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Dis-moi si tu préfères bidouiller Arduino ou consommer iPad et j Parmi la centaine de commentaires provoqués par notre récent article Pourquoi je n’achèterai pas un iPad, on a pu noter une opposition franche entre ceux qui pensaient qu’il était important, voire fondamental, d’avoir la possibilité « d’ouvrir le capot » logiciel et matériel de la bête, et ceux qui n’y voyaient qu’une lubie de geeks passéistes et rétrogrades. Or aujourd’hui nous allons justement évoquer un drôle d’objet qui accepte d’autant plus volontiers de se mettre à nu qu’il sait que c’est sa principale qualité aux yeux de son enthousiaste et créative communauté. Il s’agit de la carte Arduino qui est un peu à l’électronique ce que le logiciel libre est à l’informatique, puisque le design, les schémas, les circuits et l’environnement de programmation sont disponibles sous licence libre[1] Nous vous suggérons également cette excellente interview de Alexandra Deschamps-Sonsino, réalisée par Hubert Guillaud pour InternetActu, dont voici quelques larges extraits : Matériel ouvert
RepRap RepRap est la première machine autoréplicable de production d'usage général fabriqué par l'homme. RepRap se présente sous la forme d'une imprimante 3D, pilotée par un logiciel libre, capable d'imprimer des objets en plastique. Puisque la RepRap est composée de plusieurs pièces de plastique et que la RepRap a la capacité d'imprimer ces pièces, la RepRap peut être considérée comme autoréplicable — tout le monde peut la construire avec du temps et le matériel nécessaire. Cela signifie également que — si vous possédez une RepRap — vous pouvez imprimer beaucoup d'objets utiles, voire même imprimer une autre RepRap pour un ami... Ô mon Dieu, cette société américaine est propriétaire de mes données !!!!! Bon, ayé, j'suis énervé... Je l'ai déjà dit, redit... pété et répété ! Mais ce n’est pas grave, je vais recommencer pour ceux qui dormaient au fond à côté du radiateur. Avec l'arrivée de Google Drive, la polémique de "À qui appartiennent vos données" est en train de refaire surface.
Biosphere ou la science avant la fiction A la fin des années 80 naquit l'expérience Biosphere. A l'époque, pour ceux qui s'en rappelent, il y avait comme de l'utopie dans l'air: recréer sous un dome un monde hermétique pour simuler ce qu'on serait capable de faire bientôt sur d'autres planètes. A l'époque, "bientôt" c'était l'an 2000 ! Le futur ! Cette époque merveilleuse où chacun se promènerait avec son hélicoptère personnel et tapoterait sur un clavier pour dire à l'ordinateur de la maison de préparer le diner sans mettre trop d'épices dans les bourritos. A l'époque, on y croyait encore, au progrès !
Comité international de la Croix-Rouge Close modal En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l’utilisation de cookies pour réaliser des statistiques de visites et ainsi continuer d'améliorer nos services. En savoir plus Traités et droit coutumier Do it yourself Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Do it yourself (DIY) est une appellation, dont une traduction littérale en français serait « Faites-le vous-même », « Faites-le par vous-même », « Fais-le toi-même » ou encore « fait maison », ou « fait à la main » au Canada, qui désigne à la fois : certains musiciens ou mouvements culturels ;des activités visant à créer des objets de la vie courante, des objets technologiques ou des objets artistiques, généralement de façon artisanale.
Fab lab Un fab lab (contraction de l'anglais fabrication laboratory, litt. « laboratoire de fabrication ») est un tiers-lieu de type makerspace[1] cadré par le Massachusetts Institute of Technology (MIT) et la FabFoundation[2] en proposant un inventaire minimal[3] permettant la création des principaux projets fab labs, un ensemble de logiciels et solutions libres et open-sources, les Fab Modules[4], et une charte de gouvernance, la Fab Charter[5]. Pour être identifié en tant que fab lab par la FabFoundation, il faut passer par plusieurs étapes[6] et il est possible de suivre une formation à la Fab Academy[7]. Les fab labs sont réunis en un réseau mondial très actif, d'après son initiateur Neil Gershenfeld[8]. Historique[modifier | modifier le code] Neil Gershenfeld a commencé en explorant comment le contenu de l'information renvoie à sa représentation physique, et comment une communauté peut être rendue plus créative et productive si elle a - au niveau local - accès à une technologie.