combien de fois 4 ans: 12 suggestions pratiques pour vous chers camarades (english below) 12 suggestions pratiques destinées aux hommes qui se trouvent dans des espaces féministes Règle #1. Prenez conscience du fait que les discussions ne tournent pas autour de vous. Oui, oui, vraiment! Troublé? En corollaire à la règle #1 : le féminisme concerne les femmes. Règle #2 : Soyez conscient de vos privilèges. En corollaire à la règle #2 : le «sexisme à l’envers» n’existe pas. Règle #3 : Apprenez à écouter. Corollairement à la règle #3 : Si vous avez des doutes, bouclez-là. Règle #4 : Résistez à la tentation inconsciente de dominer. Règle #5 : Essayez de ne pas être défensif. Règle #6: Sachez que ce n’est pas notre tâche de vous éduquer. Règle #7 : Si des gens vous traitent de trolls, c’est qu’il y a probablement une bonne raison. Règle #8 : N’essayez pas de jouer au Chevalier Servant. Règle #9 : Les femmes ne sont pas un bloc monolithique. En corollaire avec la règle #9 : ne tentez pas de dresser les femmes les unes contre les autres. 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. 10.
Professionnalisation féminine et féminisation d'une profession : les artistes interprètes de musique Notes Cet article a bénéficié des remarques critiques et des encouragements de Didier Demazière, Catherine Marry, Jean-Philippe Mazaud et Cédric Lomba. Que chacun en soit vivement remercié. En France, près de 6 000 musiciens travaillant à titre principal ou régulièrement en orchestre (dans les orchestres civils et les orchestres militaires ou assimilés) selon les estimations de Xavier Dupuis (Dupuis, 1993 ; cf. encart méthodologique). La recherche a été conduite dans le cadre d’une thèse de sociologie sur les musiciennes d’orchestre (Ravet, 2000) La présence assidue auprès des musiciens et le dialogue qui s’est instauré se sont révélés à la fois riches d’enseignement et efficaces. Source : Enquêtes sur l’emploi, insee, mars 2001. Etablissement d’enseignement supérieur (futur Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Paris). Ils se constituent en formations stables, employant des musiciens salariés. Y compris la harpe et les claviers.
Plaidoyer pour l’extrémisme S’il y a bien une chose qui m’énerve dans les discussions que je peux avoir ou dont je suis témoin, ce sont les manœuvres d’évitement. C’est-à-dire tous les non-arguments dont le but principal et parfois inconscient est de discréditer un propos adverse sans avoir à le prendre en considération. Je pourrais écrire vingt articles sur le sujet, sur vingt techniques ninja de la mauvaise foi caractérisée, surtout que je pratique sans doute pas moins qu’un autre ces techniques tellement habituelles. Mais ce serait un peu long, presque un livre, alors pour commencer je vous propose de parler de celle-ci: l’accusation d’extrémisme. Tout argument reposant sur l’«extrémisme» est logiquement infondé. C’est un non-argument qui relève d’une opinion conservatrice et du refus d’examiner l’opinion adverse. Extrême par rapport à quoi? Le concept même d’extrémisme invoque des images, des représentations spatiales. Ces représentations courantes appellent une question: qu’est-ce qui se trouve au centre?
La non-mixité pour les nuls (et les autres) Lorsque nous avons lancé ce webzine, nous nous attendions à des réactions sur notre non-mixité assumée. Réactions il y eut, même si moins que prévu. C’est pourtant dans le slogan, mais, si mes années de support technique m’ont appris quelque chose, c’est que personne ne lit jamais les petits caractères. Il nous semblait important de parler de non-mixité, je m’y colle. Une histoire d’occupation d’espace Les hommes constituent 75% des députés et des sénateurs, 80% des ingénieurs, 83% des chefs d’entreprises, représentent 63% de la présence télévisuelle, 80% des « experts » interrogés dans les médias… L’espace public, politique, économique, médiatique appartient aux hommes. Je prendrai ici comme exemple le sauna de ma piscine municipale. Le problème est le même lors des débats et discussions féministes. La non-mixité permet non pas de rétablir artificiellement une représentativité féminine, mais nous ouvre la voix en nous autorisant une parole sécurisée, donc libérée. L’absence de contrôle.
En tant qu'homme, je ne suis pas féministe, peut-être proféministe | Patric Jean Une mode est récemment apparue dans la presse française et internationale à propos des hommes qui se disent "féministes" et dont on présente l'engagement comme "essentiel" pour les droits des femmes. Il est temps de se demander si cette nouvelle habitude qui se veut bienveillante n'est pas finalement contre-productive. Pas une semaine sans qu'un article, une campagne ne nous vante les mérites des hommes "les vrais", les gentils, ceux qui brillent dans le bon camp et affichent un "féminisme" évident. Cette pratique part de l'idée que l'égalité est "l'affaire de tous" (et même plus de toutes) et que les hommes doivent y jouer un rôle central. Comment pourrais-je croire que je mène le même combat qu'une femme? En tant qu'homme, je ne peux qu'observer que, même en dénonçant les inégalités, je reste membre d'une classe dominante qui me confère des privilèges que je ne peux pas toujours remettre en question individuellement. Etre un "homme féministe" apporte des bénéfices secondaires
« Féministes-salopes : le corps comme argument de résistance , conférence de Stéphanie Pahud, 16.04.2015, U. Paris 13 | «Paroles en cours Université Paris 13 SPC, 2014-2015, Campus Villetaneuse UFR LSH, le jeudi de 15h00 à 17h00 (salle C 204) Semestre 2 du 22 janvier 2015 au 16 avril 2015 Théories du texte et du discours 2 Nouveaux discours militants. Conférence de Stéphanie Pahud, Université de Lausanne, 16.04.2015, 15h-17h00 « Féministes-salopes : le corps comme argument de résistance » Page personnelle de Stéphanie Pahud à l’université de LausanneHystéries ordinaires, blog de Stéphanie PahudPublications de Stéphanie Pahud Pour venir à Paris 13 : gare du nord départ banlieue en surface, arrêt gare d’Epinay-Villetaneuse puis bus 156, 354 ou 356, arrêt Université Synthèse Entre autres nouvelles élaborations argumentatives, le féminisme quatrième génération accueille un activisme non pas des mots mais des corps : comme le relève Fraisse, si « le corps est évidemment partie prenante du fantasme et de l’image, au cœur des débats sur sexe et genre », il est aussi « une matière qui parle », « un langage de l’émancipation » (2014).
Argumentaire en faveur des groupes féministes non-mixtes Origine : Argumentaire en faveur des groupes féministes non-mixtes L’oppression L’oppression des femmes par les hommes est une réalité difficilement contestable aujourd’hui. L’oppression, selon le Petit Robert, constitue une soumission à une autorité excessive et injuste. L’autodétermination Cet abus de pouvoir par les hommes empêche les femmes d’être autodéterminées. L’oppression, qui empêche l’autodétermination, est donc intolérable, et elle doit être éliminée. Mais si les femmes veulent être autodéterminées, et que ce sont les hommes qui doivent changer leurs comportements, une contradiction semble émerger. Les femmes doivent donc définir leurs positions avant que les hommes ne puissent changer définitivement leurs comportements. Les groupes non-mixtes En effet, les groupes de femmes non-mixtes permettent à plusieurs femmes de s’exprimer et de partager sur la situation qu’elles vivent, en toute confiance. Conclusion Bibliographie
Je ne serai jamais qu'un allié (et c'est fantastique) - Carnet d'un rêveur Par Jonas Lubec, mardi 29 avril 2014. Lien permanent Pré-scriptum: J'ai hésité avant de poster ce billet. Il m'apparaît toujours comme étant quelque peu arrogant, ou gonflé. Un des propos qui m'avait le plus choqué alors que je commençais à m'intéresser au féminisme était le terme de « pro-féministes » que certaines femmes accolaient aux hommes, considérant qu'ils n'étaient pas féministes, qu'ils ne seraient jamais que des alliés.
Le féminisme a laissé le capitalisme exploiter les femmes pauvres Temps de lecture: 4 min Pendant que la France s'acharne contre le burkini, le fossé économique entre femmes blanches et femmes non-blanches, femmes riches et femmes pauvres, ne cesse de se creuser. Du moins aux États-Unis, selon une étude de l'Institute for Women’s Policy Research, repérée par Slate.com. De 2004 à 2014, le revenu réel des femmes a baissé de 1,6%. Mais ce sont les femmes hispaniques, noires et amérindiennes qui ont vu leur revenu le plus décliner, respectivement de 4,5%, 5% et 5,8%. Alors que celui des femmes blanches a baissé de 0.3%. «Les femmes noires sont plus nombreuses proportionnellement dans les emplois faiblement rémunérés (comme les emplois de services à la personne, de santé, et l’éducation) et moins nombreuses dans les emplois bien rémunérés comme l'ingénierie, les nouvelles technologies et les postes de responsables», expliquait l’association l’année dernière. Les tâches domestiques déléguées Des «sphères séparées» au «revenu familial»