Voyons d’abord les principes de base qui fondent l’informatique quantique. C’est cette particularité que cherchent à utiliser les concepteurs d’ordinateurs quantiques. Les choses sont déjà assez bizarres comme cela, mais elles le deviennent encore plus si on découvre la théorie cosmologique qui a inspiré l’idée de l’ordinateur quantique. Une autre logique A quoi serviraient les ordinateurs quantiques ?
Les 7 merveilles de la mécanique quantique La mécanique quantique, c’est cette branche de la physique qui décrit la manière dont se comportent les objets microscopiques : les molécules, les atomes ou les particules. Développée pendant la première moitié du XXème siècle, la mécanique quantique est un des piliers de la science contemporaine. Et pourtant, il s’agit aussi probablement de la plus étrange théorie jamais imaginée. En effet, la mécanique quantique regorge de mystères, de surprises et de paradoxes qui nous obligent à revoir la manière dont nous concevons la matière, et même la physique en général. Cette théorie est d’ailleurs tellement bizarre que l’un de ses plus fameux contributeurs, le physicien Richard Feynman (ci-dessus), disait à son propos: « Si vous croyez comprendre la mécanique quantique, c’est que vous ne la comprenez pas ». Nous voici prévenus ! 1. On ne sait pas forcément mesurer très exactement ces quantités, mais on sait qu’elles existent et qu’elles ont des valeurs précises. |Chat> = | Mort > + | Vivant > 2.
Carbone Le carbone est l'élément chimique de numéro atomique 6 et de symbole C. Il possède trois isotopes naturels : 12C et 13C qui sont stables ;14C qui est radioactif de demi-vie 5 730 années ce qui permet de dater des éléments utilisant du carbone pour leur structure[a]. Le carbone est l'élément le plus léger du groupe 14 du tableau périodique. Le corps simple carbone présente plusieurs formes allotropiques dont principalement le graphite et le diamant. L'élément carbone forme divers composés inorganiques comme le dioxyde de carbone CO2, et une grande variété de composés organiques et de polymères. La combustion du carbone sous toutes ses formes a été le fondement du développement technologique dès la préhistoire. Histoire et étymologie[modifier | modifier le code] Le nom carbone vient du latin carbo, carbōnis (« charbon »)[10]. Le nom « carbone » n'apparaît dans le dictionnaire de l'Académie française qu'à sa 6e édition (1832-5). Élément[modifier | modifier le code] . est plus faible.
Voyage vers l'infiniment petit En 1922, Otto Stern et Walter Gerlach envoient des atomes d'argent à travers un dispositif pourvu d'un champ magnétique inhomogène. Ces atomes sont déviés par le champ magnétique, projetés sur un écran et à la grande surprise des physiciens, laissent deux petites tâches symétriques, alors qu'ils s'attendaient à obtenir une seule tâche allongée. Expérience Stern-Gerlach : des atomes d'argent, pourvus d'un moment magnétique, traversent un champ magnétique inhomogène, ils sont déviés et laissent sur l'écran deux petites tâches symétriques. On s'attendait à ce que le moment magnétique prenne des valeurs continues et laisse donc sur l'écran une seule tâche allongée. Otto Stern (1888-1969), physicien allemand, professeur à l'Université de Hambourg, à l'Institut de Technologie de Carnegie et à l'Université de Berkeley. Walter Gerlach (1889-1979), physicien allemand, professeur aux universités de Tübingen et Munich. Spin de l'électron.
Dictionnaire de l'informatique et d'internet LE CERVEAU À TOUS LES NIVEAUX! On peut distinguer deux grands niveaux d'explication en physique : le niveau familier que nous utilisons tous les jours pour décrire les objets à grande échelle; et le niveau quantique utilisé pour décrire l'infiniment petit gouverné par l'équation de Schrödinger. Ces deux niveaux sont complètement déterministes et calculables. Toutefois, au niveau quantique, des états superposés sont possibles, alors qu'à notre niveau macroscopique, un seul de ces multiples états ne peut exister. C'est en s'appuyant sur cette interprétation classique de la mécanique quantique que des physiciens comme Wigner en sont venus à une proposition étonnante, à savoir que c'est la conscience qui pourrait provoquer cet effondrement de la fonction d'onde et déterminer ainsi les contenus conscients. C'est donc dans cette optique qu'il propose sa théorie de la « réduction objective ». Le modèle de Penrose et Hameroff a subi de sérieuses critiques, notamment des philosophes Rick Grush et Patricia Churchland.
1103.2679 Dictionnaire de l'Académie française Dans le cadre du projet de base de données du Dictionnaire de l'Académie française, sous la direction de R. Wooldridge et I. Leroy-Turcan, le Projet ARTFL, de l'Université de Chicago et le Laboratoire de Traitement Automatique de la Langue Française du CNRS, collabore à la saisie des données, à la mise en forme éditoriale exigée et au développement des moteurs de recherche sur plusieurs éditions du Dictionnaire de l'Académie française. Plusieurs éditions sont disponibles : La 1ère Édition, 1694 La 4ème Édition, 1762 La 5ème Édition, 1798 La 6ème Édition, 1835 La 8ème Édition, (1932-1935) La 9ème Édition Nous invitons toutes les personnes intéressées à utiliser ces dictionnaires.
Cytosquelette Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Éléments du cytosquelette d'une cellule eucaryote. Bleu : lamines ; vert : microtubules ; rouge : actine. la plupart des composantes du cytosquelette sont renouvelées par polymérisation en permanence ;le cytosquelette est à l'origine de la plupart des forces exercées par la cellule pour se déplacer et se nourrir, ce en quoi il s'apparente plutôt à un ensemble de « muscles » ;les propriétés mécaniques du cytosquelette sont très variables suivant les composantes et les situations considérées ;l'activité du cytosquelette a des conséquences dépassant de loin les rôles purement mécaniques (mouvement et structure), par exemple : la régulation de l'expression génique, la différenciation cellulaire ou la prolifération. Cytosquelette des eucaryotes[modifier | modifier le code] Composition et structure globale[modifier | modifier le code] Les filaments d'actine, formés d'actine (protéine dont il existe différents types). Complexe Arp2/3
Institut de physique - CNRS - Piéger l’onde quantique d’un atome rapide sur une surface cristalline En piégeant l’onde quantique d’atomes rapides à la surface d’un cristal, des physiciens ont montré que contrairement à l’idée habituelle, une surface réelle doit être traitée comme un objet quantique, même à température ambiante. Télécharger le PDF En physique quantique, les particules sont associées à des ondes dont la longueur d’onde est d’autant plus petite que la vitesse de la particule est grande. Pour réaliser ce travail, les physiciens de l’ISMO ont préparé une surface cristalline « parfaite » en clivant un cristal de fluorure de lithium. (a) les trois premiers états liés du puits du potentiel d’interaction He-LiF(100) ; le processus de diffraction, dû à l’échange d’un vecteur du réseau réciproque, permet la transition d’un état d’énergie normale positive vers un de ces états liés. En savoir plus Transient quantum trapping of fast atoms at surfacesM. Contact chercheur Hocine Khemliche, Chargé de recherche CNRS Informations complémentaires Contacts INP
signature